Nigeria : enlèvement de plus de 200 lycéennes par « boko haram » le conseil supérieur islamique du Sénégal condamne un acte «ignoble»

L'enlèvement de plus de 200 lycéennes, par le groupe «Boko Haram» au Nigéria et mariées de force à des combattants de l'organisation au «nom de l'Islam» ou transformées en esclaves, continue de susciter des vagues de condamnation partout dans le monde. En plus de l'occident (Etats Unis, Grande Bretagne…) qui offre son aide et soutient le Nigéria pour retrouver ses filles, dans le monde musulman, des organisations, dont le Conseil supérieur islamique du Sénégal (CSIS), élèvent la voix pour condamner un «acte ignoble», contraire à l'Islam mais commis au nom de cette religion.
La comparaison entre Abdoulaye Wade et Macky Sall en ce qui concerne les droits humains est en faveur du premier. Ce constat a été posé par la responsable d’Amesty International au Sénégal, Nafi Samba Kâ.
Le président de la République, Macky Sall, a affirmé, dans un entretien au journal Le Monde (France) paru mardi, qu'évoquer la possibilité d'un accord politique dans le cadre d'un dossier judiciaire, ''c'est faire insulte à la justice sénégalaise''
L’ambassadeur des Etats-Unis au Sénégal, Lewis Lukens, a présidé, hier, une rencontre d’échanges entre les responsables de la Chambre de commerce américaine (AmCham) et des chefs d’entreprises sénégalais sur le renforcement des liens économiques entre les deux pays. Se prononçant sur la situation économique du Sénégal, le diplomate américain se dit optimiste quant à l’amélioration du climat des affaires au Sénégal.
Viviane Wade n’a pas de permis pour aller rendre visite à son fils. C’est la raison pour laquelle elle n’a pas pu le voir hier. Une demande a été introduite depuis vendredi, mais d'après L'As, le Parquet spécial n’a pas réagi.
Dans les rues de Grand Yoff, ce dimanche, le marché bat son plein. Le quartier, et ses 150 000 habitants (officiellement), est l'un des plus populaires de Dakar. A quelques mètres de la menuiserie où il est employé, Boubacar Biaye, 21 ans, n'est pourtant pas débordé. Voilà six mois qu'il n'a pas travaillé, faute de clients. En 2011, lors des manifestations contre l'ancien président Abdoulaye Wade, ce jeune Dakarois était chaque jour dans la rue. « Il y a eu des morts ici », rappelle-t-il. Aujourd'hui, il ne cache pas une certaine déception. « Le président Macky Sall est venu pour mettre de l'ordre, on lui laisse du temps, mais il faut que ça change », prévient-il. Près de son étal de poissons, Safietou Mbengue, une jeune mère de famille, se veut plus confiante. « La vie a commencé à changer, dit-elle. Le riz est moins cher, notre loyer a baissé de 6 000 francs CFA . »
Le chef de l’Etat Macky Sall a vivement salué la nouvelle conscience citoyenne qui se développe à travers des actions pour la protection de l’environnement, l’amélioration du cadre de vie, la participation aux élections, etc. 
Le Mouvement Y en a Marre tient une rencontre avec la presse le jeudi 8 mai 2014 à partir de 11h à son Quartier général de l’Unité 16 des Parcelles Assainies, villa 7.