Le Président Macky Sall a déclaré dimanche à Dakar qu’"aucune perturbation" du sommet de la Francophonie, prévu les 29 et 30 novembre dans la capitale sénégalaise, "ne sera tolérée" par les autorités. "On ne laissera quand même pas des personnes, au nom de la liberté de manifester, perturber un sommet de cette nature. Je veux être très clair là-dessus. Cela n’a rien à voir avec la liberté de manifester. Ils (NDLR : les organisateurs de la marche du 21 novembre) peuvent à suffisance manifester après le sommet [de la Francophonie]. Nous leur ouvrirons le boulevard qu’ils voudront", a soutenu M. Sall. Il rencontrait les membres de "La Table de la Presse", une association de journalistes sénégalais. Le Parti démocratique sénégalais (PDS) et d’autres partis alliés envisagent d’organiser une marche, le 21 novembre à Dakar.
Sidy Lamine Niasse au sujet du meeting du Pds, le 21 novembre : “J'y serais avec une grosse pierre, que je vais emprunter à Moustapha Niasse”
Il a repris les “armes” ! Lui, c’est le Président-directeur général du Groupe de presse Walfadjri.
En effet, SidyLamine Niasse a déclaré, lors de l’émission “Opinion” sur Walf Tv, qu’il serait du meeting du 21 novembre qu’envisagent de tenir les responsables du Parti démocratique sénégalais.
“J’y serais avec une grosse pierre, que je vais emprunter à Moustapha Niasse (actuel Président de l’Assemblée nationale, qui, le 23 juin 2012, était muni d’une grosse pierre pour faire face à l’ancien Président Me Abdoulaye Wade et son régime”, a averti le Mollah de Khar Yalla.
Sénégal - Les libéraux sur le pied de guerre : "Quitte à être arrêté, le Président Wade ne va pas annuler la manifestation du 21 novembre prochain"
Le Secrétaire général du Pds, Abdoulaye Wade, absent du territoire, rentre le 14 novembre prochain. Les libéraux prévoient de se rendre massivement à l'aéroport Léopold Sédar Senghor pour lui réserver un accueil populaire.
D'ores et déjà, ils sont en train de battre le rappel des troupes. Hier, en Comité directeur, le coordonnateur du Pds, Oumar Sarr, a annoncé que l'ancien président de la République qui séjourne en France va rentrer au bercail le vendredi prochain à 17 heures.
Idrissa Seck au meeting de Wade ?
L'opposition regroupée autour du Front patriotique pour la défense de la République (FPDR) est en train de mettre en place des comités de quartiers, surtout au niveau de la banlieue dakaroise. Une zone où les leaders dudit front comptent mettre tous les moyens pour la tenue de leur meeting prévu le 21 novembre prochain. Pour grossir leurs rangs et réussir le pari de la mobilisation, des leaders de cette coalition sont en train de démarcher Idrissa Seck, président du Rewmi, et Pape Diop, chef de file de Bokk Gis Gis.
Alioune Tine sur l’interdiction de marche des Libéraux : «Il faut offrir à la Francophonie le visage d’un pays où les libertés démocratiques sont respectées»
La restriction des libertés publiques par le gouverneur de Dakar qui indispose fortement la coalition des partis de l’opposition, est également contraire aux vœux de Alioune Tine, président du Comité sénégalais des droits de l’homme (Csdh). Pour lui, on ne peut pas justifier de pareilles mesures par la tenue du prochain Sommet de la Francophonie.
Alioune Tine tranche : «Il faut offrir à la Francophonie le visage d’un pays où les libertés démocratiques sont respectées. Le département fondamental de la Francophonie c’est la Ddhp (Délégation à la paix, à la démocratie et aux droits de l’homme) où j’ai travaillé pendant très longtemps. Il faut demander des conseils au Comité sénégalais des droits de l’homme.
Sénégal - Malgré la décision du gouverneur de Dakar : Le PDS marche sur l’interdiction

Le Comité directeur du Parti démocratique sénégalais, en réunion hier, a décidé de marcher à la date du 21 novembre, avec ou sans l’accord du préfet de Dakar.
Il a fallu moins de deux heures aux membres du Comité directeur (Cd) du Pds et ceux du Front patriotique pour la défense de la République (Fpdr) pour arrêter une décision ferme sur leur volonté de marcher à la date du 21 novembre prochain.
SAINT-LOUIS - Se sentant «marginalisée» par la coalition : L’AFP locale va décider de son avenir dans BBY samedi

L’Afp est la principale perdante de son compagnonnage avec l’Apr. C’est l’avis des Progressistes de Saint-Louis qui se sentent marginalisés dans la gestion des affaires locales. Ils annoncent une rencontre samedi prochain pour décider de la suite de leur participation dans Benno bokk yaakaar.
Ça grince dans les rangs de Benno bokk yaakaar (Bby) de Saint-Louis. Et c’est l’Alliance des forces de progrès (Afp) qui veut se faire entendre le 8 novembre prochain. Les hommes de Moustapha Niasse disent, en effet, se sentir «exclus» de la gestion des affaires locales.
Oumar Sarr sur l’interdiction de la marche de l’opposition : «On parle d’octobre burkinabè, on parlera de novembre sénégalais»

L’opposition est déterminée à marcher le 21 novembre en dépit de l’interdiction du gouverneur. Et Oumar Sarr n’exclut pas un «novembre sénégalais» comme un «octobre burkinabè» qui a emporté Blaise Compaoré.
Le Front patriotique pour la défense de la République (Fpdr) aura tenu deux conférences de presse en l’espace de 24 heures pour réaffirmer sa détermination à marcher le 21 novembre prochain «avec ou sans autorisation».
Jusque là fidèle défenseur de Me Wade : Cheikh Saadbou du "M.23 Patriotique" soupçonné de migrer vers l'APR
Depuis sa dernière sortie sur les colonnes du Populaire, soutenant mordicus qu'il ne prendra pas part à la manifestation de protestation du Pds prévue le 21 Novembre prochain, le jeune leader du "M.23 Patriotique" occupe le débat au sein des libéraux.
Pour ceux qui n'ont pas lu sa réaction, objet de toutes les polémiques, il a martelé que: "vouloir saboter le sommet de la Francophonie est un combat d'arrière garde".
Maître Alioune Badara CISSÉ, un militant toujours dévoué de l'APR travaillera pour le Sénégal au coté de Macky Sall, même sans être appelé

Communiqué de Presse
Dans sa livraison de ce jour Lundi 03 Novembre 2014, un quotidien de la place, me fait soumettre à conditions l’acceptation de l’invite faite par le Président de l’Alliance pour la République de reprendre le travail politique à ses côtés.
Je dois avouer, qu’en ce qui me concerne, de tels mensonges ne sont pas une première pour l’organe dont s’agit ; mais lorsque l’intention manifeste de nuire dicte chaque ligne, le seul mépris ne suffit pas, encore moins un rappel aux règles élémentaires de la profession dont il se réclame !