
Au terme du conseil des ministres délocalisé de Kédougou, quand Macky Sall martelait que d’ici la fin du mois de mai, un terme sera mis à l’insécurité par endroits favorisé par la floraison des sites d’orpaillage, et que l’activité d’orpaillage allait être mieux réglementée, personne ne pouvait soupçonner qu’il fait allusion à « la fermeture de tous les sites », sous quelque prétexte que ce soit. Même si aucune source officielle n’a confirmé ou infirmé cette information, tout porte à y croire avec l’allure que prennent les opérations en cours dans la région de Kédougou et qui devront s’étendre à celle de Tambacounda.

L’OBS – Une jeune fille âgée de 17 ans, élève en classe de 4e au Collège d’enseignement moyen de Djibidione, situé dans le département de Bignona, a été violemment battue par une dame qui l’accuse d’être la petite amie de son mari. Après l’avoir agressée, la dame lui a versé un cocktail d’acide, de piment et de poivre sur les parties intimes.
La collectivité léboue est riche. Son patrimoine est estimé à près de 200 milliards. La révélation est faite par son Grand Serigne de Dakar, Abdoulaye Makhtar Diop, qui a déjà bouclé un an depuis son investiture. 


La sous-région se donne en miniature en ''Espagne", appellation d'une enclave de la communauté rurale de Boutoupa-camaracounda, dans la région de Ziguinchor, où les besoins de la campagne de la noix de cajou incitent les autochtones à une intelligente cohabitation avec des ressortissants de pays voisins, dont l'afflux a favorisé le développement d'activités annexes telles que le commerce et la restauration.Dans ce quartier mixte dit ''Espagne", les langues locales (diola, mandingue, peul, mancagne) côtoient aisément le créole, l'anglais, le français et le hassanya, langue majoritairement parlée en Mauritanie. 

Diourbel est en passe de devenir la planque tournante du trafic de produits contrefaits et de médicaments détournés de leur circuit normal. C’est l’avis de Mamadou khouma, adjoint au Gouverneur de Diourbel, présent à la cérémonie d’incinération de cinq tonnes de produits arrachés des mains de contrebandiers. « Cette montée importante de produits contrefaits à Diourbel est inquiétante. Diourbel est une région très exposée. On nous propose des médicaments qui ne sont même plus utilisés. C’est un signal que nous donnons aux contrebandiers. Nous sommes en danger. Nous avions pris l’engagement avec l’ordre des pharmaciens de faire des émissions au niveau des radions pour une meilleure sensibilisation. Ce n’est pas seulement la douane qui est engagée, il y a aussi la police et toutes les forces de l’ordre qui sont sollicitées dans ce combat » explique le gouverneur Khouma.