Résultats CNRI: entre Macky Sall et le peuple Sénégalais qui doit choisir ce qu'il faut prendre?

Il est inadmissible qu' à chaque fois que des réflexions se fassent pour une meilleure orientation des politiques publiques, nos gouvernants s'arrangent toujours pour mettre les résultats dans des tiroirs. Par conséquent nous assistons à une perte de temps, d'énergie et de l'argent du contribuable Sénégalais d'une part et d'autre part c'est une tricherie de nos gouvernants envers les bailleurs de fonds car les séminaires, les fora et ateliers qui sont organisés, produisent des documents qui finissent toujours par dormir dans les tiroirs de l'Etat. Nous pouvons citer plusieurs exemples:
- Les Etats généraux de l´éducation
- Le Forum mondial sur l'éducation tenu à Dakar sous Wade
- Les différents Rapports du DSRP(Document de stratégie pour la réduction de la pauvreté)
- Le Rapport général et la charte de bonne gouvernance des ASSISES NATIONALES
La décision de soumettre à l’appréciation des «Cinq sages», la requête des avocats de Karim Wade portant sur l’illégalité des actes de la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) par la Cour suprême est loin de laisser les autorités étatiques indifférentes. Décision a été prise d’introduire une demande de rabat d’arrêt devant la Cour suprême. 
DAKARACTU.COM- La correspondance du député du peuple Iba Der Thiam pour aider le Professeur Oumar Sangaré à éponger une créance de 21 950,55 euros qu'il doit à l’Hôpital de Marseille, a trouvé un écho favorable auprès de Moustapha Niasse. Le leader de l'AFP s’est engagé à prendre en charge une partie de la somme due. Dans une correspondance datée du 12 février 2014, Niasse s’est dit disposé à apporter son soutien au premier Sénégalais, agrégé en Lettres et en Grammaire, en prenant en charge une partie du montant qui lui est réclamé. 






Lors de sa conférence de presse du 17 janvier 2014, le procureur de la République (Pr), Serigne Bassirou Guèye, a fait savoir au peuple sénégalais que le dossier d’Aïda Ndiongue qu’il évoquait n’a rien à voir avec l’affaire des produits phytosanitaires. En effet, cette procédure dont l’annulation est évoquée ce matin à la Chambre d’accusation a été déclenchée suite aux soupçons nés d’une importante somme d’argent dont le procureur de la République voulait savoir la provenance. Muni de 4 chèques «intrigants», le patron du parquet a demandé à la Section de recherches de la Gendarmerie nationale de Colobane de rechercher la «vérité» sur ces dits chèques respectivement de 3 milliards 798 millions 988 mille 750 FCfa, 3 milliards 988 millions 750 mille FCfa, 1 milliard 350 millions FCfa et de 5 milliards FCfa.
Au moment où la traque des biens supposés mal acquis est sur toutes les lèvres, voilà qu’un responsable du régime actuel se singularise par une attitude peu vertueuse vis-à-vis des deniers publics. Khassoum Wone nie les faits, mais les sources du journal sont catégoriques et citent de façon précise les montants concernés, les dates de transferts, la banque en question, la date d’ouverture du compte (juillet 2012, donc deux mois après sa nomination en mai 2012).
Le « Populaire » nous en donne un peu plus sur le malaise qui couve au sein du Parti démocratique Sénégalais (PDS) dont la dernière réunion de l’instance dirigeante n’a pas été des plus calmes. Rappelez-vous un peu de certains comptes- rendus de presse qui parlaient des manières de faire de Wade décriées. Par exemple qu’Ablaye Sow, responsable de Kaffrine, avait dénoncé la naissance de courants imputables au Pape du Sopi, de qui il réclamait d’ailleurs des explications, avant qu’Omzo Sarr ne vienne le rassurer qu’il n’y a pas de courant dans le parti.