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06
Sam, Déc
SENETOILE NEWS

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Sénégal

 S’il y a une personne qui a été beaucoup citée hier, c’est bien le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye. En terminant son réquisitoire, il a fait allusion à un livre sur les techniques de la plaidoirie et selon lequel l’avocat ne cherche qu’à flatter le tribunal dans son argumentaire. Une comparaison qui n’a pas plu aux avocats qui, à chaque prise de parole, se sont attaqués à cette appréciation du maitre des poursuites. Ala fin presque de son réquisitoire, le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye, en référence à un livre sur les techniques de la plaidoirie, a trouvé que ceux qui sont émus à la suite de l’argumentaire d’un avocat doivent comprendre que l’avocat n’est que dans son rôle qui est d’essayer de flatter le tribunal. Un argumentaire fustigé par le bâtonnier Moussa Félix Sow qui, en réponse à Serigne Bassirou Guèye, a dit qu’il n’y a aucune mise en scène dans ce qu’ils font. « Chacun ici fait son travail sérieusement », a-t-il répondu. « La flatterie, un mot dont le procureur a fait référence dans son argumentaire, qualifie les avocats comme de metteurs en scène », en a déduit Me Khassimou Touré qui trouve que les avocats ne sont pas des scénaristes. 

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Sénégal

 L’avant dernier jour du procès relatif à la caisse d’avance de la mairie de Dakar a eu lieu hier, jeudi 22 février, à la salle 4 du palais de justice de Dakar. Dans cette ultime phase de la procédure, les avocats de la défense, Borso Pouye et Me Doudou Ndoye, ont apporté les «preuves» qui disculpent leurs clients. Reprenant la parole pour la réplique, l’agent judiciaire de l’Etat, Antoine Félix Diome, et les avocats de l’Etat sont revenus à la charge pour étayer toutes les accusations portées contre les prévenus. 

Celui qui œuvre a droit à un salaire et le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye veut mériter son salaire à la fin du mois. Le travail qu'il accomplit dans le cadre du procès de Khalifa Sall n'est, dit-il, pas un service rendu, mais une obligation, un devoir. Et "quel que soit le verdict", les cartes sont déjà servies et le maître des poursuites affirme qu'il "recevra son salaire sans un centime de moins".

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En marge de la grande interview qu’il a accordée à Leral.net, Cheikh Bamba Dièye qui est un Ingénieur des Travaux publics, spécialiste en développement local accuse et dénonce au micro de Leral.net la pénombre, voire le manque d’éclairage qui prévaut dans le service public de l’Autoroute à péage Dakar – Diamniadio. Ce projet, rappelons-le, est la résultante du Partenariat Public-Privé avec le concessionnaire privé, le Groupe EIFFAGE. Le leader de la FSDBJ n’a pas aussi été tendre à la fois avec l’Etat et les populations en ce qui les accidents répétés sur les routes sénégalaises notamment à Porokhane ces deux jours.

Sénégal

 Les avocats de la défense ont clôturé hier, mercredi 21 février leurs plaidoiries dans le cadre de l’affaire de la gestion de la caisse d’avance de la mairie de Dakar opposant l’Etat du Sénégal au député-maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall et ses co-prévenus. À la barre, Me François Sarr et ses confrères ont réfuté toutes les charges retenues contre leurs clients en plaidant la relaxe. Ouvrant le bal des plaidoiries de la défense hier, mercredi 21 février, Me Ndèye Fatou Sarr a demandé au tribunal de relâcher son client, Khalifa Ababcar Sall ainsi que tous ses co-prévenus. À la barre, la robe noire a indiqué qu’aucune des infractions n’est établie et que le député-maire de Dakar est simplement victime d’une «orchestration» d’une «machination».

Les avocats de la défense ont encore plaidé ce mercredi après-midi au tribunal correctionnel, devant lequel Khalifa Sall et ses co-prévenus comparaissent depuis 19 jours. La prestation de Me Khassimou Touré a éclipsé toutes les autres. En moins d’une heure et demie, le conseil a passé le dossier au peigne fin, réuni les éléments et balayé les précédentes objections de la partie civile.
Me Khassimou Touré a plaidé pour son petit frère Mbaye Touré, directeur administratif et financier (DAF) de la Mairie de Dakar.

