
L’Ipres, en décidant de mensualiser arbitrairement la pension de retraite par une simple division de celle-ci par deux, sans prendre l’avis des concernés et sa revalorisation en tant que telle, s’est illustré encore dans une gestion, opaque et un manque de respect inacceptable à ces braves hommes et femmes qui ont servi leur pays de leur mieux, des décennies durant. Mais voilà qu’aujourd’hui, en lieu et place de récompense méritée pour services rendus à la nation, l’Ipres ne leur attribue en ce moment, qu’une modique pension de retraite incongrue et indécente, pour des personnes âgées dont certaines sont encore responsables et gèrent elles-mêmes leur famille, à cause du chômage de leurs enfants. Comme, si l’Etat voulait les enterrer au plus vite. Et cependant, ce sont ces gens-là, qui ont durement sué sang et eau, en versant des cotisations pour faire face demain, à leurs vieux jours. Comme l’indique précisément l’appellation de l’Ipres « Institution de prévoyance retraite au Sénégal »
Blancs comme neige! Mansour Kama, Faysal Sharara et le syndic Daddy Isma Sagna le sont dans le cadre de la procédure que les 158 ouvriers de la défunte société les Pêcheries frigorifiques du Sénégal (PFS) avaient initiée contre eux. Poursuivis pour banqueroute simple et abus de confiance, le président de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (CNES) et ses co-prévenus ont été tout simplement renvoyés des fins de la poursuite.
L’un des avocats de l’ancien Président Tchadien, Hissène Habré, le français Me François Serres, a déversé sa bile sur le ministre de la justice Sénégalais Me Kaba qui a affirmé avant hier que la non comparution d’Idriss Déby à la barre des Chambres africaines extraordinaires serait à lier au fonctionnement de la justice pénale internationale. 
La puce à l'ouïe, dakarposte a activé ses radars. Qui ont enquêté pour en savoir davantage sur cette affaire qui éclabousse des "haut d'en haut" comme on dit. Que s'est il passé ? 

C’est en acceptant de juger, puis de condamner, Mamadou DIA que notre justice, du reste, assez performante par ses codes de procédure, a raté sa première occasion de dire non à l’Etat. On peut, quand même, en être fier. Malgré le règne des officines. Telles que la justice des francs-maçons, celle du clergé, sans parler des confréries qui ont leurs dahiras de magistrats. .jpg)
Décidément, Dame justice a, pourrait-on dire, le sang chaud, ces derniers temps ! En tous les cas, il ne se passe pratiquement plus un jour sans qu'une célébrité n'ait maille à partir avec la justice. Aussi incroyable que cela puisse paraître,l'animateur vedette de l'émission "Jonganté" sur la Tfm a fait l'objet d'une plainte auprès des redoutés pandores de la brigade de Dakar-Ville, communément appelé "Thiong". Que s'est-il passé?
Interdit de voyager et de parler à la presse, caution de sa liberté provisoire, Serigne Assane Mbacké n’entend pas se plier. Le jeune Mbacké-Mbacké a lancé un défi à la justice. « Je voyage quand je veux ; ils ne peuvent me l’interdire », a d’abord dit le soutien de Karim Wade. 
Cambérène, la commune qui est le réceptacle de l’essentielle des eaux usées de Dakar n’est pas assainie. Ici, les populations sont obligées de déverser leurs eaux usées dans la rue, ou creuser pour les mettre dedans s’elles ne les jettent pas directement dans la mer. Suffisant pour qu’à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, Mame Amadou Samba, le maire de cette localité, interpelle directement l’Etat pour corriger «l’injustice».