La 9ème Conférence internationale du groupe de travail sur la performance sociale (SPTF) a été présidée dans un hôtel de la place hier par la Présidente du Conseil économique, sociale et environnementale. Cette dernière est longuement revenue sur le rôle que pouvaient jouer les institutions de microfinance pour éradiquer la pauvreté.

iGFM (Dakar) Les saltigués ont rivalisé d’ardeur et de prédictions ce week-end au centre Prometra de Malango Fatick, à l’occasion de la quarante-troisième édition du Xoy. Pour l’essentiel, ils ont prédit des élections locales sanglantes, la mort d’un journaliste en mission …

Non seulement les Sénégalais voteront sous la pluie le 29 juin, mais ils devront aussi faire face à beaucoup d violences électorales, si l’on se fie aux prédictions faites ce week-end lors du Xoy de Malango. De l’avis de beaucoup de saltigués, beaucoup de sang coulera pendant les élections locales. « Beaucoup de sang sera versé un jour de dimanche pendant la campagne, à Niakhar surtout », a annoncé Amy Diouf de Niakhar dans les colonnes du quotidien l’As. Appuyée en cela par le saltigué Baye Dieng Gueye.

Les émeutes de Thiaroye sont loin de connaître leur épilogue. Malgré l’appel au calme, les autorités ont décidé de tirer cette affaire au clair pour situer les responsabilités. Le Cetud et 3 D ont décidé de porter plainte pour destruction de biens appartenant à autrui. Le ministre de la Pêche et des affaires halieutiques, Aly Haïdar, est aussi sorti de sa réserve pour remettre les choses à l’endroit et annoncer des sanctions judiciaires à la hauteur des fautes commises.

Dans le but d’asseoir une politique agricole qui répond aux attentes des populations à la base, la Saed prône la cohabitation entre l’agriculture familiale et l’agrobusiness.

Après les affrontements de mercredi entre les pêcheurs de Thiaroye-Sur-Mer et des agents de la Marine marchande, le Grand Serigne de Dakar, Abdoulaye Makhtar Diop, prie pour l’apaisement. Hier, il était dans ce quartier pour tenter d’apaiser les esprits et trouver une solution à l’amiable en rencontrant les notables et les jeunes. A l’issue de cet entretien, le Grand Serigne  de Dakar a présenté des excuses au nom de la «collectivité léboue» à l’Etat.

C’est un vrai recul pour les féministes. Au Sénégal, pays majoritairement musulman, la polygamie est en vogue. Le célibat prolongé, fréquent chez les étudiantes, les rend suspectes. Si on n’est pas mariée à 30 ans, on a forcément un problème «inavouable». Alors, de plus en plus de femmes, pour rentrer dans la «norme sociale», acceptent la polygamie. Mais pas seulement.

Polygamie du nouveau riche au Sénégal : Désirées, elles refusent d’être de « vieilles filles »

C’est un vrai regain de popularité pour la polygamie au Sénégal. Fait étonnant, voire déroutant pour les Occidentales, de nombreuses jeunes femmes instruites en quête d’indépendance déclarent la plébisciter.

Selon une enquête du magazine Elle, «environ 40% des ménages sénégalais sont officiellement polygames, un chiffre qui serait en dessous de la réalité, selon Moustapha Wone, sociologue à Dakar, qui ajoute : «curieusement, il y a une recrudescence de la polygamie dans les milieux aisés, et c’est ce qui est extraordinaire.» 

Les bus DDD et AFTU sont la cible privilégiée des émeutiers à Dakar. Hier, les responsables de ces deux sociétés de transport urbain ont tenu un point de presse pour demander à l’État de prendre des sanctions. Ils ont annoncé des mesures sécuritaires.

L es sociétés de transport public Dakar Dem Dikk (DDD) et, depuis un certains temps, AFTU, paient un lourd tribut aux différents troubles socio-économiques qui secouent le pays depuis plusieurs années. Elle sont les principales

cibles de la furie des manifestants. Cela a été le cas, jeudi, lors de la violente manifestation des pêcheurs de Thiaroye qui ont incendié un bus DDD et un minibus. Très remonté et déçu, Alioune Thiam, directeur général du Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (CETUD), a annoncé hier une plainte contre les “destructeurs” des bus de transport urbain. “Nous allons porter plainte au niveau du procureur de la République contre les manifestants qui détruisent ces biens publics”, a-t-il martelé au cours de la conférence de presse. Il a ajouté que “des dispositions sont en train d’être étudiées pour contrer les manifestants qui tenteront encore de brûler ou saccager nos bus”, a-t-il prévenu. 

DAKARACTU.COM C'est une grande préoccupation pour certaines franges de la population, et à des niveaux insoupçonnés. En effet, la présente édition de ce rituel annuel tant suivi, débute ce samedi à Fatick, fief du Président Macky Sall, plus précisément au Centre Expérimental des Médecines Traditionnelles (Cemetra). 

Vous avez dit tentative d'influence? 

En matière de circulation automobile, l'entrée et la sortie de la ville de Dakar, la capitale économique du Sénégal,  étaient caractérisées par des embouteillages permanents, une situation difficile qui pouvait  durer parfois des heures, au grand dam des usagers qui ne savaient plus à quel saint se vouer. Le temps perdu dans les routes pour sortir ou entrer dans la capitale sénégalaise représentait un vrai manque à gagner pour l'économie du pays.

Face a ce calvaire quotidien les forces de l'ordre chargées de la circulation déployaient tous les jours des méthodes variées afin d'essayer de mieux contenir ces grands débordements  souvent dus au manque de civisme et à l'indiscipline de certains  usagers et au déficit chronique  d'infrastructures.  En fait beaucoup de conducteurs trouvaient toujours des moyens de perturber les files indiennes qui en réalité arrangeaient tout le monde. Une observation permet de se rendre compte que depuis l'ouverture de l'autoroute à péage Dakar-Diamniadio la situation  de la circulation automobile s'est beaucoup améliorée avec une mobilité plus rapide des personnes et des biens.