
Le Syndicat autonome des enseignants du moyen-secondaire du Sénégal (Saems-Cusems) a regretté mercredi, au cours d’un point de presse, la crise qui sévit dans les universités, la situation scolaire, de même que l’enlèvement des lycéennes au Nigeria par l’organisation terroriste Boko haram.
La crise qui sévit à l’université depuis quelques jours ne laisse pas indifférent le Syndicat autonome des enseignants du moyen-secondaire du Sénégal (Saems-Cusems). Les responsables de ladite organisation syndicale regrettent en effet l’escalade de la violence dans ce lieu d’enseignement supérieur, tout en la condamnant «à haute et intelligible voix, quels qu’en soient les auteurs et les motifs.»
Mamadou Lamine Dianté et ses camarades conviennent cependant de la nécessité de retirer les Forces de sécurité du campus. Parce qu’ils trouvent qu’«on ne peut pas régler les problèmes d’un système par des solutions sectorielles». Toutefois, ils pensent que «cette crise mérite que l’on s’arrête et reconnaisse avec courage que certaines recommandations de la Cnaes sont à reconsidérer absolument».

Après avoir réitéré son vœu de voir un espace universitaire apaisé et confirmé le début du paiement des bourse, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a fait savoir que l’Etat ne compte pas fléchir devant l’un des points de revendication des étudiants et qui concerne le master. 



Entre le marteau et l’enclume. Tel est la position de qui veut défendre l’intangibilité de la République tout en ménageant Touba et ses intérêts. Succomber à cette tentation mène à la démagogie et au populisme religieux. Face à celui qui refuse cette posture, les simples d’esprit crieront au scandale, les fanatiques à l’hérésie. Or, être féru de Touba et de sa confrérie ne devrait pas empêcher d’admettre l’indivisibilité de la souveraineté républicaine. Accorder un statut spécial à Touba, c’est non seulement violer gravement la constitution, mais pis, c’est poser le premier acte du dépeçage de notre pays.

Le président nouvellement élu de la République soeur de Guinée Bissau a réservé sa première visite au Sénégal. Il a été reçu hier par le Président de la République Macky Sall avec qui il s’est entretenu sur les problèmes que les deux pays ont en commun et sur les solutions qu’ils doivent également élaborer ensemble et partager.
L’ancien Premier ministre, sous Abdoulaye Wade, Souleymane Ndéné Ndiaye qui s’entretenait hier avec la presse dans un hôtel de la place, à Kaolack, a déclaré qu’il était prêt à jouer les bons offices entre le président de la République, Macky Sall et Abdoulaye Wade, pour un rapprochement entre « le père et le fils », si on le lui demandait.