Le virus Ebola n’est pas encore écarté. Il n’est pas, non plus, trop loin des frontières Sénégalo-guinéennes. Sa présence dans les régions du nord de la Guinée Conakry a été détectée, dans cette zone périphérique de Kédougou. Ce qui a mis en alerte les autorités sénégalaises.
La Guinée est aujourd’hui encore affectée par la présence de la fièvre hémorragique du virus Ebola. De la situation épidémiologique de l’année 2014, à la date du 6 juin dernier, thème présenté hier par le Dr Marie Khémesse Ngom Ndiaye, Médecin-chef de la région (Mcr) de Dakar, au cours d’un Comité régional de développement (Crd) consacré à la menace de l'épidémie de la fièvre hémorragique du virus Ebola, il est ressorti que le fléau continue de faire son bonhomme de chemin.

A la Sogas, les bouses de vaches, les abats d’animaux et autres excréments estimés entre 200 et 250 tonnes par jour ont désormais leur utilité. Grâce à la société Thecogas, ces matières organiques sont transformées en énergie et en bio-fertilisant.
Conakry/Genève, 4 juin 2014. Alors que le nombre de malades semblait décliner, de nouveaux cas ont été signalés en Guinée et en Sierra Leone. Le virus a déjà touché plus de 300 personnes en Afrique de l’Ouest. Médecins Sans Frontières (MSF) poursuit son soutien aux autorités sanitaires dans les deux pays en prenant en charge les patients et en mettant en place des mesures visant à contenir l’épidémie.
La Fao organise, depuis hier, avec le soutien de La Commission européenne, un atelier de deux jours sur la fièvre aphteuse. Cette rencontre vise à améliorer le niveau de connaissance sur cette maladie hautement contagieuse chez le cheptel, à travers l'échantillonnage et le typage du virus au Mali, en Mauritanie et au Sénégal.