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Sam, Déc
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News (1043)

Les informations  générales et dépêches  publiées

LA PRESSE


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La question de la conformité de l’avis du Conseil constitutionnel telle que posée aujourd’hui par certains professeurs et citoyens est devenue une question politicienne et non un débat juridique. Que diraient demain tous ceux qui proclament aujourd’hui de façon péremptoire que le Président de la République n’est pas lié à l’avis du Conseil constitutionnel, au cas où le conseil règle dans le sens qu’ils souhaitent la question de l’applicabilité de la réforme du mandat actuel du président. Les mêmes diraient certainement que l’avis est obligatoire et que le président doit suivre cet avis-là », déclare le Premier ministre qui présidait ce samedi la cérémonie d’ouverture des travaux des rendez-vous républicains, à Saly (Mbour).

Des Organisations non gouvernementales (Ong) sénégalaises en conférence de presse hier, vendredi 8 janvier ont dénoncé la liste des témoins présents à la barre de la Chambre africaine extraordinaire d’assises. Regroupées au sein de la Coalition de la société civile sénégalaise pour le jugement équitable d’Hissein Habré (cosejehab), ces Ong déplorent le fait que tous les 90 témoins ont apporté des versions qui accablent l’ancien président tchadien.
 
C'est à la tête d'une forte délégation composée de son épouse Marième Faye, d'Aminata Tall du CESE et de plusieurs ministres dont Abdoulaye Daouda Diallo, Oumar Youm, Anta Sarr Diacko, Aminata M'bengue N'diaye, M'baye N'diaye, Abdou Aziz Tall etc...que le Président de la République est venue présenter ses condoléances au nouveau Khalife de Darou Moukhty, suite au rappel à Dieu de Serigne Cheikh Khady Mbacké.  
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« C’est un excellent discours, il faut rappeler que c’est la première année de mise en œuvre du PSE, sur le plan de l’économie et du développement des infrastructures, il a détaillé toutes les avancées qui ont été faites. 
Sur le plan économique, il faut se réjouir d’un taux de croissance de 6,4%, je rappelle qu’en 2011, on avait une croissance négative. Il est sur la bonne voie pour arriver à un taux de 7%, il faut relever le fait que nous avons dépassé la barre de 3.000 milliards, alors que le budget du Sénégal était de 450 milliards en 2000.

Sénégalaises, Sénégalais, mes chers compatriotes, 
Hôtes étrangers qui vivez parmi nous, 

A l’occasion du nouvel an, je suis heureux de m’adresser à vous pour vous présenter mes vœux. 
En souvenir de nos chers défunts qui nous manquent ce soir, je voudrais d’abord joindre mes prières aux vôtres pour qu'ils reposent en paix. 

Aux malades, j'adresse tous mes souhaits de prompt rétablissement. 

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Dans la famille Diack, je voudrais le fils. Euh, l’autre fils ; le frère, quoi… Après Papa Massata Diack, qui se terre au Sénégal pour échapper à la justice française, voici Khalil Diack. Son nom n’apparaît pas dans le volet russe de l’enquête menée par la commission indépendante de l’AMA (Agence mondiale antidopage). En revanche, il entre en scène sur un autre théâtre en endossant un rôle majeur dans le chantage exercé sur l’athlète turque Asli Alptekin en 2012 et 2013. Les deux frères ont très probablement agi dans le dos de leur père, Lamine, alors président en exercice de la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF), en exécutant une sorte de numéro de «bad cop-good cop» soigneusement rodé. Khalil était en quelque sorte la deuxième lame, l’option de secours alors que les menaces de Papa Massata n’avaient pas suffi à faire plier le clan Alptekin.Flashback. Fin octobre, début novembre 2012, la Fédération turque (TAF) reçoit un courrier de l’IAAF faisant savoir que, sur neuf échantillons sanguins d’Asli Alptekin, plusieurs indiquent de hauts niveaux d’hémoglobine qui laissent penser à du dopage. Sommé de fournir des justifications, le club (Üsküdar Belediyesi Spor Kulübü, à Istanbul) de la coureuse de demi-fond envoie une lettre d’explication à la confédération.

Le leader de « Rewmi », Idrissa Seck, à l’issue du vote du budget du conseil départemental de Thiès, a évoqué avec la presse ses sorties contre Macky Sall. Selon l’ancien Premier ministre, lui et l’opposition ont un rôle qui est de veiller à dire leur pensée sur la situation. 
«  Vous appelez cela critique, quand je dis à la place de l’émergence et du " Yokkuté ", nous constatons la pauvreté et le " Ndool " », s’étonnera t-il en réponse à la question posée par un journaliste. 
 Le Pr du conseil départemental de Thiès de poursuivre en notant : « est-ce que vous pensez que lorsque le FMI dit que le Sénégal fait partie des 25 pays les plus pauvres du monde c’est de la méchanceté ? Que le Pnud dit que pour l’indice de développement humain, le Sénégal est passé de la 118 ème à la 170 ème place c’est de la méchanceté? » 
« Non, on fait un constat! » dira M. Seck. « Mon vœux le plus ardent pour le bien des sénégalais aurait été de constater que le Président a pris la mesure de la situation, décide de changer de cap et d’accélérer la cadence et dans la bonne direction. » 
 « Vous pensez que cela nous fait plaisir d’entendre des partenaires du Sénégal s’inquiéter de l’atmosphère qui prévaut avec des journalistes interpellés a la DIC, des opposants arrêtés et une justice manipulée. Des images qui écornent l’image de la démocratie », martèlera t-il. 
Selon Idrissa Seck, son souhait est que le Sénégal progresse, change de cap et que les conditions de vie des sénégalais s’améliorent. Et lorsque le constat sera fait « nous le dirons dans les même termes », fera-t-il savoir 

Clédor Sène, l'un des meurtriers de Me Babacar Sèye, défunt président du Conseil constitutionnel, a décidé de cheminer désormais avec Serigne Modou Kara Mbacké.

Dans un communiqué rendu public ce samedi 26 décembre 2015, il écrit : “suite à un important entretien avec Serigne Modou Kara Mbacké, j’ai décidé, après mures réflexions, de l’assister dans sa mission multidimensionnelle. En effet, j’ai accepté d’être son conseiller spécial”.

La question des 690 élèves-maîtres exclus pour fraude est toujours au cœur des préoccupations du Grand cadre des syndicats d’enseignants. De l’avis de Babacar Mboup, inspecteur de l’éducation, qui intervenait lors d’une rencontre organisée par l’organisation dirigée par Mamadou Lamine Dianté, à cause de l’intégrité et du professionnalisme des inspecteurs «c’est un débat qu’il faut laisser de côté». Et l’inspecteur de l’éducation de souligner «à moins que nous aussi pensons que nous sommes hantés par la fraude dans notre métier». 

Lors de la célébration du Maouloud au Champ de Courses, Serigne Moustapha SY, le guide des Moustarchidines est revenu sur les problèmes dans la grande famille religieuse des Tidianes.