SENETOILE NEWS
Attentats de Paris : le message poignant d'un homme endeuillé
Il ne cédera ni à la haine, ni à la peur et continuera à vivre pour son fils. Antoine Leiris a perdu sa femme dans les attentats de vendredi dernier. Malgré la douleur, cet homme endeuillé a écrit un message poignant sur Facebook aux "âmes mortes" qui lui ont volé "la vie d'un être d'exception"...
Terrorisme – Pourquoi le Sénégal doit redoubler de vigilance
Daech a revendiqué samedi en fin de matinée les attentats sanglants de la veille à Paris ayant fait au moins 128 morts. Comme dans de nombreuses parties du globe, cette tragédie qui a frappé la France a suscité beaucoup de réactions au Sénégal dont celle du chef de l’Etat, Macky Sall qui a exprimé ses sentiments de profonde compassion et de solidarité à la France. Et Macky Sall d’ajouter que le Sénégal condamne très fermement ces actes barbares qui s’attaquent, au-delà de la France et du peuple français, à notre humanité commune.
Vidéo Telesud: Des mots et Débat avec Mohamed Yahya Ould Ciré
Dissolution de l'Assemblée nationale : L'étau se resserre autour de Niasse
La question de la dissolution de l’Assemblée nationale, qui fait suite au problème lié à la constitution du groupe parlementaire des «Libéraux et Démocrates» est de plus en plus agitée. A l’instar de bon nombre d’hommes politiques, ainsi que de personnalités de la société civile, un Observatoire citoyen pour la défense des Institutions (Ocdi), regroupant des citoyens sénégalais de tout bord, a lancé hier, vendredi 13 novembre, une pétition nationale et internationale, dénommée «Sauvons notre Assemblée». Awa Abdoul Ba, membre dudit observatoire, et compagnie réclament la tête de Moustapha Niasse, ainsi que la dissolution de la 12ème législature.
Macky Sall - «Ce serait une catastrophe si on veut caricaturer l’islam ou le condamner pour de tels actes terroristes»
Les attentats de Paris qui ont fait 128 morts et plus de 300 blessés ont été vivement condamnés par le président Macky Sall, président en exercice de la Cedeao. Lors d’un point de presse, le président Sall a formulé quelques mises en garde.
"Ce serait une catastrophe pour toute l’humanité, si on veut caricaturer l’islam ou le condamner pour de tels actes terroristes», prévient -il, dans une dépêche de l’APS. Pour lui, ces attaques meurtrières qu’il qualifie de «crimes odieux», ne doivent pas être mises sur le dos de l’islam car, «Ce serait une catastrophe pour toute l’humanité, si on veut caricaturer l’islam ou le condamner pour de tels actes terroristes».
France - "Je veux dire aux Français que nous sommes en guerre", déclare Manuel Valls.
Rappel à la jeunesse,il ne faut pas se laisser distraire.
Sénégal - L’imam Ndao et ses quatre acolytes écroués, le 6ème libéré
Après deux retours de parquet, l’imam Alioune Badara Ndao et ses cinq acolytes arrêtés pour actes de terrorisme ont été présentés au doyen des juges d’instruction ce vendredi. A l’issue de leur face-à-face, un seul a obtenu la liberté. Le reste a été placé sous mandat de dépôt.
Interpellation de l’ancien président de l’iaaf Mankeur Ndiaye affirme le soutien de l’État
L’Etat du Sénégal soutient Lamine Diack. Ou du moins c’est ce qu’a déclaré le ministre des affaires étrangères, Mankeur Ndiaye. «Lamine Diack peut compter sur le soutien du Sénégal aujourd’hui et demain. Le président de la République en personne, a suivi le dossier depuis que Lamine Diack a été interpellé par la police de Nanterre. Le Chef de l’Etat, Macky Sall a instruit l’ambassadeur du Sénégal en France parce que le président Diack a été gardé à vue pendant 48h», a indiqué hier, vendredi 6 novembre, au micro de la Tfm, le chef de la diplomatie sénégalaise.
Annulation d’admission des élèves-maitres par le ministère de l'éducation nationale Serigne Mbaye Thiam perd la der
La Cour suprême a rendu public hier, vendredi 6 novembre, sa décision portant annulation de l'arrêté n°3816 du 24 juillet 2014 relatif à l'annulation d’admission des élèves-maîtres par le ministère de l'Education nationale, après 5 mois de formation. L'arrêt dont nous avons obtenu copie indique que «l'admission déclarée des élèves-maitres incriminés ne pouvait être remise en cause, au sens de l'article 5 de la loi du 6 février 1970 modifiée». Statué sur le fond comme sur la forme, le présent arrêt signé par le président de la Chambre administrative, Mouhamadou Diawara, considère "qu'aucun texte, notamment l'arrêté interministériel précité, ne conférait, pour ce concours-ci, au ministère de l'Education nationale, le pouvoir d'annuler les admissions résultant des travaux de la commission de délibération".