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Sam, Déc
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News (1043)

Les informations  générales et dépêches  publiées

LA PRESSE


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Le président national de l’Union des oulémas du mande (OUMA) a été très formel hier vendredi 2 janvier 2015, à Keur Massar Firdaws, envers les personnes qui utilisent l’islam, pour porter atteinte à des innocents sous quelque forme que ce soit. Selon lui, le musulman ne doit pas devenir, ni penser et agir en victime. « Nous ne devons pas devenir des victimes et nous ne devons pas penser et agir en victimes », a-t-il déclaré. Et de poursuivre : « Nous n’avons rien à cacher. Nos croyances sont claires et nous n’avons pas d’agenda caché. Donc j’interpelle nos frères musulmans de mettre fin aux conflits et de consolider la paix en Afrique en général et dans la sous-région en particulier ». Il a annoncé aussi dans sa déclaration que les musulmans doivent arrêter de se plaindre et commencer à travailler. 

L’OBS – Les mots ont volé bas. L’ambiance était électrique. Et les nerfs surchauffés. Entre le président de la Cour, Henri Grégoire Diop et l’avocat Seydou Diagne, c’était un vrai dialogue de sourds. Les deux hommes ne se sont pas fait de cadeaux. Chacun voulait montrer à l’autre qu’il avait tort. Hier, en interrogeant le témoin Cheikh Tidiane Ndiaye, ancien directeur général de Canal Infos lors de sa confrontation avec Mansour Gaye du cabinet Cice, Me Seydou Diagne a semblé heurter la sensibilité du juge. Quand l’avocat a demandé au témoin s’il savait que certaines de ses déclarations n’ont pas été prises en compte par la commission d’instruction dans l’arrêt de renvoi, parce qu’elles étaient mensongères, le juge Henri Grégoire Diop est sorti de ses gonds. 

C’est un non ! Aïda Ndiongue ne passera pas le nouvel an en famille. La Chambre d’accusation de la Cour d’appel qui statuait ce matin sur la demande de liberté provisoire de Aïda Ndiongue et Abdoul Aziz Diop a rejeté leur demande, informe la Rfm. Les juges ont suivi le réquisitoire du parquet qui avait demandé une confirmation de l’ordonnance de refus du juge du 2e cabinet d’instruction. Au motif que les deux prévenus n’auraient pas versé la caution égale à près de 20 milliards francs CFA, au titre du présumé préjudice. 

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Dédé Koswara souffre d'une maladie extrêmement rare. D'année en année, sa peau se couvre d'énormes verrues semblables à de l'écorce. Malgré une série d'opérations chirurgicales, celui que l'on surnomme l'homme-arbre de Java est loin d'être guéri...

   Tout est parti d’un appel à candidatures, et le projet de l’association Guédiawaye Hip Hop s’en est sorti-un projet intitulé « Represent Wakhinane Nio Ko Moom » ou Wakhinane nous appartient, du nom de l’une des communes d’arrondissement de la ville de Guédiawaye, Wakhinane-Nimzatt. Les membres du collectif ont surtout voulu montrer que les cultures urbaines pouvaient servir de moteur au développement : apprendre une technique, un métier…   

De langue aussi, pour mieux parler de civisme, de respect de l’autre et de l’environnement. Un message qui passe aussi par la musique. La Foire Civico qui a commencé le 22 décembre pour prendre fin hier, lundi 29 décembre a rassemblé plusieurs groupes et artistes. Avec entre autres sur scène, Bat’Haillons Blind, Matador, Pat Ghetto, Simon, Xuman etc. Le projet, qui se tient sur deux ans, est soutenu par l’Union européenne (UE), dans le cadre d’un appui aux acteurs non étatiques du Sénégal. Histoire de promouvoir «une société inclusive responsabilisée».

Dakaractu.com - Lamine Sanneh est un gambien. Il est né dans le village de Kalagi, Foni Jarrol district, en 1979. Il a fréquenté l'école primaire Tankular, Brikama Junior Secondary School et Nusrat Senior Secondary School avant de rejoindre l'armée en l'an 2000. 
Il a obtenu un AAT de l'Institut technique de formation de la Gambie (GTTI) en 2002 avant d'accéder à l'Université de Banjul où il va obtenir en 2009, un diplôme en gestion et finances. 
En 2012, il a obtenu une maîtrise en études de sécurité stratégiques à l'Université de la Défense nationale, Washington, USA. 

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Les dernières heures de décembre 2014 – trente-deuxième anniversaire de l’ouverture des hostilités en Casamance – vont-elles hâter le crépuscule de la crise et, par incidence, précipiter l’aube d’une paix définitive en 2015 ? Voilà une interrogation qui renferme un vœu ardent, profond et partagé. Un vif souhait qui se délite, malheureusement, au vu et au contact d’une conjoncture calme en trompe-l’œil, mais viciée par des grenouillages et des micmacs tous azimuts.  

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Le site Mediafrik.com avait annoncé la couleur depuis samedi dernier. Un conseiller de Macky Sall, qui a pris langue avec ce site, aavait révélé que la demande de liberté provisoire introduite par les avocats de la défense de Karim Wade sera rejetée lundi 29 décembre. Et, selon lui, des instructions fermes ont été données pour le maintien de Karim en prison. C'est donc chose faite. Le fils de Me Wade est maintenu en prison en attendant le sort qui lui sera réservé au terme de son procès qui a démarré le 31 juillet dernier. Wade-fils et ses co-accusés sont poursuivis pour enrichissement illicite présumé portant sur 117 milliards de FCfa.

Avec son boubou fait de sachets en plastiques déchiquetés, Modou Fall ressemble à quelqu’un qui a perdu ses facultés mentales. Un pressentiment qui s’échappe après une lecture des messages qu’il tente de véhiculer. Cet homme, la trentaine dépassée, use de ce moyen trop «osé» pour sensibiliser sur les effets du plastique.   

Parmi les visiteurs présents à la 23 iéme édition de la foire internationale de Dakar,  il fait partie de ceux qui attirent la curiosité. Avec des sachets en plastique déchirés, servant de boubou, des tasses à jeter recyclées en chapeau, Modou Fall se promène dans les stands.  Qu’on l’évite ou qu’on  le voit d’un mauvais œil, cela ne semble point le perturber. Son objectif est de sensibiliser les visiteurs sur les ravages du sachet en plastique et des produits imperméables. 

Serigne Abdou Aziz Sy Al Amine, dans son discours lors de la visite de Macky Sall à Tivaouane, est retourné à l’école de Maodo. Selon le marabout, son grand-père El Hadji Maodo Malick Sy a toujours soutenu que le « Adiya » (somme offerte par le disciple à son marabout) est une corruption. Car, dit-il, « si quelqu’un vous donne son argent, il attend en retour des prières de votre part.