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06
Sam, Déc
SENETOILE NEWS

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Sénégal   La campagne référendaire a été clôturée hier, vendredi 18 mars, à minuit. Ainsi, ce dimanche 20 mars prochain, environ 5 millions d’électeurs sont appelés à se prononcer pour le Oui ou le Non au référendum, portant révision de la constitution. De 8h à 18h, les 12.381 bureaux de vote que compte le Sénégal seront ouverts aux électeurs qui comptent voter ou rejeter le projet de réforme du chef de l’Etat, Macky Sall.  

Après une semaine de campagne référendaire mouvementée à bien des endroits, avec notamment des heurts et des coups de feu dans certaines localités, les Sénégalais sont appelés aux urnes. En effet, le référendum portant  révision constitutionnelle se tient ce dimanche 20 mars, sur l’étendue du territoire et dans certains pays étrangers.

 

 

Dans une tribune que nous avions faite en 2013, nous avions averti le peuple sénégalais sur la volonté de Youssou NDOUR  de torpiller la constitution en amalgamant son business et ses fonctions ministérielles, par l’organisation d’un concert commercial à Bercy (Titre de la tribune : Youssou NDOUR doit choisir : entre Bercy et Building). En affirmant publiquement que maintenant c’est lui le seul patron de Dakar, Youssou NDOUR flirte à nouveau avec l’arrogance, frôle le ridicule, et promeut une monarchie des riches. En fustigeant karim WADE parce qu’il est français, même sans le dénommer, ces propos peuvent inciter à la haine politique  des binationaux de couleur blanche ou métissée. Ce qui est pénalement puni en France, pays dont il aurait lui-même la nationalité.

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Abou Abel Thiam alerte son « ami Macky Sall » sur les dérives qui menacent l'Alliance pour la République. Dans une longue interview accordée au Témoin, le président du Conseil d’administration de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp) révèle que "les lobbies d’argent" qui sont dans l’ombre du pouvoir de l’Apr et qui étaient dans l’autre camp. "Aujourd’hui que le pouvoir est là, ils viennent prendre ce pouvoir. Et c’est souvent des lobbies d’argents qui investissent l’Apr pour se rendre incontournables et pour peser sur la nomination à des directions et à des ministères", dit-il. 

Contre vents et marées, Aïda Mbodj s’est bien rendue dans le fief politique de Macky Sall samedi dernier. Son cortège a été caillassé et il a fallu l’intervention de la police, mais aussi de gros efforts de ses hommes pour contenir des jeunes Apéristes en colère.

Il est 19 heures passées de quelques minutes lorsque le cortège de Aïda Mbodj du courant du «Non» en provenance de la commune de Ngayokhème, dirigée par Mbagnick Ndiaye, s’ébranle en direction du centre-ville. A hauteur de l’intersection située au niveau de la Case-foyer des femmes, des jeunes arborant des tee-shirts de couleur blanche sur lesquels on peut lire le message «Fatick vote Oui» commencent à amasser des briques sur la chaussée pour empêcher le cortège de passer.

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Le projet de loi portant révision de la Constitution, soumis au peuple sénégalais lors du référendum du 20 mars 2016, contient des innovations qui apportent une valeur ajoutée certaine à la démocratie sénégalaise. 

Les innovations audacieuses contenues dans ce projet de révision en font, après celles de 1976 qui a fait passer le pays du parti unique au pluralisme, la plus grande révision constitutionnelle consolidante de l’histoire du Sénégal. Elle fait des options audacieuses et ferme, par la consécration de l’intangibilité des dispositions vulnérables, la porte aux possibilités de révisions dé-consolidantes connues par le passé. 

   Pour atteindre la croissance en Afrique, le Chef de l’Etat Macky Sall mise sur le partenariat public-privé en lieu et place de l’aide publique. Selon Macky Sall qui participait avant-hier, samedi 12 mars aux rencontres économiques de Dakar, initiées par le cercle des économistes, l’aide publique ne peut pas régler les besoins des économies africaines.  

«Nous voulons compter sur le partenariat avec nos amis à la place de l’aide publique, qui ne peut en aucune manière, régler les besoins de l’économie des pays africains. Je reste convaincu que le développement de l’Afrique incombe aux africains. Il nous appartient d’activer les leviers de nos propres croissances ». C’est la conviction du président de la République Macky Sall qui intervenait avant-hier samedi 12 mars aux rencontres économiques de Dakar sur le thème : «Les leviers de la croissance».
 
Macky Sall affirme  que  l’Afrique a besoin d’accéder aux marchés de capitaux et les Etats africains doivent lutter contre les conditions artificielles des risques sur l’Afrique. 

Dans ce deuxième et dernier jet de "La Grande Interview " (partenariat leral.net /dakarposte.com ) le Pca de la SAR évoque, sans langue de bois, le cas Wade fils, le rôle de la Première Dame , l'inédit cas Youssou Touré... Suivez cet entretien exclusif choisi délibérément en Wolof!

 


Mimi Touré : Il s'agissait d'installer officiellement le présidium du "OUI", mais aussi installer le comité exécutif qui sera en charge de la campagne. Je suis venue représenter le président de la République qui lui-même, comme vous le savez, est le président de Benno Bokk Yakaar, mais aussi, il est le président du présidium du "OUI". Je l'ai représenté devant l'ensemble des leaders de la coalition. Vous savez ils sont 130 leaders et il y a également des associations. C'est le début de notre campagne avec l'outillage et l'architecture organisationnelle sur place. 

Quel sera le rôle principal du présidium du "OUI"? 

C’est un Youssou Ndour en pleine euphorie qui a lancé à ses partisans, qu’il appelle pour voter Oui au référendum ces phrases assassines : «Je compte plus d'employés que ceux-là qui se disputent Dakar. Chaque jour je croise certains de mes employés que je ne connais même pas.

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   Le régime du président Sall a fort à faire, au plan économique et social pour asseoir les fondamentaux d’un Sénégal souverain et socialement stable. C’est la conviction de l’Economiste Demba Moussa Dembélé, par ailleurs président de l’Africaine de recherche et de coopération pour l’appui au développement endogène (Arcade). Il co-animait samedi dernier, à Dakar une conférence sur le thème: «Bilan économique et social du régime de Macky Sall, 4 ans après son accession à la magistrature suprême».   

Bilan économique