Sénégal - Interdiction du voile intégral: Le député Kouraichi Niasse en phase avec le Président Sall
Depuis que la menace terroriste tient la vedette de l’information dans notre pays, le port du voile intégral est souvent évoqué. Lors d’une manifestation internationale sur la sécurité et la paix en Afrique tenue en capitale sénégalaise, le Président de la République, Macky Sall a évoqué un certain nombre de mesures comme l’interdiction du port du voile intégral ou la burqa. Le député Khouraïchi Niasse est sur le même tempo que le Chef de l’Etat. "Les informations que détient le Président de la République sont confidentielles, tout le monde ne peut pas y avoir accès. Il est dans son droit d'interdire le voile intégral.
La question de la dissolution de l’Assemblée nationale, qui fait suite au problème lié à la constitution du groupe parlementaire des «Libéraux et Démocrates» est de plus en plus agitée. A l’instar de bon nombre d’hommes politiques, ainsi que de personnalités de la société civile, un Observatoire citoyen pour la défense des Institutions (Ocdi), regroupant des citoyens sénégalais de tout bord, a lancé hier, vendredi 13 novembre, une pétition nationale et internationale, dénommée «Sauvons notre Assemblée». Awa Abdoul Ba, membre dudit observatoire, et compagnie réclament la tête de Moustapha Niasse, ainsi que la dissolution de la 12ème législature.
Il n’est pas question que des séances plénières se tiennent à l’Assemblée nationale tant que Modou Diagne n’est pas remplacé par Aïda Mbodj à la tête du groupe parlementaire des Libéraux et démocrates. C’est l’annonce faite hier par le Front de l’opposition lors d’un point de presse tenu au siège du parti Rewmi à Yoff Diamalaye.
L'avocat et ancien ministre français, Roland Dumas, a été éconduit par l’ancien Président du Sénégal, Abdoulaye Wade. Nos confrères de la Lettre du Continent, repris par EnQuête, révèlent que l’ancien chef de la diplomatie de François Mitterrand voulait défendre Karim Wade emprisonné à Dakar à la suite de son inculpation pour enrichissement illicite.
Modou Diagne Fada a déclaré, ce samedi, à Dakar, que son exclusion du Parti démocratique sénégalais (Pds) entraînerait de lourdes conséquences pour la formation politique de Me Abdoulaye Wade.
La division des investigations criminelles a réduit à néant la société Kajas, entreprise mixte de fonds publics et privés œuvrant dans les secteurs de la micro finance et de l’agroalimentaire. En effet selon « l’As », cinq d’entre eux, dont la responsable de l’Agence ont été alpagués par la DIC. Ceux-ci avaient effectué un montage financier et créé des comptes fictifs offshore pour y loger somme de 11 millions de francs CFA qu’ils ont ensuite récupérés. Le pot au rose découvert, les 5 personnes ont été cueillies et déférés au
Des frustrations, il y en aura beaucoup cet après-midi du côté des députés de la mouvance présidentielle, après la publication de la composition du bureau du groupe parlementaire de Benno Bokk Yakaar (Bby).
Dans l’affaire de l’imam Aliou Ndao et ses co-accusés, poursuivis pour apologie du terrorisme, la Ligue des imams et prédicateurs du Sénégal (Lips) est contre la mise en détention. Face à la presse, jeudi dernier, Youssoupha Sarr et ses collègues ont affirmé que le Sénégal dispose de moyens autres que les poursuites judicaires pour prendre en charge la question. Les poursuites judiciaires engagées contre l’imam Aliou Ndao et les autres personnes pour «apologie du terrorisme ne sont pas la meilleure attitude à adopter» dans cette affaire. L’avis est de la Ligue des imams et prédicateurs du Sénégal (Lips). Lors d’un point de presse avant-hier, jeudi 5 novembre, le porte-parole du jour, par ailleurs secrétaire général adjoint de la ligue, Youssoupha Sarr, a dit que «le Sénégal doit prendre en compte ses particularités socioreligieuses qui lui confèrent des leviers enviables sur lesquels, il peut agir pour prévenir et éradiquer le terrorisme autre que la répression».
