iGFM - (Bissau) La Société de la prospection pétrolière en Guinée -Bissau, PETROGUIN et l'Autorité Nationale du Pétrole du Timor-Oriental vont établir á partir de Juillet prochain un partenariat pour l'exploration conjointe du pétrole dans les eaux maritimes de la Guinée-Bissau.
L'annonce a été faite ce jour après une réunion avec son partenaire de la Guinée- Bissau, PETROGUIN. La délégation de l'Autorité nationale du pétrole du Timor-Oriental est en visite au pays et est dirigée par son président, Gualdino da Silva qui a annoncé que cette initiative s'inscrit dans le cadre de la Communauté des Pays de Langue Portugaise ( CPLP ).
En 10 ans, la production d’oignon du Sénégal a bondi de 40.000 à 260.000 tonnes, a fait savoir le ministre du Commerce, de l’Artisanat et du Secteur informel.
De 40.000 tonnes en 2003, la production d’oignon est passée à 260.000 tonnes en 2013 a indiqué, vendredi dernier, le ministre du Commerce, de l’Artisanat et du Secteur informel, Alioune Sarr, qui inaugurait le magasin de stockage et de séchage de Darou Khoudoss (département de Tivaouane), d’une capacité de 100 tonnes. Cette production atteint 15.000 à 18.000 tonnes par mois, soit environ plus de 200.000 tonnes annuellement, ce qui place le Sénégal parmi les principaux pays producteurs d’oignon du monde.
Le chef de l’Etat, Macky Sall, a fait part mardi de son souhait de mobiliser les ressources financières nécessaires en vue d’atteindre une production d’un million 80 mille tonnes de riz, à l’horizon 2017, exprimant aussi son désir de revenir dans le Walo dans le cadre d’une visite consacrée à cette culture.
‘’Je veux mobiliser des ressources pour financer la culture du riz et atteindre 1 million 80 mille tonnes à l’horizon 2017’’, a dit le Président Sall, en présidant à Rosso l’inauguration d’un centre de pesage. Il a cet souligné l’importance de mettre en place des ‘’aménagements nouveaux’’.
Le projet de budget 2014 du ministère des Infrastructures, des Transports terrestre et du Désenclavement a connu une hausse de 8 milliards 071 millions 339 mille 060 F Cfa. Face au ministre Thierno Alassane Sall, pour l’examen de ce budget de son département, les députés ont exprimé hier leurs préoccupations sur plusieurs question notamment la construction des pistes de production, le manque d’infrastructures routières et ferroviaires.
La question des infrastructures routières et ferroviaires a été au centre des débats à l’assemblée nationale hier, jeudi 28 novembre lors de l’examen du projet de budget du ministère des Infrastructures, des Transports et du Désenclavement.
25 agents de petites et moyennes entreprises semencières ont terminé hier Vendredi, un atelier de formation de trois (3) jours en techniques de production et gestion des petites et moyennes entreprises de commercialisation de semences. Organisée par le programme semencier Ouest Africain en partenariat avec le conseil ouest et Centre africain de recherche et développement agricole (Coraf), cette rencontre suscite deux intérêts majeurs.
Zouerate, 04/01/2014 - Les festivités commémoratives lancées par la SNIM à l'occasion de la réalisation d'un seuil de production fabuleux de plus de 13 millions tonnes de minerais de fer par an se poursuivent au niveau du quartier M4.Il a s'agit d'un accèdent que l'entreprise peine à réaliser depuis sa création. La SNIM compte aller au-delà de cette performance dans le cadre d'un programme dénommé Nouhoudh (renaissance arabe) pour rehausser ses ventes de minerais de fer jusqu'à 40.000.000 tonnes à l'horizon de 2025.
Marie Stopes International Sénégal a lancé sa nouvelle équipe mobile à Tambacounda le 18 septembre. Celle-ci va opérer sous la supervision de la région médicale.
« Offrir des services en Santé de la reproduction, plus spécifiquement en planification familiale », telle est la vocation de Marie Stopes International Sénégal, lit-on dans un communiqué qui nous est parvenu. Grâce au financement du Fonds des Nations unies pour la population (Unfpa), cette organisation a procédé, le 18 septembre 2013, au lancement d’une nouvelle équipe mobile à Tambacounda qui compte aider les femmes désirant espacer leurs grossesses pour préserver leur santé et celle de leurs enfants.
