Les ressortissants marocains et mauritaniens ne seront pas concernés par l'obligation d'un visa biométrique pour voyager au Sénégal à partir du 1 er juillet, a annoncé, mardi à Dakar, un responsable du ministère sénégalais de l'Intérieur.

A partir du 1er juillet, le Sénégal exigera un visa biométrique à toutes les personnes désireuses d'entrer sur son territoire, si elles ne sont pas des nationaux des 14 autres pays avec lesquels il constitue la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO, 15 pays). 

L’exécution de la sentence de mort de deux Sénégalais en Gambie, en violation de la Convention consulaire de Genève et des règles de bon voisinage, a jeté le froid dans les relations entre les deux pays. Depuis lors, la tonalité des discours d’indignation qui s’amplifie, comme une trainée de poudre, à la suite de l’interpellation publique des Autorités Gambiennes par le Chef de l’Etat du Sénégal, est en train d’attiser le feu entre ces deux pays.

Les va- t- en guerre, au Sénégal, reprennent du service dans tous les milieux, encouragés par les propos musclés et « guerriers » de nos organisations de Défense de Droits Humains à l’encontre du Président Gambien, et par les révélations irresponsables, à la limite de la décence, faites publiquement sur les plateaux de la Télévision nationale (RTS),  par un ancien Ambassadeur du Sénégal en Gambie, sur les rapports « hostiles » que les Autorités Gambiennes auraient toujours entretenus avec le Sénégal.

La Sénégalaise D.D, domestique de son état, a été kidnappée et violée par 4 gaillards qui se sont relayé sur elle.

Elle a été kidnappée à bord d’un taxi par quatre personnes dont trois de race blanche. D.D, domestique de son état, a été nuitamment conduite dans le désert sur la route d’Atar. Sauvagement violée, ses bourreaux l’ont abandonnée dans le désert. Les premières informations recueillies disent que  la jeune femme, née en 1989 à Kaolack, est sortie de la demeure de sa «cousine» sise au quartier résidentiel de Tevragh-Zeina.

La Mauritanie est loin d’être un havre de paix pour nos compatriotes qui y vivent. Selon les informations de l’Association mauritanienne pour la santé de la mère et de l’enfant , depuis le début de cette année 2013, 99 cas de viol sur des sénégalaises ont été enregistrés par les assistantes sociales de cette organisation mauritanienne de défense des droits de l’Homme.

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Et ça repart pour les ressortissants mauritaniens résidant à Dakar. Ils ont repris leur grève de la faim. Après avoir observé une pause due au ramadan, ces derniers ont décidé de reprendre leurs train quotidien. En effet, ils réclament une carte d’identité des réfugiés et amélioration de leur condition d’existence au Sénégal. Deux revendications majeures qui leurs tiennent à cœur, selon leur porte-parole. Ces réfugiés négro-mauritaniens, vont passer à la vitesse supérieure. Et ils comptent, aller jusqu’au bout pour obtenir une satisfaction totale à leurs doléances.

On apprend que la police a arrêté - le jeudi 13 juin dernier - sept (7) ressortissants sénégalais pour cause de mariage d’homosexuels :

il s’agit de deux mariés et de cinq autres personnes qui ont pris activement à l’organisation du «mariage» et des festivités grandioses qui auraient eu lieu dans un espace ouvert à Sebkha.

Selon le général Mamadou Niang, le président Abdou Diouf a agi en "chef responsable" en répondant négativement à la déclaration de guerre de la Mauritanie par son ministre de l’Intérieur Djibril Ould Abdallah.

"Le problème (entre le Sénégal et la Mauritanie) a été résolu sans qu’il y ait la guerre", a déclaré le général Mamadou Niang sur les ondes de la RFM à travers l’émission "Grand Jury". Il n’a pas voulu se prononcer sur l’existence ou non de missiles en Mauritanie offertes par Saddam Hussein. Seulement, reconnait-il, l’ancien homme fort de Bagdad soutenait le président Taya.

Un Mauritanien a égorgé ses quatre enfants hier soir à Nouakchott, en expliquant ensuite à son épouse lui avoir épargné "les soucis" de dépenses à l'occasion de la fête musulmane de l'Aïd el fitr, a appris l'AFP vendredi auprès de ses proches. Le quadruple infanticide a été commis à Arafat, quartier pauvre du sud-est de Nouakchott où vivait la famille de l'homme, un infirmier du secteur public, quadragénaire, qui faisait régulièrement le trajet entre la capitale et son lieu d'affectation en province.