L’OBS – Le diagnostic est fait. D’après le Directeur de la prévision et des études économiques (Dpee), Pierre Ndiaye, le retard de la mise en œuvre de certaines réformes et la difficulté de l’accès aux facteurs de production sont les causes essentielles de la faible croissance de l’économie sénégalaise. Pierre Ndiaye s’exprimait en marge d’une conférence publique sur les prévisions et les études économiques dans le cadre du Plan Sénégal émergent (Pse). La rencontre avait pour but de renforcer le dialogue entre les chercheurs, la société civile et l’Etat pour relever les défis économiques. Portant sur le thème de la croissance, elle était l’occasion de faire un diagnostic sans complaisance pour réduire la pauvreté et renforcer l’accès aux services sociaux de base.

Quelques infrastructures figurant parmi les 27 projets phares du Plan Sénégal émergent (PSE) dont la mise en service de la première phase du nouveau parc industriel de Diamniadio seront livrées en 2015, a indiqué le Premier ministre Mahammed Ben Abdallah Dionne.
‘’L’année 2015, c’est l’échéance pour la mise en service de la première phase du nouveau parc industriel, une SODIDA (Société du domaine industriel de Dakar) en plus grand, destinée à héberger à Diamniadio, les entreprises chinoises candidates à la délocalisation de milliers d’emplois au Sénégal’’, a-t-il dit dans un entretien avec le journal Intelligences Magazines du mois d’août. 

iGFM- (Dakar) La production de la mine d’or à ciel ouvert de Sabodala, située dans la région de Kédougou (sud-est), a atteint 6,1 tonnes en 2013 pour un chiffre d’affaires de 174 milliards de francs CFA, a-t-on appris des responsables de Teranga Gold Corporation, la société exploitant ce périmètre minier.

Les responsables de cette société minière présentaient leur rapport RSE (Responsabilité sociale d’entreprise (RSE), samedi à Sabodala, dans le département de Saraya.

Ils ont annoncé une production d’or de 6,4 tonnes en 2013 contre 6,6 tonnes en 2012. Le chiffres d’affaires de la société minière est de 174 milliards en 2014. Celui-ci était de 172 milliards en 2012.

Teranga Gold Corporation évaluent par ailleurs le montant de ses investissements 34 milliards de francs CFA en 2013.

Le ministre a insisté sur la livraison à temps de l’aéroport international blaise Diagne de Diass : «le délai est un paramètre de gestion important. Quand on décline un projet, il est important qu’on respecte le délai, car si un produit est livré après le moment opportun, il est inutile ».

Abdoulaye Diouf Sarr,  indique dans la même lancée que son département va faire en sorte que chaque pôle touristique se développe sur la base de ses compétences.Revenant sur les maux du secteur touristique, le ministre indique qu’il mise sur une démarche participative :« je suis dans une logique de concertation avec les acteurs, pour qu’ensemble on puisse trouver  des solutions idoines», a-t-il soutenu.

La Commission européenne a lancé hier, un nouveau programme d’appui à l’intégration continentale de l’Afrique d’un budget total de 415 millions d’euros, soit environ 272,22 milliards de francs Cfa.

Réponse au sommet Etats-Unis d’Ame­rique-Afrique. Après les 33 mil­liards de dollars de nouveaux engagements annoncés avant-hier, par le Président Obama, au forum de Washington, la Commission de l’Union européenne a annoncé hier, un nouveau programme d’appui à l’intégration continentale de l’Afri­que. Il s’agit du tout premier programme de l’Ue en matière de développement et de coopération couvrant l’ensemble de l’Afrique. Ce «programme panafricain», mentionne un communiqué de la Délé­gation de l’Union européenne au Sénégal, «financera des activités dans toute une série de domaines et il ouvre de nouvelles perspectives de coopération entre l’Ue et l’Afrique».

Les pertes, dues à la pourriture des céréales ou aux dommages occasionnés par les rongeurs ou les insectes, sont estimées à 30 % de la récolte

LUSAKA, Zambie, 8 août 2014/ -- AGCO (Your Agriculture Company, NYSE:AGCO) (http://www.agcocorp.com), fabricant et distributeur multinational d’équipements agricoles, a établi un partenariat avec « Feed the Future Partnering for Innovation » (programme financé par USAID, l’Agence des États-Unis pour le développement international) afin de réduire les pertes après la récolte du maïs et d’améliorer la manutention des céréales en Zambie.

« C’est la faim qui y fait des ravages, tant pour les personnes que pour le cheptel. En effet, récemment tout le monde a pu observer que des familles entières ne mangent pas à leur faim. Leur nombre est estimé à plus de deux cent mille (200 000) personnes. Pour le bétail, actuellement un bœuf de trois (3) ans est bazardé à peine à cinq mille francs (5000) CFA dans certaines zones du pays. L’aliment de bétail coûte cher; le sac est de 40kg est à onze mille francs (11 000) CFA, ailleurs il varie et peut monter jusqu’à entre huit et douze mille francs (12 000) CFA. Pour le foin, le sac est à cinq mille francs (5 000) CFA. Peu d’éleveurs du pays peuvent faire face à ces dépenses aussi élevées», a-t-il déploré. Aussi appelle-t-il au sens de la responsabilité du gouvernement pour venir au secours, pendant qu’il est encore temps, au monde rural en détresse. 

•          Cette acquisition fait de Gemalto la référence en matière de sécurité des données, des logiciels et des transactions en ligne, en associant les technologies de protection des données au coeur du réseau à ses offres d’authentification en périphérie des réseaux.

•          Le prix d’acquisition de 890 millions de dollars sera financé par de la trésorerie disponible et l’utilisation de lignes de crédit existantes

•          Le bouclage de la transaction est prévu pour le quatrième trimestre de 2014

•          L’objectif de Gemalto de 600 millions d’euros de résultat des activités opérationnelles en 2017 devrait être dépassé d’environ +10%

iGFM – (Dakar) Intervenant dans le cadre d’un des panels de discussion du US-Africa Business Forum qui s’est tenu le 5 août 2014 à Washington, le milliardaire d’origine soudanaise qui, aujourd’hui, préside une fondation portant son nom, Mo Ibrahim, a déclaré que la solution pour un financement efficace de l’Afrique de demain, serait de mettre en place un marché financier panafricain.

«Nous devons sérieusement travailler à l’intégration économique de l’Afrique, en mettant l’accent sur la création d’un marché financier panafricain. C’est une chose qui peut être faite simplement. Nous avons sur le continent six ou sept marchés financiers qui sont véritablement liquides, mais cela ne fonctionne pas. On pourrait donc créer un marché financier unique et les autres marchés en seront des actionnaires», a expliqué M. Mo lors de son intervention.