
Les besoins de financement des projets du Plan Sénégal émergent (Pse) seront pris en compte dans l’exercice budgétaire en cours. Le gouvernement prépare à cet effet, une loi de finances rectificative (Lfr). Sur sa justification, Amadou Bâ, ministre de l’Economie et des Finances a évoqué en Conseil des ministres qui s’est tenu avant-hier, «l’aménagement de nouveaux espaces budgétaires pour prendre en compte dans l’exercice budgétaire en cours, les besoins de financement du Pse, la maîtrise du déficit budgétaire et l’amélioration de la qualité de la dépense publique».
Les ressources qui seront ainsi mobilisées pour le financement de l’étude et le lancement des projets de base seront inscrites dans le budget en cours.



Pour commémorer la 28ème année de la disparition du Pr. Cheikh Anta Diop, ses amis et ses compagnons ont organisé, hier, un forum qui a pour thème « La crise des universités africaines ». Au cours des échanges, tous les panelistes sont d’avis qu’il faut mettre fin à cette situation au risque de voir disparaître l’université publique.
Le Plan Sénégal émergent (Pse) a obtenu son financement complémentaire à Paris, lors du Groupe consultatif de février dernier. Lors d’une rencontreavec la convergence des cadres républicains (CCr) dans la capitale française, Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre délégué chargé du Budget, est revenu sur les priorités du Pse, l'engagement de la diaspora pour sa réussite et lever un coin du voile sur les taux des prêts du financement du projet.
La réunion du Groupe consultatif de Paris sur le Sénégal pourrait connaître le grand rush. Selon le ministre délégué en charge du Budget, 400 invités ont répondu positivement à l’appel du Sénégal. Certains pourraient suivre les travaux par vidéoconférence. Mouhamadou Makhtar Cissé s’exprimait lors d’une rencontre avec les organisations syndicales sur le Plan Sénégal émergent (Pse). 
