Inauguration de la ferme avicole de Mbodiène : Un investissement de 85 millions au profit des pêcheurs
Le ministre de la Pêche et de l’économie maritime, Oumar Guèye et Vera Songwe, directrice des Opérations de la Banque mondiale, ont inauguré hier, la ferme avicole de Mbodiène, située à une trentaine de km de Mbour. D’un coût de 85 millions de francs Cfa, cette ferme, réalisée dans le cadre du Projet régional des pêches en Afrique de l’Ouest (Prao), vise à réduire la pression sur les ressources halieutiques.
La belle saisie, réalisée par les douaniers sénégalais, ne devrait pas pousser à sous-estimer la menace représentée par les 160 autres conteneurs qui attendent depuis Dubaï, le moyen d’accoster sur nos rives.
La 16e édition de la Foire de l’agriculture et des ressources animales (Fiara) s’est ouverte hier à Dakar. Sur l’esplanade du Centre international pour le commerce extérieur (Cices), les producteurs de riz ont volé la vedette aux autres exposants.
JUMIA Côte d’Ivoire s’étend sur le territoire Ivoirien
Un organisme de réglementation africain prévoit de rendre accessibles au public sur son site Internet les informations sur la performance des réseaux
Depuis l’entrée en vigueur de la modification de la loi sur la Sarl (Société à responsabilité limitée), il y a un an, plus de 1.700 sociétés ont été créées dont 1.502 à Dakar.
PÉKIN. - Mardi 24 Mars 2015
Depuis qelques semaines, c'est le sujet de discussion favori dans les salons huppés de la capitale sénégalaise. Macky Sall va procéder au remaniement de l'attelage gouvernemental dirigé par Mouhammad Boun Abdalah Dionne. Ce changement a pour principal motif l'échéance électorale de 2017. Il y aura de nouvelles têtes à des ministères de souveraineté. L'actuel directeur général du FONSIS serait pressenti pour occuper le poste de ministre de l'Economie et des Finances. Le Président aurait pris sa décision. Un choix très discutable. Amadou Hott, malgré les espoir suscités par son impressionnant CV, n'a pas été aussi brillant qu'on l'espérait à la tête du FONSIS où son bilan est quasi nul.
Où va le tourisme sénégalais ? 40 ans après la naissance des premières stations balnéaire, le Sénégal résistera-t-il à la mort d’un secteur touristique bien mal en point ? Pendant des années, le manque d’initiatives aggravé par la faiblesse d’une offre touristique attractive et de qualité, a fini de faire comprendre que la destination n’était plus aussi crédible qu’on pouvait le penser. Et, c’est au moment où la Société d’aménagement de la Petite côte (Sapco) a décidé de s’investir dans des zones comme Pointe Sarène et le sud de Mbodiène, que le secteur du tourisme traverse sa période la plus délicate. La rumeur Ebola a fait beaucoup de mal. Tout comme certaines négligences. Mais, aujourd’hui et demain, c’est comme s’il fallait désormais se préparer à la fin des colonies de vacances et la mort d’une certaine idée du tourisme. 