Le commissariat de police de Guédiawaye a déféré au parquet Amadou Mb, soudeur, pour vol avec violences commis la nuit sur une fille du nom de Diakhar N. Cependant, le mis en cause a réfuté en bloc les accusations et soutient être innocent dans cette affaire.
Amadou Mb a profité de la retransmission en direct du match de football opposant l’équipe du Sénégal à celle du Ghana pour détrousser une couturière. Mais, la fille a tenu tête avant de faire échec à la tentative de vol du malfaiteur.
La Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) a rendu hier, lundi 23 mars, le verdict tant attendu dans le cadre du procès pour enrichissement illicite. Elle a reconnu Karim Wade et certains de ses co-accusés coupables du délit d’enrichissement illicite portant sur un montant de 69 milliards de francs Cfa. Pour autant, la Cour a prononcé une peine de six (06) ans de prison ferme assortie d’une amende de 138 milliards de F CFA pour Karim Wade. A l’encontre de ses complices, la Cour a retenu des peines allant de 5 ans de prison ferme et 138 milliards de francs d’amende à dix ans et 138 milliards de francs d’amende.
Les avocats de Karim Wade qui ont raté la chance de se livrer à la décisive épreuve des plaidoiries dans le procès intenté contre leur client par la Crei, ont tenté de se rattraper hier, vendredi 20 février. Tour à tour, les conseils de ‘’Wade fils’’ ont fait le procès de la Cour et du pouvoir en place en listant une kyrielle de faits et actes irréguliers qui prouvent la volonté manifeste du chef de l’Etat, Macky Sall, et du président de la Crei, Henry Grégoire Diop, de barrer la route à un adversaire
Karim Wade et co-prévenus seront fixés sur leur sort, le 23 mars prochain. Pour cause, le président de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) a déclaré officiellement hier, jeudi 19 février, les débats clos dans le cadre du procès contre l’enrichissement illicite opposant l’Etat du Sénégal au fils de l’ancien chef d’Etat, Karim Wade et co-prévenus. La Cour a mis ainsi en délibéré l’affaire jusqu’au 23 mars prochain à 10h.
Plus de six (6) mois après son ouverture, le jeudi 31 juillet 2014, le procès de Karim Wade, ancien ministre d’Etat, pour enrichissement illicite devant la Crei, vient d’épuiser sa première phase. L’ensemble des témoins à charge ou selon à décharge ayant déféré devant le Président de la Cour, Henri Grégoire Diop, et cie, la barre échoit désormais aux plaidoiries. Lesquelles se font à partir de lundi sans la défense de Karim Wade et de ses co-prévenus, qui a boycotté les audiences. A travers ce numéro, Sud quotidien profite de l’occasion pour jeter un regard critique sur le déroulé d’un procès marathon où le judiciaire et le 