Lutte contre les inondations à Kaolack
D
ans le cadre de l’élan de solidarité qui est noté ces derniers jours dans la commune de Kaolack suite aux fortes pluies qui se sont abattues dans le Saloum, maitre Nafissatou Diop Cissé, notaire par ailleurs responsable politique de l’APR, a octroyé d’importants dons au profit de plus de 20 familles relogées dans des établissements scolaires de ladite commune.
Ainsi des sacs de riz, des produits d’entretien, des moustiquaires entre autres produits ont été distribués aux différentes familles touchées par le phénomène des inondations.

Pour raisons d’insécurité, le préfet de Kaolack, Serigne Babacar Kane, a ordonné la fermeture de 16 classes dans un état de délabrement très avancé de seconde du lycée Valdiodio Ndiaye. L’annonce préfectorale a été faite par le Proviseur dudit établissement, Mbaye Thiam, hier, lundi, lit-on dans l’APS. Selon lui, les 16 classes constituent un “danger permanent pour les 1.200 élèves inscrits”. Cette décision du Préfet a été motivée par les “conclusions de la visite d’inspection effectuée au lycée au mois d’août dernier par la commission auxiliaire de protection civile”, nous fait savoir le Proviseur. Non sans avoir signalé : “nous nous trouvons dans l’obligation de fermer les 16 classes de seconde du bâtiment D où sont inscrits 1200 élèves”.
Les réactions sur l’arrivée de Mme Aminata Touré dans les rangs de l’Alliance pour la République (Apr) de Kaolack se poursuivent, mais ne se ressemblent pas. Ainsi, à la suite de l’instance départementale de la Convergence des jeunesses républicaines (Cojer), c’est au tour de la conseillère technique No 3 du ministre de la Jeunesse, de l’emploi et la construction citoyenne de réagir.
Le gouvernement gambien a procédé samedi dernier au rapatriement d’un groupe de 52 talibés dont quatre (4) gambiens et 48 sénégalais. Ces enfants sont tous arrivés au Sénégal sains et saufs. Les marabouts qui les ont conduits en territoire gambien, ont tous les deux (2) été arrêtés par la justice gambienne et sommés de payer une amende de 13 millions de F Cfa pour recouvrer leur liberté, nous apprennent certaines sources proches de la diplomatie sénégalaise.
Selon l’Inspection générale d’Etat (Ige), la phase de conception du projet «Cœur de ville de Kaolack» (Cvk) est marquée par l’absence d’étude préalable devant permettre la maîtrise du coût du projet. Il en a résulté un dérapage budgétaire. Ainsi, d’un montant initial de 12,4 milliards F Cfa, le marché a finalement coûté 17,2 milliards F Cfa.
La signature des accords relatifs au projet de construction du pont de Faréfégné, situé sur la frontière entre le Sénégal et la Gambie, suscite encore beaucoup de réactions. Dans le secteur du transport terrestre comme du côté des nombreux usagers de cette route, la nouvelle a été favorablement accueillie. Un petit tour de terrain à la gare routière «Nioro» de Kaolack suffit largement pour s’en rendre compte.
En plus des étals secondaires qui n’ont pas résisté à la furie des flammes, quatorze cantines ont été réduites en cendres. Le marché de Médina Baye affiche une mine triste. Le feu qui s’était nuitamment déclenché a été difficilement maitrisé par les concours jumelés des populations riveraines et les sapeurs-pompiers.
Face aux nombreux défis rencontrés dans la gestion de l’eau, l’entretien des ouvrages hydrauliques et l’accès des populations aux ressources hydrauliques provoquées ou naturelles existant à Kaolack, les acteurs regroupés autour des programmes départementaux d’aménagement des réseaux hydrauliques de la région se sont retrouvés hier, mercredi 14 janvier au siège du Conseil départemental (de Kaolack) pour une planification du programme défini pour cette année. Cette rencontre est en effet initiée par l’Agence régionale au développement (Ard), en partenariat avec le projet des bassins de rétention, et valorisation des forages (Barvafor), et l’ensemble des organisations contribuant aux règlement de la question de l’eau dans le Centre du pays.
Les riverains du Marché central de Kaolack, notamment les commerçants logés à la place appelée «marché Sobanté» n’oublieront pas si vite l’horrible scène qui s’est déroulée sous leurs yeux dans l’après-midi du samedi 1er novembre dernier. Un jeune d’une trentaine d’années, non encore identifié, mais marchand ambulant de son état, a été violemment poignardé par un autre commerçant de son âge.