Account
Please wait, authorizing ...
Not a member? Sign up now
×

Sidebar

06
Sam, Déc

   Le 15 janvier 2014, l'Assemblée nationale avait voté une loi sur la baisse des prix du loyer qui sera promulguée quelques jours après par le Président Macky Sall. Prés de sept mois après, elle continue toujours de faire des émules chez les locataires.  

«Des pratiques spéculatives insupportables, qui n’ont que trop duré, exposent des familles entières à la précarité. Nous ne pouvons plus laisser perdurer cette situation». Ces deux phrases du président de la République dans son message de nouvel an du 31 décembre 2013 avaient suscité l’espoir chez les locataires. Mais plus de sept mois après l’entrée en vigueur de la loi portant baisse des prix du loyer, le calvaire que Macky Sall voulait éviter aux Sénégalais continue d’être vécu par certains d’entre eux. 
Lire la suite...

Tous les jours ce sont des milliers de personnes qui viennent ici pour rompre le jeûne. « Mère Ndèye » vient du village de Ndindy. Le « ndogou » (coupure du jeûne) à la grande mosquée de Touba, elle en a fait sa tasse de thé depuis des années maintenant. 

« Je viens ici depuis des années. Pour rien au monde je ne veux rater ça ». 

Lire la suite...

En ce lundi, premier jour du mois béni de ramadan, il y a une forte affluence au niveau des marchés de dakar. Si les produits sont en quantité suffisante comme au marché Castors, les clients déplorent toutefois la flambée des prix.

 

En cette après midi de lundi, premier jour du mois béni de ramadan, le marché Castors de Dakar grouille de monde, malgré la forte chaleur qui dicte sa loi. Les marchandages entre vendeurs et clients vont bon train. Chacun veut se procurer les condiments nécessaires pour la préparation d’un bon Ndogou. Le marché est bien approvisionné en dattes, oseille, légume, oignon. Pour les dattes les prix varient entre 1000 et 1500 francs Cfa le kilogramme, l’oseille communément appelé Bissap, tellement prisée en cette période de jeune se vend, entre 400 (ordinaire) et 500 francs Cfa (Vimto) le pot. Même si on note une affluence au niveau du marché, les clients déplorent toujours la cherté des prix des denrées alimentaires.
Lire la suite...

L’Usaid veut promouvoir la consommation du riz local. C’est ce qu’a affirmé Jean Michel Voisard, le directeur du Projet croissance économique, lors de la cérémonie de lancement de la campagne de promotion du riz local qui s’est tenue hier, mardi, à Dakar. La cérémonie  a noté la présence du secrétaire général du ministère du Commerce, de l’Entreprenariat et du secteur informel, ainsi que le directeur de cabinet du ministère de l’Agriculture et de l’équipement rural.

 

« La conquête du marché domestique nécessite un système de commercialisation efficace d’autant plus que le potentiel de production marchande reste pour l’essentiel confiné dans la zone nord sur une longue et étroite bande que constitue la rive gauche du fleuve Sénégal ». 
 
Ces propos, tenus par Lamine Lo, le directeur de cabinet du ministère de l’Agriculture et de l’Équipement rural,  lors de cérémonie de lancement de la campagne de promotion du riz local hier, mardi 27 mai, à Dakar, ont eu en réalité pour effet de montrer toute l’ampleur de la tâche que nécessite l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire en riz au Sénégal. 
Lire la suite...

L’OBS – Est-ce que c’est du vol qui est commis sur les clients des grandes surfaces avec le prélèvement de 1% sur les achats de produits de plus de 20 000FCfa ?

Ce n’est pas du vol. C’est un prélèvement qui est prévu par le Code général des impôts, à travers la loi 31 décembre 2012, qui stipule qu’il est institué un droit de timbre de 1% sur les paiements en espèces sur des valeurs dépassant 20 000 FCfa. Autrement dit, si vous payez par chèque ou par carte bancaire, vous ne subissez pas ce prélèvement-là. Donc, c’est pour décourager les paiements en espèces sur des montants qui sont importants. On peut discuter sur le seuil : 20000 FCfa, est-ce important ou pas ? Toujours est-il que l’idée c’est que nous ne voulons pas qu’avec la bancarisation croissante, les gens essaient de s’accommoder de ces types de paiements.

Lire la suite...

Une caution. C’est ce que Abdoulaye Daouda Diallo propose après les Locales pour lutter contre la prolifération des listes électorales en lice pour ces élections,  les plus coûteuses du reste jamais organisées par l’Etat.

Tout est fin prêt pour les élections locales du 29 juin. Le ministre de l’Intérieur Abdoulaye Daouda Diallo a procédé hier à la visite du hangar de l’école de police sise à Dakar où est stocké le matériel électoral : urnes, enveloppes, listes électorales, isoloirs, etc.

Lire la suite...

La Senelec peine toujours à recouvrer les factures de l’Administration. Pour un objectif de 100%, la Société nationale d’électricité n’a pu recouvrer que 48,94% de ces créances durant l’année 2013.

