
A l’instar des autres pays africains, le Sénégal a célébré jeudi dernier, la journée de la renaissance africaine. Une manifestation s’est déroulée dans la sobriété au Monument de la Renaissance, à Ouakam, en présence des enfants et des jeunes.
SENETOILE NEWS
média citoyen libre du Sénégal

A l’instar des autres pays africains, le Sénégal a célébré jeudi dernier, la journée de la renaissance africaine. Une manifestation s’est déroulée dans la sobriété au Monument de la Renaissance, à Ouakam, en présence des enfants et des jeunes.
De plus en plus, l’inquiétude gagne les candidats aux examens de fin d’année scolaire 2013-2014. Et pour cause, jusqu’ici, le département n’a pas encore fixé le calendrier des différents examens que sont le DEF, le Bac général et technique, le CAP et le BT.
En effet, la bonne organisation d’un Etat passe par un système éducatif adéquat. Dans notre pays, après les élections générales réussies, tout porte à croire que l’année scolaire doit s’achever avec la bonne organisation des examens. Cependant, face à la situation qui prévaut, nous sommes en droit de nous interroger si les responsables de l’éducation ont la compétence requise pour conduire ce département constituant ‘’un empire’’à part.
Le projet d'élaboration d'une « histoire générale du Sénégal des origines à nos jours » est de nature à jouer un rôle essentiel dans la bataille du développement, a relevé, samedi à Dakar, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, le professeur Mary Teuw Niane, avant de magnifier cette initiative portée par des universitaires sénégalais, dont l'historien Iba Der Thiam.
« La décision prise par une équipe d'universitaires sénégalais, d'ouvrir un immense chantier dont la réalisation va jouer un rôle essentiel dans la bataille que mène le Sénégal pour son développement et pour son rayonnement sur la scène nationale africaine et mondiale », a-t-il dit.
[VIDÉO (En Wolof)] CAUSERIE DE SERIGNE EL HADJ MADIOR CISSE SUR ‘’ LES RAISONS DE LA CRISE DE LA TIDJANIYA’’ ET LA NÉCESSITÉ D’UN RETOUR A L’ORTHODOXIE (LA VÉRITÉ)’’.
C’est là une causerie inédite de notre maître, Son Éminence Serigne El Hadj Madior CISSE, il y a plus de 20 ans, sur la crise de la Tidjaniya, essentiellement en rapport avec la ‘’maladie des mouqadam’’, pourtant censés être les ‘’docteurs’’ de la Tarikha ; et tout cela, du fait d’un manque d’autorisation spéciale (‘’idznul khass’’) – un agrément, sans laquelle, personne ne peut faire accéder un disciple à l’agrément d’Allah (al ihsaane), encore moins de vivifier la tarikha et la religion d’une manière générale ; il s’agit toujours d’une exclusivité qu’Allah gratifie à un homme, à chaque génération. Al hamdoullilah, c’est ce qu’Il a donnée à notre maître, Son Éminence Serigne El Hadj Madior CISSE, par l’entremise de son vénéré maître Serigne Babacar SY – Une très grande faveur, en rapport avec la mission du Mahdi que votre serviteur a l’insigne privilège d’élucider, et donc chargé d’apporter les preuves décisives (irréfutables) à toute l’humanité pour convaincre tant les musulmans, toutes obédiences confondues, que les ‘’gens du Livre’’ (les chrétiens et les ‘’juifs’’) !!!
Le Théâtre national Daniel Sorano a abrité, lundi dernier, la projection, en avant-première, du documentaire « Yaye Boye ». Réalisé par Cheikh Adramé Diop, journaliste à la Rdv, ce film est un devoir de mémoire à l’une des illustres figures féminines qui a marqué l’histoire du Sénégal, Seyda Mariama Niasse.
Après « Kalidou Kassé, un ange de l’idéal », le journaliste Cheikh Adramé Diop a projeté, lundi, au Théâtre national Daniel Sorano, en avant-première, le documentaire « Yaye Boye ». D’une durée de 52 minutes, le film est un devoir de mémoire retraçant l’œuvre de l’une des plus illustres femmes de l’histoire du Sénégal, en l’occurrence Seyda Mariama Niasse.

