Account
Please wait, authorizing ...
Not a member? Sign up now
×

Sidebar

06
Sam, Déc

  Aux libéraux qui bandent les muscles en déclarant que «si Karim est condamné, ils vont le libérer. Et que le président de la République ne passera pas la nuit au palais», le responsable «apériste», Abdou Latif Coulibaly, par ailleurs, secrétaire général du gouvernement rétorque: «s’il (Karim, ndrl) est condamné, ils n’auront aucun moyen de le libérer». Dans cet entretien, il revient sur le sens de la Traque des biens mal acquis en l’illustrant par le pillage systématique de la Sonacos et les décrets d’avance d’un montant de 26 milliards de F Cfa sortis du Trésor public sénégalais pour construire des villas présidentielles qui ne sont pas encore sorties de terre.  

Avouant avoir introduit une taupe au niveau du Pds lors des réunions les plus secrètes comme celle du 29 février dernier, le député Abdou Lahad Seck Sadaga se dit, aujourd'hui, capable de révéler la feuille de route dressée par le Président Wade pour, dit-il, déstabiliser le pays. En possession d'une vidéo, des masques et des bombes à gaz qu''il dit avoir déjà montrés au ministre de l'intérieur, le parlementaire accuse. " Wade a tenu une réunion nocturne lors de laquelle il a remis à des jeunes des sommes de 500 000 francs par coupures de 5000 francs. Il a recruté 14 mercenaires leur assignant des tâches bien précises : celles de mettre le feu au niveau de certains marchés dont, particulièrement, ceux de Rufisque, Pikine, Castors. 

A moins d'une semaine du délibéré du procès Karim Wade dans le cadre de la traque des biens supposés mal acquis, Dakar est sous haute tension. Les libéraux se préparent à l'affrontement, les apéristes annoncent la riposte et les autorités policières bunkérisent la capitale. Mais, tout porte à croire que la bunkérisation sera effective avant et après le verdict du procès au vu de la mesure prise par le chef de l'Etat de célébrer la fête de l'Indépendance par une prise d'armes.
 

Le contrat "public-privé" portant sur le contrôle de la charge à l’essieu a été paraphé entre l’Etat et Afrique Pesage, contrôlé par Pedro Diouf, dans la première quinzaine de février 2012. Alors que, juridiquement, Afrique Pesage Sénégal est née le 10 avril 2012, c’est-à-dire deux mois plus tard. Cette affaire explique t-elle l'impératif de l'audience d'hier avec le Président Sall?

Comme le révélait nos confrères de "Libération", le marché portant sur le contrôle de la charge à l’essieu a été confié, sans le moindre appel d’offres, à Pédro Diouf, fils de l’ancien Président de la République, Abdou Diouf.
Au delà même des réserves émises sur le partenariat qui a permis de contourner un appel d’offres ouvert, des interrogations légitimes se posent autour d’Afrique Pesage/Sénégal. 

Le député –maire de la commune de Mermoz –Sacré Cœur, Barthélémy Dias a fait face à la presse, ce samedi. Ce, pour se pencher sur le projet d'attaque contre le siège de sa mairie concocté, dit-il, par le Parti Démocratique Sénégalais(PDS). "Je viens de faire face à la presse pour prendre en témoin l'opinion nationale et internationale. J'entends livrer un message qui a trait au verdict tant attendu du lundi 23 Mars prochain. D'après des informations qui me sont parvenues, un plan d'attaque contre le siège de la commune de Mermoz –Sacré Cœur a été ourdi par Wade et ses acolytes.

Interpellée sur l'actualité politique brûlante, Haby Diallo connue comme responsable politique à Amandiers (France),dira d'emblée que "Wade, qui ne respecte que lui même, son fils, sa fille et sa femme, a été finalement démasqué."

Prenant naturellement fait et cause pour son mentor, Macky Sall, Mme Diallo laissera entendre que celui qui tient les manettes du pouvoir Exécutif "considère son mandat électif comme un sacerdoce, contrairement à Wade qui a voulu tripatouiller la constitution pour faire du Sénégal une monarchie."

Interrogé par nos confrères de Pressafrik, le président du groupe parlementaire libéral, du Mali où il se trouve actuellement, dément avoir donné l'ultimatum "Donne-moi le parti ou je m'en vais" au président Wade. Selon Diagne Fada, il est "wadiste" et jamais il ne tiendrait de tels propos devant Me Abdoulaye Wade. Mais, il n'a pas donné sa position par rapport à la candidature comme coordinateur du parti démocratique sénégalais. Pour la sortie d'Oumar Sarr qui soutient la candidature Karim Wade, Diagne Fada pense que chacun a le droit de faire son choix. 

Il n’est pas connu du grand public comme Mansour ou Adama qui se sont engagés en politique aux côtés de leur beau-frère. Ibrahima Faye, puisque c’est de lui qu’il s’agit, sort de l’ombre et parle de l’actualité politique du pays. 

Dans un entretien au quotidien L’Observateur, ce week-end, il revient sur ses relations avec le chef de l’Etat Macky Sall, son épouse mais aussi ses frères et sœurs, dont la Première Dame, Marième Faye. «Nous sommes au total 22 frères et sœurs, utérins et/ou de même père. Nous sommes des citoyens ordinaires. Qui vivions comme le commun des Sénégalais, faisant face au quotidien, et avec des préoccupations, des joies et des peines».

SHENZHEN, Chine - Mercredi 18 Mars 2015 [ME NewsWire]

 

 

CeBIT 2015  

(BUSINESS WIRE)--ZTE Corporation (0763.HK/000063.SZ), un fournisseur international majeur de solutions technologiques de télécommunications pour l’internet mobile destinées aux entreprises et au grand public, a signé des accords de distribution avec trois nouveaux partenaires et a annoncé sa stratégie mondiale de distribution au CeBIT 2015, le plus grand salon international consacré aux TIC par sa taille et son importance, organisé à Hanovre, en Allemagne.

Lors d’une conférence de presse durant le CeBIT, ZTE a organisé une cérémonie de signature avec trois nouveaux partenaires de distribution : ALLNET (Allemagne), LANCOM Systems (Bulgarie) et TRIOTRONIK (Autriche). 

Dans les ghettos miséreux de Marseille, comme la Castellane, qui rappellent l'anarchie urbaine des banlieues de Yeumbeul à Dakar ou de Yopougon à Abidjan ; dans les cités du département 93 où l'insécurité, les tours insalubres et enclavées, le chômage endémique, le sentiment d'abandon et d'injustice sociale renvoient à l'image de Soweto en Afrique du Sud, on décrie une  ségrégation systémique aux allures d'apartheid. D’ailleurs, le Premier ministre français Manuel VALLS, affirmait en janvier 2015 qu’un « apartheid territorial, social, ethnique » s’est imposé en France. Ses propos ont suscité de vives critiques. Apartheid ou pas, la discrimination, la ghettoïsation et   la stigmatisation dont souffrent les minorités ethniques en France ne peuvent plus  être camouflées.