Valérie Pécresse reçoit sa distinction au Terrou-Bi : Le SAES des-Honoris Causa l’UCAD
Les responsables du Saes (Syndicat autonome de l’enseignement supérieur) ont empêché hier les autorités universitaires d’honorer l’ancien ministre des Universités et de la Recherche de la France dans l’enceinte de l’Ucad 2. Ils qualifient «d’insulte grave» la décision prise par les autorités de décerner le titre de Docteur Honoris Causa à Valérie Pécresse qui symbolise «la précarisation, la marchandisation et la privatisation des universités».
C’est parti ! La course à la candidature du Parti démocratique sénégalais (Pds) pour la présidentielle de 2017 est officiellement lancée. A la sortie d’un conclave tenu hier, jeudi 5 mars, sous la présidence de son secrétaire général national, Me Abdoulaye Wade qui n’a pas fait de déclaration à la presse, le bureau politique du Pds a annoncé l’ouverture officielle des dépôts des candidatures. 

Pour la prochaine bataille, le Grand cadre des syndicats d’enseignants sort la grande artillerie. Aucune éventualité n’est écartée. Cette année, pour les militants du Grand cadre, «ça passe ou ça casse». Le Cusems, qui est dans la même dynamique, va dérouler un autre plan d’action dont il refuse, pour l’instant, de dévoiler les détails.
Le grand rassemblement pour l'autosuffisance alimentaire en riz, initié par les responsables de l'Apr du département Podor, samedi à Guédiawaye, a servi de tribune à Aliou Sall pour répondre à Me Wade qui avait traité son frère de Président de "descendant d'esclaves".
Quand Pape Samba Mboup, un des bras droits de l’ancien Président estime que la dernière sortie de Abdoulaye Wade est regrettable, Farba Senghor, chargé de la propagande du Pds, lui, dit se retrouver dans le propos wadiens, mais appelle les proches du chef de l’Etat, les chefs religieux à raisonner Macky Sall, afin d’éviter que l’irréparable se produise.
Un dossier dans un dossier. Les enregistrements de délibérations de la Crei dans l’affaire Karim Wade mettent en cause un preneur de son et un informaticien. Le dernier aurait été approché par la défense de Karim Wade pour lui vendre les secrets des délibérations sur les exceptions et non sur le verdict du 23 mars. 
Dans le cadre de sa lutte pour la libération de son fils, Karim Wade, Abdoulaye Wade ne laisse pas de quartier à son successeur, Macky Sall, qu’il s’est employé hier à qualifier de descendant d’esclaves, au cours d’un point de presse. 
La présidente du Conseil d’administration d’Enda Pronat, Mariéme Sow souhaite qu’il y ait dans la nouvelle réforme foncière des lois garantissant l’accès des ruraux à la terre. Elle s’exprimait hier, jeudi 26 février à l’ouverture d’un atelier de restitution des expériences paysannes sur la gestion des terres.
Le 23 mars. La date n’échappera à personne. Karim Wade et ses co-prévenus seront fixés sur leur sort. Le Quotidien revient sur les péripéties, intrigues, rebondissements d’un dossier à plusieurs interrogations. Voici l’abécédaire de 15 mois d’enquêtes, 7 mois de procès pour enrichissement illicite présumé.
Des émissaires de Abdoulaye Wade ont été reçus par le porte-parole du khalife général des tidianes de Tivaouane. Ils n’ont pas obtenu le soutien attendu. Abdoul Aziz Sy «Al Amine» leur a signifié son indignation par rapport aux déclarations de leur leader sur la famille de l’actuel président de la République.
Décidément, l’Afp de Moustapha Niasse est en pleine tempête. Après les huées contre le patron du parti et président de l’Assemblée nationale, la suspension de huit cadres sanctionnés comme auteurs des dites huées, le duel de positionnement ouvert pour la succession de Niasse, la guéguerre est repartie sur les chapeaux de roues entre « frondeurs» et « légitimistes » ou plus prosaïquement «pro-Niasse ».
Ayant pris part à une rencontre de remobilisation de l'Alliance pour la république (Apr) à Golf Nord, le maire de Guédiawaye, Aliou Sow, a soutenu que les détracteurs de son frère ne sont que des hâbleurs. “Les gens sont en train de parler, mais Macky est en train de travailler.
Dans une chronique publiée hier dans le quotidien le Populaire, Abdou Salam Kane, ASAK de son nom de plume, recadre Abdoulaye Wade. Les propos tenus par ce dernier sur Macky Sall et ses origines ont inspiré l’excellent chroniqueur du Populaire, qui, dans son français châtié, a donné une bonne leçon de décence et de prudence à Abdoulaye Wade par rapport à sa propre ascendance.
Abdoulaye Wade n’en est pas à sa première. Sa sortie rappelle celle malheureuse à Tivaouane Peul où il avait menacé de retirer ses projets aux populations du Fouta. Il tentera également de mettre en mal son adversaire en 2012 avec les chefs religieux.
Il avait piqué une crise lors de sa détention au commissariat de Police du Plateau et avait été évacué dans une clinique à l’hôpital Principal de Dakar. Mais, Mamadou Diop Decroix compte poursuivre son combat contre « l’injustice ». Invité de l’émission « Sortie » diffusée ce dimanche sur Walf Tv, le député fait savoir qu’il est prêt à tout pour la libération de Karim Wade, Aïda Ndiongue et Abdou Aziz Diop qui selon lui, sont « détenus arbitrairement ». « Ils accusent Karim de tous les péchés alors qu’ils sont incapables de brandir les preuves de sa culpabilité. Depuis deux ans, l’ancien ministre d’Etat est en prison et ses droits sont bafoués. Ses amis (Aziz Diop et Aïda Ndiongue) sont emprisonnés. Je donnerai ma vie pour mettre fin à cette injustice », martèle le coordonnateur du Front patriotique pour la défense de la République (FPDR).