Dakar - Le nombre pléthorique d’étudiants fait des ravages à l’Ucad
iGFM (Dakar) L’Université de Dakar est peuplée, il y a un nombre impressionnant d’étudiants. Du coup la tâche devient impossible pour les enseignants qui sont peu nombreux. Ils sont submergés. C’est difficile d’assurer le nécessaire. Conséquence certains tombent malades, d’autres décèdent. Selon Mr Aliou Déme assistant au département d’histoire de la faculté des Lettres il y a six professeurs qui sont morts. Les derniers chiffres donnent 80.000 étudiants pour seulement 1300 enseignants. Selon beaucoup de professeurs y a presque plus de recrutement. L’Etat continue de colmater les brèches avec des vacataires.

Pour palier aux violences, le Cadre de réflexion et d’actions sur les violences politiques prend les devant. Ladite structure organise les 27 et 28 Mai 2014 à l’Ucad II un symposium sur le thème : « Démocratie sénégalaise à l’épreuve de la violence politique ».L’objectif de ce symposium est d’initier à une réflexion transdisciplinaire et multidimensionnelle sur les ressorts de la violence politique au Sénégal d’une part et,

La Turquie a accepté de renoncer au terrain dont elle était attributaire sur la Corniche-Ouest de Dakar, au profit d'un nouvel emplacement qui lui sera affecté pour la construction de la chancellerie de son ambassade à Dakar, a appris l'APS, lundi de source officielle.

En raison de la canonisation du Pape Jean Paul XXIII le 27 avril 2014, reconnu internationalement pour ses œuvres pour la paix sociale et l’africanisation de la hiérarchie au sein de l’Eglise catholique, le Cardinal Adrien Sarr a profité par la même occasion pour baptiser la «rue Jean Paul XXIII» qui a connu une nouvelle dénomination. «St Jean Paul XXIII», c’est le nouveau nom de ladite rue.

En marge de la présentation de condoléances samedi à son camarade Déthié Fall qui a perdu sa maman, Idrissa Seck a encore tiré sur le régime de Macky Sall. «Il n’y a que les gens incultes qui continuent de croire que la répression est un outil de gouvernement», a-t-il dit, en faisant allusion aux violences notées dans les universités ces derniers jours. Pour le leader de Rewmi, «non seulement le gouvernement doit veiller à financer de façon optimale ce secteur de l’éducation, mais aussi à sécuriser et respecter les franchises universitaire».