Conseil interministériel sur l’accès à l’habitat : La construction de 5.000 logements sociaux démarre en février
Le gouvernement a l’ambition de réaliser 5.000 logements en 2014. C’est ce qui ressort du conseil interministériel sur les logements sociaux présidé, hier, par le Premier ministre. Les travaux seront lancés en février.
Le gouvernement du Sénégal travaille à atténuer les dépenses des ménages liés au loyer. La preuve, l’une des recommandations du conseil interministériel présidé, hier, par le Premier ministre, Aminata Touré, est axée sur l’urgence de lever toutes les contraintes afin de construire, cette année, 5.000 logements sociaux. Les travaux seront lancés au mois de février avec comme finalité de permettre à des milliers de Sénégalais de se soustraire de cette contrainte qui grève le budget des ménages.

L’affaire Aida Ndiongue apparait de plus en plus comme le parfait baromètre d’une traque en folie. Jusque-là, la fameuse traque des biens mal acquis limitait ses vagues, ses remous et ses controverses dans un périmètre englobant le microcosme politique, l’espace médiatique, la famille judiciaire et – par extension – le cercle des orfèvres du Droit. Depuis l’interpellation de l’ancienne sénatrice et éternelle femme d’affaires, Mme Aida Ndiongue, tout se passe comme si une convulsion procédurale s’est brusquement produite, avec son lot d’impacts et de répercussions spectaculaires.

DAKARACTU.COM C'est la préoccupation des uns et des autres depuis que l'homme d'affaire Mbackiou Faye a déclaré aux pandores de la SR être le propriétaire légitime de l'un des coffres ouvert et saisi à la CBAO lors la fameuse perquisition. Les réactions glanées par-ci et par-là sont mitigées. Pour une partie "la révélation est de taille et Mbackiou Faye devrait être auditionné" d'autant que l'on parle d'enrichissement illicite dans cette affaire Aida Ndiongue. 



Le vote par les députés, ce vendredi, de la loi portant modification de l’article 3 de la loi portant création de l’Office nationale de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC), matérialise la prérogative attribuée désormais à l’institution de recevoir les déclarations de patrimoine des autorités publiques.