
Les professeurs et maîtres d’éducation physiques de Diourbel ont observé, hier lundi, un sit-in devant les locaux de l’Inspection (départementale) de l’éducation et de la formation (IEF). Ces enseignants exigent le paiement des indemnités de déplacement du BFEM, session 2017. Les professeurs et maîtres d’éducation physiques de Diourbel sont en colère. Ils ont observé un sit-in pour dénoncer les retards notés dans le paiement des indemnités de déplacement du BFEM, session 2017. Mamadou Dioum, le porte-parole des professeurs et maîtres d’éducation physiques, explique: «on est venu faire un sit-in au niveau de l’IEF pour dénoncer des manquements liés aux retards dans le paiement de nos indemnités de déplacements de l’examen du BFEM





Le ministre de l’Éducation nationale, Serigne Mbaye Thiam a procédé hier, lundi 16 novembre, à l’inauguration du lycée Abdoulaye Fall de Ndande. S’exprimant lors d’une sobre cérémonie, en présence de l’ambassadeur de la France, Jean Felix Paganon, SerigneMbayeThiam a indiqué que «l’éducation constitue le seul levier capable, à long terme, de vaincre l’intolérance et toutes les velléités de destruction du vivre ensemble». 
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La Cour suprême a rendu public hier, vendredi 6 novembre, sa décision portant annulation de l'arrêté n°3816 du 24 juillet 2014 relatif à l'annulation d’admission des élèves-maîtres par le ministère de l'Education nationale, après 5 mois de formation. L'arrêt dont nous avons obtenu copie indique que «l'admission déclarée des élèves-maitres incriminés ne pouvait être remise en cause, au sens de l'article 5 de la loi du 6 février 1970 modifiée». Statué sur le fond comme sur la forme, le présent arrêt signé par le président de la Chambre administrative, Mouhamadou Diawara, considère "qu'aucun texte, notamment l'arrêté interministériel précité, ne conférait, pour ce concours-ci, au ministère de l'Education nationale, le pouvoir d'annuler les admissions résultant des travaux de la commission de délibération".
Les maladies tropicales négligées touchent 1 milliard de personnes à travers le monde, soit une personne sur 7. Ce qui est troublant, selon les sources de l’OMS, c’est que la moitié des cas recensés se trouve en Afrique. Mais pour relever le défi, il faut couper le mal par la racine. C’est-à-dire promouvoir l’hygiène des mains, boire et utiliser de l’eau potable, laver les crudités à l’eau de javel, lutter contre les fosses septiques et bien d’autres comportements environnementaux. Telle est l’alerte lancée hier, par la directrice des maladies au ministère de la santé et de la prévention lors d’une séance d’informations sur la campagne en cours contre ces maladies.