Depuis l’interdiction de l’exploitation de l’or à Diyabougou, les populations vivent dans une détresse sociale. Elles s’en mordent les doigts avec une famine qui rôde autour des foyers : Dès la découverte du métal précieux, les villageois avaient abandonné leurs activités agro-silvo-pastorales.
Depuis 2009, c’était la ruée à Diyabougou, bourg situé sur les rives de la Falémé (département de Bakel, arrondissement de Kéniaba) qui brillait de toutes les espérances. Aiguillonnées par l’appât du gain, les populations se bousculaient au pied de la mine pour extraire le métal jaune qui avait réussi à changer leurs conditions sociales, faites jadis de misère et de privation. Elles se pressaient dans les trous dépassant parfois 40 m. Douche désillusion. Aujourd’hui, les ex-travailleurs de ce site d’orpaillage fermé après des échauffourées sanglantes sont exposés à la famine. Regrets éternels.




La jeunesse étudiante chrétienne à travers l’ensemble de ses fédérations diocésaines est depuis le 27 Août dernier en conclave à Kaolack. Cette retrouvaille dans la capitale du Saloum a pour objectif de définir le nouveau plan d’orientation du programme qu’elle compte mettre sur pied, conformément au thème intitulé, « si tu veux la paix protège ton environnement », retenu cette saison par le conseil national, pour contribuer à la lutte de préservation de notre système environnemental.
LINGUERE - Aminata Mbengue sur la nomination de Mimi Touré : «Un choix qui honore les femmes»
