Les terres du département de Rufisque sont de plus en plus convoitées. Ce sont des hectares de terres appartenant à des particuliers, jadis réservées à l’agriculture, qui suscitent aujourd’hui l’appât de promoteurs véreux et de responsables des domaines peu enclin à la déontologie. Parmi les noms de personnes citées auteurs de ces escroqueries foncières figurent Ousmane Ndiaye, Allé Sène, tous deux repris de justice ainsi que le chef de village de Niakhirate.
Destruction d'édifices longeant le mur de l'aéroport de Dakar : révélations sur un énorme scandale foncier
Depuis quelques temps, la destruction des constructions longeant le mur de l'aéroport Léopold Sédar Senghor a fait l'objet de plusieurs déclarations. Il s'agit de terrains vendus par des agents haut placés des Aéroports du Sénégal (ADS) et un groupuscule d'escrocs qui utilisent le nom des "Lébous" pour accomplir leur basses oeuvres. D'ailleurs, pour se tirer d'affaire, ils ont voulu mouiller le khalife général des Layennes en disant qu'il était propriétaire de ces terrains. Mis au parfum, le Khalife via sa cellule de communication a tout de suite sorti un communiqué pour démentir ces informations.
Les membres de la Commission nationale de réforme foncière (CNRF) ont fait un bilan d’étape du processus de consultation en cours avec les populations sénégalaises à tous les niveaux. Pr Moustapha Sourang, président de ladite commission, et ses collaborateurs de la commission technique, face à la presse hier, mercredi 3 juin, ont tenu à rassurer les populations que la réforme n’est pas destinée à leur arracher des terres, mais plutôt à sécuriser leurs droits fonciers. 
S’exprimant sur la Loi 12/2010 qui instaure une réforme de la propriété foncière, le directeur exécutif de Initiative prospective agricole et rurale (Ipar), Cheikh Oumar Ba, juge nécessaire une prise en compte des intérêts de tous les acteurs concernés par la réforme, mais aussi d’éviter que la question juridique prenne le dessus sur les dimensions sociologique, culturelle et politique. Entretien.
Le Président de la Commission nationale de réforme foncière (Cnrf) a fait face aux journalistes, ce mercredi 3 juin, au siège de la Cnrf. Ce, pour sensibiliser sur l’état d’avancement du processus de réforme foncière au Sénégal. Sous ce rapport, Pr Moustapha Sourang a déclaré que le travail de pré-finalisation qui a été mené par sa structure dans toutes les régions du pays, hormis Thiès et Dakar, a été globalement satisfaisant. Avant de préciser que ces deux régions seront aussi visitées dans les prochains jours.
Le développement du Sénégal passe par une forte implication des émigrés disait au mois de décembre dernier l’adjoint au gouverneur chargé du développement de Diourbel. Depuis, le gouvernement a pris une option sérieuse en décidant d’impliquer les épouses des émigrés restées au pays.
Alors que le Sénégal avait supprimé les droits coutumiers en 1964 avec la loi sur le domaine national, les directives volontaires au niveau mondial suggèrent de reconnaître les droits des populations locales. Aujourd’hui, avec les différents usages qui sont faits de la terre, agriculture, tourisme et mines, un arbitrage responsable de l’Etat est nécessaire pour déterminer le besoin d’avoir des terres à habiter et les besoins de nourrir les populations sénégalaises. Du moins, c’est ce que pense Cheikh Oumar Ba, Directeur exécutive de l’Initiative prospective agricole et rurale (Ipar) qui s’exprimait vendredi dernier en marge de la clôture de l’atelier préparatoire pour le Forum Foncier Mondial Dakar 2015.
Les « Consultations citoyennes « du Professeur Sourang, constituent une phase décisive dans le processus de la Réforme foncière mise en œuvre par la Commission Nationale ( CNRF) qu’il est chargé par le Chef de l’Etat, de présider.
Les populations de Bargny sont décidées à ne plus voir leurs terres spoliées. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’un collectif dit de sauvegarde des terres de Bargny, s’active pour la protection de leurs biens fonciers a été mis sur pied. Ce Lundi, il a conduit une forte délégation pour se rendre au siège de l’Apr pour exposer leurs doléances contenu dans un mémorandum, à l’administrateur général du parti, afin que ce dernier soit son relai auprès du président de la République.
Et l'on reparle du patron de l'entreprise de promotion immobilière dénommée Namora! Singulièrement pour dire que ce n'est pas demain la veille qu'Alioune Badiane sortira des ténèbres de la citadelle du Cap Manuel de Dakar.
Le Conseil national de concertation et de coopération des ruraux (CNCR) suggère de plafonner à 15 ans la durée des contrats fonciers à accorder aux investisseurs étrangers, après la réforme foncière en cours au Sénégal.
La nouvelle politique du gouvernement dans le domaine du foncier a été passée à la loupe ce lundi à Louga, au cours d’un comité régional de développement /CRD/ présidé par le président de la commission nationale chargée des problèmes fonciers, le professeur Moustapha Sourang.