iGFM (Dakar) L’annonce a été faite par Yankhoba Diattara premier adjoint au maire. Il qualifie « d’erronées les informations distillées dans la presse faisant état d’un boycott de la rencontre par l’idylle de la ville Idrissa Seck. »
Yankhoba Diattara déclare au micro de la Rfm : « cette information diffusée dans la presse depuis ce matin est totalement erronée. Aussi bien Idrissa Seck que moi-même nous sommes encore à Thiès. Naturellement en tant que maire de cette ville nous participerons aux activités marquant le conseil interministériel qui se tiendront demain à la Chambre de commerce sous la présidence de Mme Aminata Touré. Donc la ville de Thiès sera naturellement bien représentée par une équipe municipale qui sera dirigée par le premier adjoint au maire.



Les américains ne démordent pas sur l’affaire de la dépénalisation de l’homosexualité. L’ambassadeur des USA s’est prononcé sur la question lors d’un entretien accordé à des responsables de rédaction de la presse sénégalaise dont le journal en ligne
Avec la dureté des temps, il y a certaines pratiques qui devraient disparaître à jamais dans l’univers sociopolitique. Dépenser des dizaines voire plus d’une centaine de millions de nos pauvres francs pour assurer une mobilisation de quelques heures, n’a vraiment pas de sens…
DAKARACTU.COM Le mouvement Citoyenneté Sénégal prendra t-il part aux élections présidentielles prochaines? Selon son Président, ancien journaliste à « Jeune Afrique » les leçons des locales devront être d’abord tirées avant une quelconque décision. « En politique tout vient à un moment opportun. Après les locales, on tirera les leçons et nous saurons quelles conclusions en tirer » a-t-il indiqué. 
Après Kédougou, la région de Thiès aura le privilège d’accueillir, jeudi, le conseil des ministres délocalisé. Et déjà, la ville est en effervescence avec des populations qui promettent de sortir pour accueillir massivement le président de la République et son gouvernement dans la paix et la concorde. Tout en se félicitant de cette belle initiative qui, à coup sûr, aura un impact certain sur le développement socio-économique de la région.



La violence s'est invitée à Rufisque, avant même l’ouverture de la campagne électorale. Ces dernières heures, on a noté des heurts entre des militants de Bës Du Niakk et ceux du maire de Rufisque. Une guerre qui a débuté d’ailleurs il y a plus de six mois, avec les licenciements jugés abusifs de deux agents municipaux partisans de Serigne Mansour Sy Djamil. 

Entre le marteau et l’enclume. Tel est la position de qui veut défendre l’intangibilité de la République tout en ménageant Touba et ses intérêts. Succomber à cette tentation mène à la démagogie et au populisme religieux. Face à celui qui refuse cette posture, les simples d’esprit crieront au scandale, les fanatiques à l’hérésie. Or, être féru de Touba et de sa confrérie ne devrait pas empêcher d’admettre l’indivisibilité de la souveraineté républicaine. Accorder un statut spécial à Touba, c’est non seulement violer gravement la constitution, mais pis, c’est poser le premier acte du dépeçage de notre pays.