La coalition ‘’Macky 2012’’ s’est effritée de 8 partis politiques, à savoir Suxali Sénégal, SR, NIDA, NP, MAC/AUT, BBA, Modem, et Euleuk Sénégal. En conférence de presse hier, mercredi 21 octobre, les leaders des partis en rupture de banc avec ‘’Macky 2012’’, à cause d’une politique bureaucratique, ont lancé une coalition, dénommée Les Républicains «Dommi Rewi» (LER) pour non seulement assurer un second mandat à Macky Sall, mais aussi accompagner le gouvernement sur le terrain politique.
Aujourd'hui, s'ouvre la session unique parlementaire 2015-2016 de l'Assemblée nationale. A cette occasion, seront renouvelées les instances du Parlement. Le Parti démocratique sénégalais qui traverse une crise va tenter de constituer un groupe parlementaire en enrôlant le Rewmi d'Idrissa Seck, la Convergence Bokk Gis Gis de Pape Diop, And Jëf/Pads de Mamadou Diop Decroix, l'Union des centristes du Sénégal d'Abdoulaye Baldé et le Fsd/Bj de Cheikh Bamba Dièye. Sauf que tout ce beau monde ne sera pas suffisant pour permettre à Me Wade de créer un groupe.
Le Parti socialiste (Ps) n’est pas encore en phase avec le gouvernement dans sa décision de confier la gestion des ordures à l’Ucg au détriment de l’Entente Cadak-Car. Pour Ousmane Tanor Dieng et ses camarades, le décret qui instaure cette nouvelle politique n’est pas conforme au Code général des collectivités locales. De ce fait, ils appellent le gouvernement à laisser la gestion des ordures aux collectivités locales.
C’est de la haute stratégie que le leader des libéraux a mise en place. Une stratégie que Wade a commencé à dérouler bien avant qu’il ne soit question du renouvellement du bureau de l’Assemblée nationale. Selon certaines informations dont nous disposons, quelques députés non membres du groupe des réformistes lui ont réaffirmé leur fidélité, de même que leur soutien à Oumar Sarr, par correspondances, peu de temps après son arrivée à sa résidence de Versailles.
Modou Diagne Fada pourra-t-il résister à Me Abdoulaye Wade qui souhaite son départ de la tête du groupe parlementaire des Libéraux et des démocrates ? Difficile de répondre à cette question. Le Pape du Sopi espère le soutien de ses alliés de Rewmi, de l'Ucs, de Bokk Gis Gis, de l'Aj et du Fsd/Bj pour installer Aïda Mbodj à la tête du groupe de l'opposition à l'Assemblée nationale.
Des soldats de l’armée nationale sont tombés sur une embuscade rebelle hier vendredi 30 octobre sur la route nationale N°5 entre les villages de Badiana et de Djignaky. Même si on ignore encore le bilan exact, des sources concordantes on fait état de quatre blessés dans les rangs de l’armée, qui sont évacués à Ziguinchor dans la journée. D’autres sources font état de pertes en vies humaines du côté des rebelles. Représailles d’éléments rebelles ou simple incident ?
L’appel de Serigne Cheikh Bass Abdou Khadre pour les retrouvailles entre les Présidents Wade et Macky Sall semblent bien accueillies par la classe politique Sénégalaise. C’est du moins ce qui ressort des avis recueillis ça et là. Chez les libéraux tout comme chez les républicains, les avis sont favorables.
L’appel à la démission du gouvernement de Macky Sall, lancé par le Parti démocratique sénégalais (Pds), pour mauvaise gestion du drame survenu à Mouna, n’est pas du goût de nombre de partis et mouvements politiques. Le Forum des Jeunes Socialistes (Fjs), tout comme le collectif des Mouvements des étudiants et élèves républicains (Meer) universitaires, ont tous condamné les déclarations du Comité directeur du Pds, non sans appeler les libéraux à la retenue. Décidément, la sortie du Comité directeur du Parti démocratique sénégalais (Pds), invitant le gouvernement à démissionner, suite au drame survenu à Mouna, a provoqué une levée de boucliers contre les libéraux.
Après sa condamnation par la Cour de répression de l’enrichissement illicite, Ibrahim Aboukhalil s’est fait confisquer l’ensemble de ses biens par l’État du Sénégal. Une démarche qui a donné lieu à une controverse juridique et derrière laquelle se cache un enjeu politique.
Le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) rejoint L’AFIF 2015 pour mettre en lumière l’ : « Investissement d’Impact »