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06
Sam, Déc

Plus on avance plus les choses deviennent claires et ceux qui s'offusquaient de l'éventualité d'un deal pour libérer Karim Wade se font de petits davantage. Depuis les premières heures qui ont suivi la sortie de Karim Wade de Rebeuss pour rejoindre en catimini le domicile de Me Madické Niang en vue d'y rencontrer certaines personnalités avant de continuer vers l'aéroport de Yoff où l'attendait le jet privé Gulfstream G650 mis à sa disposition par ses amis Qataris. La suite est connue. Comme révélé par dakarposte, il est passé par Versailles avant de publier le communiqué déjà rédigé depuis... Dakar etc. 

Lors de la dernière rencontre du Conseil des ministres, le Président de la République a félicité la Direction générale et l’ensemble du personnel de la Société nationale d’électricité (SENELEC) après avoir constaté une nette amélioration dans la qualité du service. Il n’en fallait pas plus pour réveiller les «amis» de Mouhamadou Makhtar Cissé. Son crime, se frotter à Myna Distribution. La Société nationale d’électricité reprochait à Myna d’avoir empoché 9 milliards de FCfa pour des travaux qu’elle n’a pas, jusque-là, exécutés. 

Depuis quelque temps, la libération de Karim Wade est dans l’air. Certains vont même jusqu’à exiger son amnistie en lieu et place d’une grâce présidentielle. Mais tout le monde n’est pas d’accord avec la volonté affichée du président de la République de libérer Wade-fils par le truchement d’un dialogue national. 

Khalifa Sall a encore perdu une manche face à l'Etat. Il y a de cela quelques jours, rappelle Libération, le maire de Dakar avait été débouté après avoir saisi la Cour suprême dans le cadre de l'emprunt obligataire de 20 milliards FCfa bloqué par le ministère de l'Economie, des Finances et du Plan. Eh bien, le journal renseigne que la Cour suprême a encore remis ça en déboutant l'édile de la capitale qui avait introduit un recours après le retrait de la gestion des ordures à l'Entente Cadak-Car.

La médiation réussie de Tivaouane et Touba dans le bras de fer qui oppose l'Etat et les enseignants n'est pas vue d'un bon œil par le Secrétaire général du Saes. Seydi Ababacar Ndiaye trouve dommage que le dénouement de la crise qui secoue l'école vienne des religieux. Non pas qu'il soit contre, mais il estime que les protagonistes n'auraient jamais dû en arriver là.

Comment substituer "le profane" du puritain pour chasser le radical et afin de se mettre au diapason de l'ordre politique «Y'a bon banania » ?

Le Dialogue auquel le président de la République a appelé subrepticement ses concitoyens, le samedi 28 Mai 2016, me semble porteur de diverses révélations sociopolitiques et de lecture géopolitique.

L’impuissance sexuelle consiste, soit dans l’impossibilité durable d’obtenir une érection valable, soit de ne pouvoir la maintenir si elle est obtenue avec une rigidité pénienne suffisante pour l’accomplissement de l’acte sexuel au moment précis de la pénétration. C’est un phénomène qui prend de plus en plus ampleur surtout chez les sénégalais.

« L’impuissance sexuelle est le premier motif de consultation des jeunes et moins jeunes sénégalais. Avant la quarantaine sonnée, plusieurs d’entre eux ont recours aux médicaments pour satisfaire les exigences du lit conjugal. » 

Après un feuilleton qui aura duré plusieurs mois, impliquant les différents opérateurs de téléphonie et l’Etat sénégalais, c’est finalement la Sonatel qui obtient le Sésame, la « fameuse 4G en contrepartie d’un chèque de 100 milliards de nos francs.


4G, de quoi s’agit-il ?

  Après l'annonce par le chef de l'État de la libération de Karim Wade, d'ici la fin de cette année, Sud quotidien a interpellé El Hadji Iba Barry Kamara, enseignant à la Faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Université Cheikh Anta Diop (Ucad), pour en savoir plus sur les possibilités qui s'offrent à Macky Sall. Ainsi, pour l'universitaire, Macky Sall dispose aujourd'hui de deux options directes pour libérer l'ancien ministre d'État, à savoir le pouvoir de grâce et la liberté conditionnelle accordée par le ministre de la Justice mais aussi l'amnistie à l'Assemblée nationale où le président de la République dispose d’une large majorité.  

C’est Seydina Issa Thiaw Laye, fils aîné du Khalife général des Layènnes, Chérif Abdoulaye Thiaw Laye, qui a procédé à la cérémonie d’ouverture de la 136e Appel de Seydina Limamou Lahi au mausolée de Cambérène. Devant des milliers de fidèles venus de partout, Seydina Issa Thiaw Laye, coordonnateur de l’Appel, a d’abord rappelé la force des layènnes. « Notre force c’est “la ilaaha ila lah” », dit-il.