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 Dans la matinée du 17ième jour d’audience dans l’affaire de la caisse d’avance de la ville de Dakar, les avocats de la défense se sont tant soit peu entredéchirés. En effet, les conseils des co-prévenus, Mamadou Oumar Bocoum et Ibrahima Touré, tous receveurs-percepteurs à la municipalité de Dakar, se sont investis à démonter les griefs portés contre leurs clients par le gestionnaire de la caisse d’avance, Mbaye Touré. De leurs côtés, les avocats de la défense du député-maire, Khalifa Sall, de Mbaye Touré, etc, se sont évertués à leur tour à démontrer que les percepteurs-receveurs ont tous agi en connaissance de l’existence des fonds politiques et qu’il n’était pas question qu’ils bénéficient de la relaxe au détriment de leurs clients, comme le souhaite le procureur de la République, lors de son réquisitoire.

Le procès de Khalifa Sall et des sept co-accusés au Palais de justice, à Dakar, entre dans sa cinquième semaine ce lundi 19 février. L’heure est aux plaidoiries de la défense. Vendredi, le procureur a requis sept années de prison et 5,5 milliards de francs CFA d’amende à l’encontre du député, maire de la capitale, soupçonné notamment de détournement de deniers publics. Les nombreux avocats de Khalifa Sall auront jusqu’à mercredi pour tenter de convaincre le tribunal que leur client n’a rien détourné. A la barre lundi après-midi, ils se sont montrés très offensifs.

Affûtée, la défense a décortiqué crescendo tous les chefs d’inculpation. « Comment pouvez-vous parler de détournement de fonds à hauteur de 1,8 milliard ? Mon client travaille avec le maire Khalifa Sall. Il est locataire, paie 75 000 francs CFA de loyer, n’a pas de voiture et on me dit qu’il s’est enrichi », engage l’un des avocats.

L’opposition sénégalaise travaille à mettre en œuvre une pluralité de candidats, lors de la présidentielle de 2019, pour bouter hors du pouvoir le régime du président Macky Sall. C’est le moins que l’on puisse dire, au vu des positions toutes tranchées des uns et des autres sur la question de la candidature plurielle de l’opposition. Que ce soit le président du parti Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef/Les Patriotes), Ousmane Sonko, le chargé des élections du parti les Libéraux démocrates réformateurs (Lrd/Yessal), Mouhamadou Faye, le député du Parti pour l’unité et le rassemblement (Pur), El Hadj Issa Sall, le porte-parole du Front pour le socialisme et la démocratie/Benno Jubël (Fsd/B), Ndongo Diaw, ou encore Mamadou Diop Decroix, le patron d’And-Jef/Pads, tous s’accordent sur la nécessité pour l’opposition de présenter des candidatures plurielles.

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Medibougou-Mauritanie : Les esclavagistes féodaux avouent leur crime sur un vieux de 70 ans.

Des images qui parlent d'elles mêmes, horreur, barbarie féodale insoutenable sur le territoire Mauritanien, l’an 2018.

Nous mettons à la disposition de l’opinion nationale et internationale la preuve l’aveu des criminels féodaux issus de familles « Diawara du village Médibougou lors d’un échange familial sans complexe: « Je réponds par Aleykoum Salam, en s’adressant à un autre Diawara depuis Angola. Tout ce qu’on vous a raconté, est ainsi, moi-même, je suis en garde à vue depuis hier à 2h avec 11 personnes. Nous avons battu, agressé, blessé de gens, ils se soignent actuellement. L’affaire est très grave oui, il y a une délégation de maures en route pour arranger les choses mais nous ne pensons pas qu’ils arriveront, car, c’est très grave. Nous avons ce problème avec des esclaves, ce n’est pas la majorité mais ceux qui font le malin, qui refusent de se soumettre…… » Les bourreaux féodaux se réjouissent d’avoir accompli leur crime odieux sur un vieil homme de 70 ans, il rajoute dans sa conversation : « Notre groupe social n’a pas reçu un seul coup, nous sommes indemnes sans égratignure»