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Yankhoba Diattara au micro de Seydina Seck revient sur son voyage en France, sa gestion à la mairie de Thies, ses relations avec Idrissa Seck, la trahison de Talla Sylla, législatives 2017, l’affaire khalifa Sall et les 5ans du président Sall .’
SENETOILE NEWS
média citoyen libre du Sénégal
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Yankhoba Diattara au micro de Seydina Seck revient sur son voyage en France, sa gestion à la mairie de Thies, ses relations avec Idrissa Seck, la trahison de Talla Sylla, législatives 2017, l’affaire khalifa Sall et les 5ans du président Sall .’
Le bilan à mi-parcours du Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC) est reluisant si on en croit son secrétaire d’Etat en charge du Pudc Souleymane Jules Diop. Après juste onze mois d’action le programme a complétement transformé le monde rural en le dotant d’infrastructures sociaux de base.
Selon Souleymane Jules Diop « en onze mois d’exercice nous avons réalisé 787 kilomètres de pistes rurales, les 35 km sont déjà réceptionnées, nous avons aussi construit 198 forages et 408 villages ont à électrifier rien que pour l’année 2016 », précise Mr Diop.

La crise couve au sein de Benno Bokk Yakaar et pourrait conduire, à très court terme, à une implosion de la coalition au pouvoir, comme le relèvent nos confrères de Grand-Place dans leur édition du jour. Après les piques acerbes des Jallarbistes de la Ligue démocratique (Ld) contre la gestion-maison du pouvoir par le président de la République avec l'implication de quasiment toute la fratrie Faye-Sall (les frères et beaux-frères du Président Sall), et le rejet par le Parti socialiste (Ps) de la nouvelle culture de la transhumance prônée par ce dernier, voilà que les jeunesses du parti de Tanor Dieng se démarquent du bilan du parti au pouvoir, l'Alliance pour la République. En conclave hier, le bureau politique national des jeunes du Ps, appuyé par les bureaux des régions de Tambacounda et de Kédougou, a exprimé cette position sur la gestion du bilan du Président Sall.
Le bilan de Macky Sall fait ressortir plus d’insatisfaction que d’avancées. Le M 23 a profité de sa dernière assemblée générale, pour relever les acquis et les faiblesses parmi lesquelles le manque de consensus qui gouverne le processus électoral en cours. L’absence de consensus pour les élections locales déplorée . Le Mouvement du 23 juin a partagé hier, quelques points qui ont attiré l’attention de ses membres ayant pris part à son assemblée générale annuelle tenue le 17 mai dernier. L’occasion avait été saisie pour faire le bilan du gouvernement de Macky Sall. Les camarades de Mouhamadou Mbodj ont relevé plusieurs faiblesses dont l’absence de consensus sur les modalités et la tenue des élections locales du 29 juin prochain. «Au lieu que la démocratie avance, on tourne en rond. Il y a danger quelque part.

Les localités des départements de Matam, Ranérou, Kanel, Bakel, Kédougou, Saraya, Salémata, Tambacounda, Goudiry sont loin du débat sur l’émergence "suscité par les tenants du pouvoir et qui ne recoupe aucune réalité", déplore un communiqué du secrétariat exécutif national du Rewmi publié, hier, à Dakar.
Ces zones ont été visitées par l’ancien Premier ministre Idrissa Seck, président du parti, à l’occasion d’une tournée qu’il a effectuée récemment au Fouta et dans les régions de Kédougou et Tambacounda.

Un mort, un étudiant, depuis ce jeudi. Pourtant, ils étaient nombreux ceux qui s’attendaient à un tel drame. L’explication est simple, le campus social de l’UCAD est transformé depuis le début de l’année en champ de bataille. Et plus grave, des affrontements entre force de l’ordre et étudiants s’y passent la nuit, donc dans une insécurité totale.
Les forces de l’ordre appelées par les étudiants « forces de désordre » méritent réellement ce surnom. Elles interpellent gratuitement des étudiants qui ont juste la malchance de croiser leur chemin les jours de manifestations. Leur modus operandi est trop simple, quand un élément du groupement mobile d’intervention (GMI), interpelle un suspect, il lui demande juste de montrer ses bras pour voir s'il a participé aux affrontements en lançant des pierres.
SETAL.NET-Le maire sortant de Thiès, par ailleurs leader de Rewmi, Idrissa Seck n’est vraisemblablement pas préoccupé par le Conseil des ministres prévu très prochainement dans sa ville.
Le président de Rewmi, Idrissa Seck poursuit sa campagne de dénonciation de la gestion du régime en place. Hier au cyber campus de Thiès, il a invité les populations de la ville à accueillir pacifiquement Macky Sall le jour de son conseil interministériel. Dans un ton empreint d’humeur l’ancien Premier ministre d’ironiser « Ils vont jeter inutilement leurs milliards.
S'il y a quelqu'un qui n'est guère convaincu par le bilan du président de la République, c'est bien Sada Ndiaye. Selon lui, Macky Sall n’a fait aucune réalisation vu que rien ne va dans tous les secteurs. Il n’a pas manqué de dire que la bataille est perdue d’avance pour le chef de l'Etat. L'ancien ministre s'exprimait lors d’une rencontre de partage et de solidarité avec ses sympathisants à Pikine.
En politique comme en guerre, quand les expressions foisonnent, leur finalité est de discréditer voire d'anéantir l’adversaire. En ces temps de campagne électorale, on n'en entend pas beaucoup comme le célèbre “Deuk bi dafa Macky”. Mais au fond, pèsent-elles vraiment à l’heure du choix ?
Le marigot politique est rempli d’alligators, les uns plus en verve que les autres. En cettecampagne électorale, les flèches empoisonnées proviennent de bouches politiques qui vocifèrent à longueur de meeting des expressions assassines, déstabilisatrices. Avec pour objectif de saper le moral de l’adversaire, de l’affaiblir pour le défaire.
Nous nous posons beaucoup de questions au vu de la logique dans laquelle s'est empêtré le Gouvernement sénégalais sous la houlette d'un Président de la république qui a beaucoup dit, peu fait et qui tergiverse encore après 24 mois de magistère.
En tentant de nous vendre un bilan axé sur un slogan "ça a été dit, c'est fait" le Gouvernement sénégalais compte-t-il sur une amnésie collective ? Ou alors ceux qui nous gouvernent tentent-t-ils d'expérimenter l’adage qui dit qu'"en Afrique bien faire consiste à bien dire" ? Sommes-nous face à un Gouvernement conscient de l'ampleur des attentes et qui est définitivement prêt à se démarquer d'une posture jubilatoire insensée ?