Recouvrer les factures de l’Administration à 100%, c’est l’un des objectifs que la Senelec s’était assignée dans le contrat de performance qu’elle a signé avec l’Etat. Malgré tous les efforts consentis, cet engagement n’a pas été respecté. La Société nationale d’électricité peine toujours à recouvrer les factures d’électricité des collectivités locales, des établissements publics à autonomie financière, notamment les universités, les hôpitaux… 

Lire la suite...


iGFM- (Dakar) En cette période de Ramadan, le prix de certaines denrées comme les légumes ont flambé. Le kilogramme de carotte qui se vendait à 350 francs voire 400 francs est passé à 700 voire 800 francs. Une situation déplorée par les consommateurs qui ne savent plus à quel saint se vouer. Les vendeurs eux soulignent qu’à l’approche de l’hivernage tout devient cher. Il faut signaler que si certaines denrées ont doublé de prix d’autres par conte restent sans changement . Hawa Signaté a fait un tour au marché Castor pour la rédaction d’IGFM. Suivons ce reportage.

Lire la suite...

iGFM (Dakar) Le concept Armée / Nation a prévalu au pèlerinage marial de Popenguine, édition 2014. En effet l’Armée fidèle à son action sociale et citoyenne, a distribué pas moins de 12000 morceaux de pains et des centaines de milliers de tasses de café et de lait pour le petit déjeuner.

Selon l’adjudant chef Aloyse Diéne de la direction de l’intendance de l’Armée qui a dirigé l’opération, ceci va en droite ligne des sollicitations des autorités religieuses catholiques. « Suite à la demande des autorités religieuses catholiques, les militaires ont bien voulu mettre à la disposition du pèlerinage des unités de boulangerie mobile. L’Etat major a tenu à répondre favorablement a cette sollicitation », explique-t-il.

Lire la suite...

6647274-10027306« Après la réunion du conseil national de la consommation hier il fallait immédiatement passer à l’application. Ce, à quoi nous nous sommes attelés ce matin » annonce d’emblée Oumar Diallo, le chef de service régional du commerce de Dakar qui précise que ce sont vers les coups de 06 heures du matin que les équipes du service se sont déployées sur le terrain pour surveiller l’état d’application des prix ».

Lire la suite...

Le retard dans la réalisation du programme d’urgence de la Société nationale des eaux du Sénégal (Sones) et l’«instabilité» de la fourniture d’électricité sont la cause de la pénurie d’eau qui frappe la capitale, selon la Sde. Mais, la Sones nage à contre courant de ces affirmations, rappelant que son rôle se limite juste à livrer des ouvrages à la Sde. A charge pour cette dernière d’assurer correctement, l’approvisionnement en eau des ménages. 

La pénurie d’eau qui frappe la capitale depuis quelques jours maintenant semble être une équation à plusieurs inconnus, tellement ceux qui doivent étancher la soif des populations se renvoient la balle et cherchent des bouc-émissaires. En effet, la Sénégalaise des eaux (Sde), prise pour responsable de cette pénurie par les populations, s’est fendue d’un communiqué hier, dans lequel elle explique que les perturbations dans la distribution de l’eau à Dakar trouvent leur racine dans la réalisation en retard du programme d’urgence de la Société nationale des eaux du Sénégal (Sones) et l’«instabilité» de la fourniture d’électricité.

Lire la suite...

Pour une meilleure promotion de la production sénégalaise, il a été lancé, hier à Dakar, une caravane du riz dénommée « Origine Sénégal ». Notre pays consacre 100 milliards de FCfa par an à l’importation de riz alors qu’il a le potentiel pour atteindre l’autosuffisance alimentaire.

La cérémonie de lancement de la campagne de promotion du riz "Origine Sénégal", dans la région de Dakar, a eu lieu hier. Du 27 mai au 22 juin, la caravane va sillonner les localités de Pikine-Est, Guédiawaye et Dakar. Pour les organisateurs, le manque d’information sur les avancées qualitatives et l’inexistence d’un véritable système de distribution constituent des obstacles majeurs à la conquête des marchés urbains par le riz local. Venu représenter le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, le directeur de cabinet, Lamine Lô, a souligné que le Sénégal figure en tête de liste des pays importateurs de riz, sur un marché étroit, résiduel et de plus en plus aléatoire comme en témoigne la crise alimentaire de 2008.

Lire la suite...

BoulangersLes nouveaux prix du pain vont entrer en vigueur après la réunion du Conseil national de la consommation (Cnc) prévue lundi, a annoncé hier, le directeur du Commerce intérieur, Ousmane Mbaye.

Après cette réunion, le ministre du Commerce, de l'Entreprenariat et du Secteur informel, rendra public mardi un arrêté fixant ces nouveaux prix, a indiqué M. Mbaye à Radio Sénégal. Des réunions se tiendront également dans les régions pour fixer de nouveaux prix qui tiendront en compte les coûts du transport, a-t-il précisé. Le ministre du Commerce, de l'Entreprenariat et du Secteur informel a annoncé mercredi en Conseil des ministres les nouveaux prix du pain, suite à la chute des cours mondiaux de la farine. La miche de 65 grammes est désormais cédée 50 FCfa, celle de 125 grammes à 100 francs et celle de 190 grammes à 150 FCfa.

Lire la suite...