iGFM - (Dakar) La France lance le programme numérique «100 000 professeurs pour l’Afrique» pour redynamiser la Francophonie, dont on a célébré jeudi dernier la Journée internationale.
IGFM-(Dakar) Après avoir fait une publicité annonçant pour bientôt le lancement de la 3èmesaison de la série «un café avec», les téléspectateurs tardent à regarder cette téléréalité diffusée sur la TFM. Certains sont même allés jusqu’à lier ce retard à l’emprisonnement de Cheikh Yérim Seck, concepteur de cette série. Ce qui est loin d’être le cas. Selon ce dernier.
Pour cause : «la série un café avec ne peut pas arrêtée tout simplement parce que j’ai été en prison. Parce que ce film bénéficie des plus gros sponsors du pays, notamment avec Orange, CCBM, CMS entre autres, qui ont investi des centaines de millions. Ne serait ce qu’avec tous ces sponsors la série ne pouvait pas arrêter.»
La TFM a eu une belle idée d’aller à la rencontre du peuple inconnu des Sénégalais, les Bédik. L’élément, diffusé par la chaîne de la télévision de Youssou Ndour, est un bon document qui renseigne sur la vie de ce peuple «fermé » du Sénégal oriental profondément ancré dans son terroir et fortement attaché à ces coutumes comme la plupart des peuples dits « marginaux ». Mais, malheureusement, le traitement qui lui a été réservé par l’équipe matinale de la dite chaîne et la maladresse énorme qu’a commise la réalisatrice de ce reportage l’ont rendu inintéressant et provocateur.[xalima.com] C’est ce qui a provoqué l’ire soulevée par les Tendanké (l’autre appellation des Bédik) et le rappel à l’ordre des dirigeants de cette chaîne par le ministre de la culture. L’artiste, musicien et chanteur Wasis Diop a fait fort jeudi dernier à l’Institut français Léopold Sédar Senghor, pour un concert événement inscrit dans la quinzaine de la Francophonie.
La voix de Wasis Diop est si chaude et si rocailleuse qu’elle perce les lieux plongés dans une bruyante quiétude avec des gens obligés, dans un certain brouhaha, de se mettre sur des nattes, juste devant le podium, pour suivre cette balade en mélodies et en concepts philosophiques. Le Théâtre de verdure de l’Institut français a certainement été rarementaussi pris d’assaut. Tout le monde n’a pas eu le privilège de voir Wasis. Malgré un nouveau podium et un nombre très fourni de chaises, des mélomanes sont restés sur le carreau. Cela sentait bon !
L'OBS - Le 8 décembre 2012, loin de la cité religieuse de Tivaouane, dans la grisaille d’une nuit parisienne, Serigne Mansour Sy s’éteignait. Hier, lors du Panel organisé par les «dahiras» de Serigne Mansour pour rendre hommage à l’homme multidimensionnel, Serigne Abdoul Aziz Sy «Al Amine» a fait beaucoup de révélations.
El hadji Abdoul Dabakh avait désigné son successeur.

Le ministre de la Culture et du Patrimoine, Abdoul Aziz Mbaye, a qualifié d'insulte la sortie de Bessel Bass de la Tfm, lors de l'émission matinale « Yeewu Leen » sur l'ethnie Bedik, à l'occasion d'une rencontre avec les autorités religieuses et coutumières de la région de Kédougou. « L'animatrice a caricaturé la vie Bedik et, je m'engage à démarcher pour la restauration de l'honneur de cette ethnie », a-t-il indiqué. C'était dans le cadre de la tournée de promotion nationale de la diversité culturelle qui a pris fin samedi avec un concert urbain des rappeurs du terroir et autres.

La journée d’hier, partie pour être un grand jour pour le village traditionnel de Yoff, a été marquée par des heurts d’origine politicienne entre inconditionnels de deux responsables politiques de la localité. Ce qui devait être un moment de sacrifice pour le génie protecteur du village a viré à des échauffourées au point de profaner le lieu hautement symbolique de Ndénate où se déroulaient les festivités.
Le Quotidien, qui a eu écho des tiraillements rythmés par de chaudes empoignades, a trouvé sur place des Yoffois médusés. Chacun y allait de ses commentaires, pour déplorer l’intrusion de la politique dans cette cérémonie traditionnelle, célébrée depuis Mathusalem. Qui de Birame Gningue, conseiller municipal de Yoff et président d’un mouvement citoyen ou Abdoulaye Diouf Sarr, responsable de l’Alliance pour la République (Apr) dans la même commune a mis le feu ? Les témoignages recueillis diffèrent, selon le penchant manifeste pour l’un ou l’autre.