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06
Sam, Déc

 

Depuis quelques temps, les contentieux politico-judiciaires défraient la chronique et interpellent tous les patriotes, toutes obédiences confondues ; et beaucoup d’entre eux y voient une volonté manifeste de l’exécutif de neutraliser toute opposition politique, à la veille d’élections décisives ; et tout cela remet en question l’indépendance de notre justice. Oui, un véritable imbroglio politico-judiciaire s'est installé dans notre pays, depuis la dernière alternance, avec une inique et cynique ‘’opération main propre’’ (‘’traque des biens présumés mal acquis’’) par un pouvoir exécutif vraisemblablement revanchard - et dont la propreté n'est pourtant guère évidente -, et qui ne viserait qu’à neutraliser une opposition politique.

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Le droit et la politique ne font pas très souvent bon ménage. Quand l'un entre dans le prétoire, l'autre en sort. Tous les régimes, tous les régimes, de Senghor à Diouf ont eu à utiliser des magistrats pour combattre des adversaires irréductibles. L'histoire retiendra toutefois les noms de quelques juges, qui ont opposé au pouvoir leur devoir d'ingratitude. Retour sur une pratique aux antipodes de la démocratie.

Dans son numéro de mercredi, le journal Enquête qui a consacré un dossier à la manipulation de l'appareil judiciaire pour casser les ailes de leurs adversaires politiques, commence par poser la question de savoir: Jusqu'où sont-ils prêts à aller pour conserver leur pouvoir ?

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« Il est important d’assurer la paix, la démocratie et la justice sociale qui sont des dimensions importants pour un pays. Malheureusement, on est resté sur notre faim », a dit le député Moustapha Guirassy. Lui qui s’est prononcé ce mardi à l’Assemblée nationale lors de la Déclaration du politique générale du Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne.

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Le fameux  faux procès contre les cadres  militants IRA-Mauritanie qui s’est ouvert ce 03 Aout 2016 tourne au fiasco pour le système judiciaire mauritanien. Le  débat d’ouverture  s’est passé entre le procureur et le collectif des avocats qui a demandé l’annulation pure et simplement de la procédure complètement illégale.
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La Cellule genre du ministère de la Justice, en collaboration avec l’Ambassade du Canada, a ouvert hier, mardi 12 décembre, une session de renforcement de capacité  en politique du genre, ce pour 3 jours. L’objectif de cette rencontre c’est d’«amener les cadres de la justice à s’imprégner d’avantage et échanger d’expérience sur les principes et textes de base relatifs à la mise en œuvre de la politique de l’accès au droit et à la justice de proximité pour les femmes et les filles».  

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Barthélémy Dias et ses présumés complices risquent de retourner en prison si le juge du tribunal correctionnel de Dakar suit le réquisitoire du Procureur. Le parquetier a, en effet, requis 10 ans d’emprisonnement ferme contre Barthélémy Dias avec mandat de dépôt et le retrait de ses armes. Il a aussi demandé au juge de condamner ses présumés complices, Babacar Faye et Abib Dieng, à 5 ans ferme avec mandat de dépôt. Il a, en outre, requis 2 ans ferme contre les assaillants, les nervis qui ont été recrutés par le Parti démocratique sénégalais (Pds).

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A la suite du verdit du procès Habré, ses avocats ont dénoncé les sorties du Chef de l’Etat, mais aussi celui de son ministre de la Justice, Sidiki Kaba qui ont tous les deux indiqué que le procès s’est tenu dans les normes. 
« Le Président Macky Sall, architecte en chef, a organisé le procès et l'a instrumentalisé pour sa diplomatie des Droits de l'homme. Dès  lors, il ne pouvait plus organiser un procès juste et équitable dans la mesure où la volonté politique qui l'animait, allait dans le sens contraire », diront-ils. Ils ajoutent : « le Président Macky Sall a déclaré en France que le procès « s’est tenu dans des conditions optimales de respect des droits du prévenu » que « nulle part, l’Etat n’a interféré dans le déroulement de ce procès ». 

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 Du fait d’une «enquête bâclée», les 153 pèlerins laissés en rade à Dakar en août dernier, en plus de ne pas voir la Kaaba, risquent de ne rentrer dans leurs fonds. En effet, leurs «escrocs», qui n’ont pas tous été arrêtés, vont bientôt être mis en liberté, sans consignation des montants pourtant reconnus et sans mesures conservatoires sur leurs biens pour garantir le remboursement des sommes escroquées. Suffisant pour que SOS Consommateurs, qui dénonce «un scandale et une injustice», interpelle Macky Sall «pour qu’une telle infamie ne soit pas perpétrée.» Nouveau rebondissement dans l’affaire des pèlerins laissés en rade à Dakar lors du pèlerinage aux lieux saints de l’Islam, édition 2017.

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Vivement une justice équitable, indépendante et une cour constitutionnelle digne de ce nom !

Deux cas d’école, très instructifs, dont Macky doit méditer et s’en inspirer.

 

Le cas de Jérôme Cahuzac, ex-ministre du budget de France

 

"Chez Monsieur Cahuzac, la vérité est un mirage. On croit la saisir mais elle disparaît dans les sables mouvants de sa conscience." Voilà ce que le procureur a retenu des dix jours du procès de l'ancien ministre délégué au Budget jugé pour fraude fiscale. Trois ans de prison ferme requis contre Jérôme Cahuzac, avec cinq ans d’inéligibilité.

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  Le Mouvement Jubanti Sénégal dirigé par Mamadou Mouth Bane est monté encore au créneau pour exprimer son opposition à la décision de l’État du Sénégal d’accorder un asile humanitaire aux citoyens libyens détenus à Guantanamo. S’exprimant lors d’une conférence de presse hier, mardi 19 avril, Mamadou Mouth Bane menace ainsi de déposer une plainte contre toutes les personnalités sénégalaises impliquées dans l’arrivée de ces Libyens au Sénégal, le jour où ces derniers menaceront directement la sécurité du pays.   

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C’est la première fois qu’une affaire de détournement soit instruit en seulement neuf mois car tous les cas précédents ont, au moins, duré deux ans d’examen judiciaire.
Au moment où le rapport de l’Ige, à l’origine de l’arrestation de Khalifa Sall et Cie, est examiné en un temps record, 11 rapports de l’Ofnac dorment dans les tiroirs du procureur de la République et 17 au parquet spécial de la Crei.
Le dossier Khalifa Sall a duré neuf mois d’instruction. Tout s’est passé entre mars et décembre 2017. Une accélération sans précédent en matière de détournement de deniers publics.

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La rencontre des travailleurs de la justice avec leur ministre de tutelle, qui portait sur l’amélioration de leurs conditions de travail, a accouché d’une souris. Ces travailleurs qui ont fait face à la presse, ce matin, ont fait savoir que « cette rencontre n'a abouti à aucun accord ».

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A Paris, précisément à Versailles, Me Wade reçoit ses partisans venus pour la plupart lui présenter les vœux de nouvel An. Selon L’Observateur, Gorgui aurait rassuré ces derniers que son absence momentanée du pays n’était pas une sérieuse entrave à la bonne marche du parti. Il répondait ainsi à ceux qui réclament son retour au bercail.

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