Au moment où des femmes de la Casamance sont venues à Dakar pour chercher la paix (elles ont tenu un grand symposium hier avec toutes les femmes du Sénégal au CICES), le maire de la ville de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé appelle à des négociations sincères et à des assises inter-MFDC pour soulager la région qui soufre des dégâts de cette crise depuis plus de 3 décennies.

Paix en Casamance : Le maire de Ziguinchor appelle à des négociations "sincères" et à des assises inter-MFDC

Des allégations parues dans la presse font état de l’acquisition de terres à Mbane par des ministres et des autorités proches du Président de la République. Ce qui ne cadre pas avec la vérité. 
Depuis 2011, il n’a été procédé à aucune affectation de terre à Mbane. Une vérification auprès de la Gouvernance de Saint-Louis permet d’en être édifié. Aucun ministre n’a donc été attributaire de terre dans cette contrée, depuis l’avènement du Président Macky Sall.

Dans le cadre du renforcement de partenariat Sud-Sud, le « Groupe l’étudiant marocain » va réunir, les 8 et 9 mai prochain, les professionnels de la formation, les étudiants et les personnes intéressées pour voir les perspectives de formation offertes par le Maroc. 

Le « Groupe l’étudiant marocain » organise, du 8 au 9 mai 2014, à la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Dakar, le 1er Forum estudiantin dédié à l’Afrique. L’objectif est, selon le président directeur général du groupe, Mohcine Berrada, d’accompagner les jeunes africains du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Gabon et du Congo-Brazzaville dans leur démarche de recherche d’informations et d’orientation en matière d’enseignement et permettre aux établissements de formation marocains d’aller à la rencontre des jeunes et des professionnels de l’éducation de ces pays afin d’élargir leur champ de recrutement à l’international.

Alors qu’il abrite le Centre régional de formation des instituteurs, le département de Tambacounda reste le plus défavorisé par le quota annuel d’enseignants reversé aux établissements scolaires. Ainsi, il fait face à un déficit de 70 maîtres.

Malgré la mise en place de plusieurs stratégies pour améliorer la qualité des enseignements-apprentissages, le département de Tambacounda accuse encore un déficit de maîtres. Cette année, sur les 182 sortants, il n’a bénéficié que de 38 enseignants. Pour Domining Ibrahima Diouf, inspecteur de l’éducation et de la formation, le déficit est de 70 enseignants ; compte non tenu des combinaisons comme les classes multigrades et les doubles flux. 

Des commerçants du marché Ndiarème sis à Guédiawaye ont organisé un sit-in hier pour protester contre la décision du préfet du département de faire quitter une partie de leurs collègues occupant un espace de plus de 2000 mètres carrés. Ils ont ainsi affiché une détermination à mener un combat contre l’autorité préfectorale.

Des commerçants du marché Ndiarème de Guédiawaye ont révélé qu’ils occupent le marché depuis 1972, et que par conséquent, le quitter brusquement dans les conditions imposées par le préfet de Guédiawaye leur porterait un énorme préjudice. C’est la raison pour laquelle ils se sont mobilisés hier sur le site pour manifester leur détermination à continuer à occuper le marché. Fougueux, les plus jeunes ont laissé entendre qu’ils sont prêts à y laisser leurs vies au cas où l’autorité préfectorale ne renoncerait pas à cette décision de les faire partir. 

Le gouvernement et les différentes parties prenantes ont validé hier, vendredi 24 janvier 2014, la démarche foncière dans les zones du Projet de développement inclusif et durable de l’agrobusiness au Sénégal (PDIDAS) à l’issue d’un conseil interministériel présidé par le Premier ministre Aminata Touré. Ce projet, prévu dans la zone du Ngalam et du Lac de Guiers, vise la production de 157 000 tonnes de fruits et légumes et la création de 50 000 emplois d’ici 2017.

Le Projet pour le développement inclusif et durable de l’agrobusiness au Sénégal (Pdidas) prévu dans la zone du Ngalam et du Lac de Guiers et dont l’accord de financement a été récemment approuvé par le Conseil d’Administration de la Banque mondiale à hauteur de 86 millions de dollars (43 milliards de francs Cfa) va démarrer ses activités dans un proche avenir.

Serigne Mbaye Thiam a procédé, mardi dernier, à l’inauguration du nouveau collège d’enseignement moyen (Cem) de Linguère. Il a saisi l’occasion pour annoncer la construction prochaine d’un lycée moderne dans cette ville.

Le ministre de l’Education nationale, Sergine Mbaye Thiam, a inauguré, mardi dernier, le nouveau collège d’enseignement moyen (Cem) de Linguère dans le cadre du projet « Matching ». C’était en présence de Lewis Lukens, ambassadeur des Etats-Unis au Sénégal, qui a salué les relations très étroites entre son pays et le Sénégal. « Depuis 2004, le gouvernement américain a financé la construction de 104 collèges au Sénégal. C’est cela le projet « Matching ». C’est un exemple de relations étroites et parfaites », a-t-il expliqué.

Les responsables du Cadre unitaire syndical des enseignants du moyen secondaire (Cusems) ont tenu, hier, au lycée Oumar Foutiyou Tall (ex Faidherbe) de Saint-Louis, une assemblée générale à l'issue de laquelle ils ont décrété une grève générale de 24h après le débrayage observé mardi. Le secrétaire général de la section départemental de Saint-Louis, Modou Ngom, a rappelé que les membres du Bureau exécutif national (Ben) du Cusems, conduite par Aliou Gningue, chargé des revendications, sont venus s'enquérir de la situation dans laquelle évoluent les enseignants victimes de la suspension des salaires et remobiliser les troupes. 

La succession de Madieyna Diouf au poste de maire de la commune de Kaolack, ouverte depuis plus d’une année déjà, continue encore et encore de susciter les appétits. Autant dans les partis politiques que dans les rangs de la société civile, les candidatures se succèdent en effet et se différencient comme si chacun voulait être maire.

Après cette multitude de protagonistes issus des formations politiques, de la société civile, des milieux religieux et du secteur privé, c’est maintenant au tour du conseil municipal de Kaolack de monter au créneau. Une partie des membres de cette équipe s’est en effet départie du lot pour monter un nouveau mouvement intitulé « Kaolack Jaral Nama ».