
Samedi dernier, Charles Paul Alphonse Ndour, jeune Sénégalais de 26 ans, a trouvé la mort à Tanger dans d’horribles circonstances. Une vidéo qui circule sur la toile lève le voile sur les circonstances du décès. Le ministère des Affaires étrangères a pris les choses en main.
Le rendez-vous pris avec la mort par Charles Alphonse Ndour s’est fait dans des conditions sordides, à la fois violentes et surréalistes. Une vidéo-amateur raconte le film d’horreur, aimante les vues sur la toile en même temps qu’elle avertit : «Ames sensibles, s’abstenir.»
Samedi, en faisant le point sur l'épidémie de la fièvre hémorragique, la Guinée s'est aussi prononcée sur l'exportation du virus chez son voisin le Sénégal. Tout a commencé le 08 août dernier, selon le Comité national de riposte à Ebola.
Le Sénégal vient d'enregistrer son premier cas d'Ebola importé de la Guinée, par un jeune guinéen de 21 ans, étudiant dans une université à Conakry, actuellement mis en quarantaine au niveau de la Clinique des Maladies Infectieuses du Chn de Fann. Eva Marie Colle Seck, ministre de la Santé a fait face à la presse hier, vendredi 29 août, pour confirmer la présence de ladite maladie, non sans appeler à la sérénité et au respect strict des mesures d'hygiène. 
Retrouvé mort le 14 août dernier sur les pavés du campus social de l’Ucad (Université Cheikh Anta Diop) à l’issue de heurts entre forces de l’ordre et étudiants, l’étudiant Bassirou Faye a vu son corps passé au laboratoire de la médecine légale : l’autopsie ! Un examen qui consiste à déterminer scientifiquement les causes exactes de la mort d’une personne.
Karim Wade a aussi été suspecté d’être propriétaire de Eiffage Sénégal, l’entreprise de BTP qui a raflé tous les marchés du temps de Abdoulaye Wade et qui continue sous Macky Sall. C’est la “Lettre du Continent” qui vend la mèche.


Le dernier rapport de la Cour des Comptes ne parle nullement de la gestion des anciens Premiers ministres, Idrissa Seck et Macky Sall. C'est du moins ce qu'a déclaré hier, mercredi 27 août, Mamadou Hady Sarr, le président de la Cour des comptes lors d'un point de presse sur le dernier rapport de ladite institution. 

Rien ne va plus au Centre national de transfusion sanguine. Depuis presque un mois, cette structure sanitaire fonctionne au ralenti en raison d'un mouvement d'humeur latent du personnel qui organise tous les jours un sit-in de 10 heures à 13 heures afin d'exiger des autorités sanitaires la satisfaction d'un certain nombre de doléances, allant même jusqu'à boycotter la collecte de sang. Ce qui a occasionné une rupture en poches de sang qui risque d'être fatale pour les malades en situation d'urgence dans les structures sanitaires du pays.