SENETOILE NEWS
Sénégal - Paiement des rappels aux enseignants - Mai, dernier espoir pour sauver l’année scolaire
Une issue heureuse pour l’année scolaire ! C’est le souhait des deux parties à savoir le gouvernement et les syndicalistes de l’enseignement. Mais, pour y arriver, les enseignants ont demandé à l’Etat d’avancer, au mois de mai, la date de paiement de la première tranche de leurs rappels. Une proposition qui pourrait sans nul doute les rassurer pour la suite de la mise en œuvre des autres accords qui tournent autour de 14 points.
A la tête de son nouveau parti : Fada évoque les retrouvailles libérales, le groupe parlementaire des libéraux et Karim Wade
Son divorce avec le PDS entériné, le Président du parti des démocrates réformateurs « Yessal » (Ldr), Modou Diagne Fada, a évoqué les retrouvailles libérales, mais aussi son avenir à la tête du groupe parlementaire des libéraux. Selon lui, la détention de Karim Wade reste arbitraire, même s’il n’est plus leur candidat à la Présidentielle de 2019.
Retrouvailles libérales
Aime Sene, vice président du cnp «ce que nous reprochons à l’État…»
Dans cet entretien exclusif accordé au journal Sud Quotidien, Aimé Sène, vice-président du Conseil national du patronat sénégalais (Cnp) n’approuve aucunement la démarche des autorités par rapport à la création d’une nouvelle Compagnie aérienne dénommée «Air Sénégal Sa», suite à la dissolution «Sénégal Airlines». Même s’il reconnait par ailleurs, en tant qu’ancien actionnaire de la défunte compagnie n’avoir jamais eu droit au chapitre parce que les fondamentaux avaient été bafoués, en dépit des gages de l’ancien Président de la République Abdoulaye Wade. Lequel président, les recevant (secteur privé) au début de la création de la société leur avait lancé ceci : «Attention, je ne veux pas que les politiques s’en mêlent».
Mamadou Lamine Diallo, Député : « Nous devons nous mobiliser à côté des Gambiens pour exiger une respiration de la démocratie en Gambie »
« Lorsque le peuple gambien se lève contre les injustices et les attaques du régime gambien, notre devoir est d’être à leurs côtés. Au-delà cela, il y a le problème de la continuité du territoire national du Sénégal. Nous avions besoin du pont sur la Gambie pour l’intérêt et du Sénégal et de la Gambie. Je suis un pan-africaniste et j’y crois. Nous avons intérêt à former de grands ensembles solides pour faire face à l’Europe, à la Chine, à l’Inde, à la Turquie et pour le Sénégal cela passe nécessairement par la Gambie.
Gun Man Xuman , rappeur et activiste Sénégalais : « Yaya Jammeh est quelqu’un qui ne comprend que le langage de la force. »
« Je me devais de répondre à l’appel de nos frères gambiens. Parce que cela fait deux ou trois ans que je fais dans le journal rappé des interventions sur la situation en Gambien. Aujourd’hui il est heureux de constater que les gens se lèvent pour dire «defa dòy » (ça suffit) par rapport à la situation dans laquelle Yaya Jammeh a installé la Gambie. Qui plus est, chaque fois qu’il y a des problèmes en interne, c’est le Sénégal qui paie les pots cassés avec un blocus à la frontière mais également Jammeh tient des propos peu diplomatiques sur nos dirigeants de Diouf en passant par Wade à Macky.
Confession : “Je ne supporte plus l’impuissance de mon vieux blanc… que faire ? Aidez-moi svp"
Je suis une Africaine de 25 ans. Je me suis mariée, il y a quelques mois, avec un Européen de nationalité belge et âgé de 70 ans. Lorsque j’ai fait sa rencontre sur Internet, je me suis accrochée à lui juste parce que je voulais qu’il m’épouse et m’amène en Belgique.
Après notre mariage, nous nous sommes Installés en Belgique comme je l’avais toujours rêvé.
Malgré la vieillesse de mon mari, je me disais que je pouvais vivre une sexualité épanouie avec lui. Mais, depuis que nous nous sommes mariés et que nous vivons dans la même maison, son joujou n’arrive pas à se lever. Il n’a jamais d’érection.
Abdou Mbow : « Nous ne cracherons pas sur des retrouvailles avec Wade »
Vice-président à l’Assemblée nationale et responsable politique du parti au pouvoir, Abdou Mbow tire, dans cet entretien, les enseignements du référendum. Il n’a pas manqué de s’exprimer aussi sur l’affaire Panama-papers, sur les emplois promis par le chef de l’État, sur les soupçons de corruption et d’achat de conscience durant la période référendaire, etc. Interview.
M. Mbow quels enseignements tirez-vous du référendum ?
Amsatou Sow Sidibé sur le blocage de son salaire: «Le directeur de la solde m’a dit que c’est une décision de la Présidence»
On en sait un peu plus sur le blocage du salaire du Professeur Amsatou Sow Sidibé depuis qu’elle a quitté la présidence de la République, au mois de février dernier. L’ancien ministre conseiller indique avoir saisi qui de droit mais aucune réponse ne lui est servie sur le blocage de son salaire.
Vote obligatoire : Abdoulaye Makhtar Diop clashe Djibo Ka
Abdoulaye Makhtar Diop répond à Djibo Kâ. Le patron de l’Union pour le renouveau démocratique (Urd) avait soutenu que la proposition du Grand Serigne de Dakar de rendre obligatoire le vote est antidémocratique.
« J’ai entendu Djibo Ka dire que le vote obligatoire est antidémocratique. Il veut donc dire que les États-Unis, l’Australie, le Luxembourg, la Belgique, qui abrite le siège de la Commission européenne des Droits de l’homme, sont antidémocratiques ? Tout le monde sait que ces pays sont des exemples de démocratie »’, déclare le Grand Serigne de Dakar, député à l’Assemblée nationale, Abdoulaye Mokhtar Diop, dans l’émission “Peccum rewmi wi’’ de Rewmi Fm. ,
Journée nationale des enfants talibés le Sénégal face à l’équation de la mendicité
Ce mercredi 20 avril, sera célébrée la journée nationale dédiée aux enfants Talibés. La mendicité et la maltraitance, sans occulter les risques qu’ils encourent, seront encore passés au peigne fin. Pourtant le diagnostic était déjà établi et les pistes de solutions dégagées depuis plusieurs années. Mais l’application pose problème. Parents, maîtres coraniques, organismes des droits de l’homme, Etat, tous, sont au banc des accusés face à la vulnérabilité de cette frange jeune de la population, confronter à des questions de sécurité, voire de survie. Nonobstant la multiplicité des acteurs intervenant dans la lutte contre leur maltraitance, les enfants talibés continuent de «peupler» les artères des villes sénégalaises.