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SOUDAN DU SUD DES FILLES VIOLÉES ET BRÛLÉES VIVES, DES GARÇONS CASTRÉS…
Après les révélations de l’Unicef, mi-juin, concernant les atrocités commises sur les enfants au Soudan du Sud, l’ONU publie un rapport sur les violences subies par les femmes et les filles de ce pays en guerre depuis un an et demi.
Un témoin a raconté avoir vu «un viol collectif perpétré par les forces gouvernementales contre une femme qui allaitait». Les soldats auraient jeté le bébé au sol. Un autre relate comment des militaires ont forcé une femme à serrer entre ses mains «du charbon ardent», dans le but de lui faire dire où se trouvaient les rebelles et le bétail.
La mort de cet enfant est une pilule difficile à avaler pour ses parents et proches. Les réactions fusent de partout, dénonçant bavure, excès de zèle et manque de formation dans la gestion de l’enfance dans les internats.
Trois candidates et leur complice ont été condamnées hier, à un an de prison avec sursis pour avoir fraudé lors de la session du Baccalauréat 2015. Ramata Bâ et Cie ne pourront pas repasser l’épreuve pendant 5 ans.
C’est une nouvelle affaire qui défraie la chronique dans la banlieue. Le Commissariat de Guédiawaye a démantelé «un réseau d’homosexuels» qui opérait dans la Cité Aliou Sow située vers Golf Sud.

L’après-midi d’hier, mercredi 8 juillet, et ce, jusqu’au crépuscule, a été celle de toutes les paniques dans la commune de Samsamba et environs. Et pour cause, les gendarmes et des éléments du maquis ont échangé des coups de feu pendant plus d’un tour d’horloge. Les premiers cités ont été alertés de la présence des rebelles dans la zone et qui auraient pris en otage des civils. Une fois sur les lieux, ils tombent, nez-à-nez, sur des rebelles et il s’en est suivi des tirs aux fusils automatiques. Les civils ainsi libérés affirment être pourchassés par les hommes de Salif Sadio qui s’opposent à l’exploitation du bois quoique détenteurs d’un permis de coupe. 

Depuis quelques jours, les enlèvements d’enfants sont devenus monnaie courante dans la banlieue. Après Rufisque, le phénomène s’est signalé à Guédiawaye où quatre enfants âgés de 3 et 6 ans sont portés disparus depuis jeudi dernier. Il s’agit des nommés El Hadji Malick Hann (3ans), Cheikh Sall (6ans), Talla Guèye (environs 5 ans) et Serigne Saliou Seck (3 ans).
L’agression du diplomate sénégalais: Les faits tels que relatés par un site web tunisien