
La rareté des grands événements culturels, un handicap pour la destination.
Jadis sous l’admiration des autres pays africains pour sa politique culturelle et surtout la pléthore d’évènements d’envergure qui y étaient organisés, le Sénégal est depuis passé à la trappe.
Comment ne pas être nostalgique des grands moments de valorisation de la culture sénégalaise et africaine au Sénégal. On se souvient encore de ces évènements qui avaient fini par faire du pays de la teranga une référence sur le continent. Le festival mondial des arts nègres en 1966 et 2010, et autres grands événements (musicaux, arts…) organisés en terre sénégalaise ont donné au pays ses lettres de noblesse.
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Longtemps oubliées par les autorités sénégalaises, les cultures urbaines se dotent d’un nouvel espace d’expression. 240 millions sur 3 ans, c’est le montant total consenti par la mairie de Dakar et ses partenaires dont l’Organisation internationale des maires francophones et la mairie de Genève pour les activités de la Maison des cultures urbaines logée au centre socioculturel de Ouakam. Ce projet veut apporter un soutien à la formation des jeunes dans les métiers des cultures urbaines. En visite au Sénégal, le maire de Genève est allé s’enquérir de l’état d’avancement du projet.
A cause d’émissions portant atteinte à la vie privée des gens et la diffusion d’images censées nuire à la dignité de la personne humaine, le Conseil nationale de régulation de l’audiovisuel (Cnra) a mis en a garde la Sen Tv, la Rts, Walf Tv, Tfm et Sud Fm. C’est dans son troisième avis trimestriel des mois de juillet, août et septembre 2015 rendu public hier, lundi 19 octobre. Dans son troisième avis trimestriel des mois de juillet, août et septembre 2015, le Conseil national de régularisation de l’audiovisuel (Cnra), a encore mis à nu des manquements dans les médias audiovisuels. Le Cnra dénonce notamment les images qui peuvent porter atteinte à la dignité de la personne humaine, comme ce fut le cas avec la diffusion d’images de violences sur le procès Hissein Habré dans les journaux de la Rts1 du 7 septembre 2015 à 20 heures et du 8 septembre 2015 à 13 heures.
La crise n’est pas ressentie par certaines couches de la population. En effet, les jeunes filles entre 18 et 25 ans roulent cent à l’heure. À cause de ces papys qui n’hésitent pas à dégainer, rien que du mauve. Le vert, jamais. Ces couleurs sont celles des billets de 10 000 F Cfa que des dandys n’hésitent pas à offrir à leurs « petites filles ».
La communauté musulmane fête chaque année «Achoura» communément appelée « Tamxarit » au Sénégal où elle est marquée par des réjouissances. Cette nuit correspondant au 10e jour de Muharram (premier mois du calendrier musulman) commémorant la victoire du prophète Moïse (Moussa, psl) sur le pharaon Ramsès 2 d’Egypte. 
Le professeur Abdou Aziz Kébé, islamologue et enseignant-chercheur à l’Institut fondamental d’Afrique noire (Ifan) de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), se prononçant sur les arrestations récentes de quelques imams soupçonnés par l’Etat du Sénégal d’être de connivence avec des réseaux terroristes, estime qu’il est nécessaire de «créer une grande alliance des religions contre le radicalisme». Dans cet entretien exclusif qu’il a accordé à Sud Quotidien, il est revenu sur le rôle de l’imam qui, en tant qu’institution de l’Islam, doit être capable d’intelligence dans la communication de ses vérités, mais aussi sur la responsabilité de l’Etat, des autorités religieuses et des organisations non confrériques. Comment appréciez-vous cette série d’arrestations d’Imams qui sont soupçonnés d’être de connivence avec des réseaux terroristes ?
