COMMUNE DE KAOLACK - ADOPTION DU BUDGET 2015 A PRES DE 2 MILLIARDS 500 000 MILLIONS 80% DES FONDS AFFECTES AUX DEPENSES DE FONCTIONNEMENT
Réuni hier en session ordinaire, le conseil municipal de la commune de Kaolack a unanimement adopté et voté le budget prévu pour l’année d’exercice 2015. En termes de recettes et dépenses, ce budget est arrêté à deux milliards sept cent quarante millions deux soixante quatorze mille deux cent treize (2.547.274.213 Frs). Soit une hausse de 418.165.021 Frs comparé à celui de l’année d’exercice 2014. Pour le volet fonctionnement, un montant de 2.040.368.036 Frs est ainsi retenu soit 80 % du budget. La section investissement pour cette année d’exercice, ne se contentera que des 506.906.177 Frs restant. Un déséquilibre physique sur lequel le préfet Abdoulaye Kharma s’est beaucoup inquiété, compte tenu de la demande sociale et de l’insuffisance des ressources dans ce genre d’institutions.
La mairie de Dakar a adopté hier, lundi 2 février, son projet de budget pour l’année 2015 qui est arrêté à la somme de 46 milliards 869 millions 287 mille 764 francs Cfa. Selon Khalifa Sall, maire de la ville de Dakar, il s’agit d’un budget de consolidation dédié uniquement à l’investissement.
A la faveur des deux ans qu’il vient d’effectuer à la tête de l’Agence pour la promotion et le développement de l’artisanat (APDA) et de l’engagement du régime actuel à revaloriser le secteur artisanal, Gouvernance a sollicité et obtenu cet entretien exclusif avec M. Ibra Ndiaye. Non sans défendre ses actions pour la promotion de l’artisanat, l’appui de son ministre, M. Mamadou Talla et la volonté affichée par le président Macky Sall pour le développement de ce secteur, il nous en fait ici un diagnostic complet et sans complaisance marqué par un mauvais cadrage institutionnel et une faiblesse des ressources destinées à sa promotion. D’ores et déjà, l’on note avec le Dg de l’APDA que la part de l’artisanat dans le Produit Intérieur Brut (PIB)du Sénégal a chuté de moitié (de 18% à 9%) en l’espace de vingt ans.
Karim Wade a tout d'abord demandé au témoin du jour s'il avait bien occupé des fonctions de ministre entre 2000 et 2012 notamment ministre du Budget, de l'Economie et des Finances. Ce que confirme Abdoulaye Diop. Avant que Wade-fils n'enchaîne, en demandant : "si dans tous les budgets du Sénégal lors de cette période (2000-2012), il y manque 117 milliards. "Non" répond l'ancien ministre. "S'il manquait 694 milliards de F CFA ?", relance Karim. Le même "non" est servi par le témoin. "Est-ce que manque 2000 voire 4000 milliards de F CFA ?", revient à la charge le célèbre détenu. Avant qu'il ne soit freiné par la Cour notamment le président Henry Grégoire Diop qui indique : "comme il vous a dit qu'il ne manque pas 694 milliards". 
La Commission Développement et Aménagement du Territoire de l’Assemblée nationale a adopté, ce vendredi, le projet de budget 2015 du ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural, estimé à 135 milliards de F Cfa, dont 56% en ressources extérieures.
L’Assemblée nationale a adopté hier mardi 2 décembre le budget du ministère de la Culture et la Communication qui passe de 10 804 870160 FCFA à 12 507 092 520 FCFA. Mais dans l’hémicycle la discussion générale a surtout porté sur le Code de la presse. Les députés ne sont pas contre, du moins pas dans l’absolu. Mais qu’on ne vienne surtout pas leur parler de dépénalisation du délit de presse. 
A mi-mandat, la douzième législature entame une année charnière de son existence avec la session unique ordinaire de 2015. Une session qui met à l’épreuve, dès son démarrage, la représentation parlementaire, avec des questions d’enjeux majeurs pour notre pays. Si tant est que les députés, dont on attend encore des actes significatifs de rupture, vont se confronter à la fois à la troisième déclaration de politique générale en trois années d’un Premier ministre, en l’occurrence Mahammad Dionne, au réexamen de la «sulfureuse» loi sur l’Acte III de la décentralisation au centre de moult polémiques, et surtout au vote du projet de budget 2015 devant consacrer enfin les premières réalisations d’un Plan Sénégal Emergent «guetté» par tous.
C’est un pari risqué en direction du meeting de ce vendredi 21 novembre 2014 et il porte les empreintes du Secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais. 