En visite à Médina Gounass, le ministre de l’Hydraulique, Pape Diouf, a constaté l’opérationnalité des forages de la ville religieuse. Une unité de potabilisation et une autre de production de chlore y sont également prévues pour faire face à l’extension du site du « Daaka » et de la cité de Medina Gounass. Le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Pape Diouf, en visite à la cité religieuse de Médina Gounass (région de Kolda) a passé en revue les différents chantiers prévus pour accueillir les populations pendant le temps de la retraite spirituelle du « Daaka ».
Un million de nouvelles femmes utilisatrices de la planification familiale d’ici à 2015. C’est l’un des objectifs majeurs du « Partenariat de Ouagadougou ». Une initiative lancée en 2011 pour améliorer les faibles prévalences contraceptives enregistrées dans les pays de l’Afrique de l’Ouest francophone.
Avec seulement 13 %, les pays de l’Afrique de l’Ouest francophone détiennent les plus faibles taux de prévalence contraceptive dans le monde. Au nombre de 9 (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal et Togo), ils se caractérisent aussi par un Indice synthétique de fécondité (nombre moyen d’enfant par femme) élevé estimé à 5,5.
L’Union régionale des coopératives de producteurs de maïs de Kaffrine a tenu lundi dernier, une assemblée générale constructive. Les nombreuses coopératives et autres cellules de producteurs présents ont invité, mais surtout appelé à de nouvelles orientations visant à développer leur organisation et la filière dans laquelle ils évoluent. C’est du reste le sentiment qui s'est dégagé lors de la rencontre.
Le président nouvellement élu de l’union ,Ousmane Lô, a décliné sa feuille de route en prenant les opérations de mise en place des semences et des intrants agricoles de même que la gestion du volet technique du projet comme programmes prioritaires.
En vue de la campagne agricole 2014, l’USAID/PCE a invité l’ensemble des réseaux de producteurs partenaires afin de faire le bilan de la campagne agricole précédente et préparer l’hivernage. USAID/PCE met en œuvre son programme de vulgarisation des variétés Nerica avec l’appui des Ong locales.
La rencontre a réuni les réseaux de producteurs, les institutions financières, les Ong partenaires du programme en présence des autorités locales. Les différents producteurs et leur encadrement se sont beaucoup intéressés à la question des semences et à la maitrise de l’itinéraire technique.
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Un atelier de lancement du projet de diffusion à grande échelle d’un paquet de technologies d’amélioration de la production et de la commercialisation du mil de qualité dans le bassin arachidier, a réuni ce jeudi dans la salle de délibération au conseil régional de Diourbel, les différents acteurs au développement. ll s’agit d’un projet que l’Agence nationale du conseil agricole et rural (Ancar) a élaboré et soumis au fonds national de recherche agricole et agro–alimentaire( FNRAA ) dans le cadre du programme du productivité agricole en Afrique de l’ouest. L’objectif global de ce projet est de contribuer à la sécurité alimentaire des ménages.
Le bassin de l’Anambé a enregistré cette année une production record de 10 000 tonnes de riz. Un résultat qui est dû, en grande partie, à la bonne pluviométrie et à l’équipement du bassin en matériels agricoles. Malgré tout, de faibles rendements sont constatés pour le maïs qui représente la principale nourriture de base dans le Fouladou. Conséquence, une disette s’est installée dans ce département de Vélingara. Les producteurs du bassin de l’Anambé, situé dans le département de Vélingara, entament les récoltes de riz dans des difficultés. En effet, ils récoltent à la faucille. Une situation qui constitue un véritable manque à gagner pour les riziculteurs du fait qu’ils vont enregistrer d’énormes pertes. C’est l’avis de Boubacar Diallo, un des responsables de la Fédération des producteurs du Bassin de l’Anambé (Feproba). Selon ce producteur, ’à cause de la forte humidité causée par les eaux qui occupent nos parcelles, nous sommes obligés de récolter à la main puisque les moissonneuses ne pourront pas accéder aux périmètres. Avec cette technique artisanale, nous allons enregistrer beaucoup de pertes. C’est ce que nous ne cessons de dénoncer.’ Mais ces arguments sont dégagés en touche par Charles Antoine Large, le chef de la division Appui au développement rural de la Sodagri : ‘C’est faux. Dans le bassin, il y a deux situations qui se présentent. D’abord, les surfaces récoltables mécaniquement sont estimées à 81 520 ha alors que seuls 46 578 ha seront récoltés manuellement.’ Et de préciser que, ‘du point de vue technique, toutes les parcelles sont récoltables mécaniquement.