SENETOILE NEWS
Attaque du bureau politique - des sanctions en gestation le Ps vote oui, pour le 20 mars
Au sortir de leur réunion du dimanche 06 mars, le Bureau politique (Bp) du Parti socialiste a condamné avec la dernière énergie les attaques dont il a fait objet la veille. Considérant ainsi que l'incident a été orchestré par des responsables socialistes, en mal de représentativité au sein du parti, le Bp a donné mandat à Ousmane Tanor Dieng et au Secrétariat exécutif national de prendre toutes les mesures disciplinaires à la hauteur des actes de violence commis. Le Bp a par ailleurs appelé au vote massif du OUI, suite aux débats contradictoires auquel ont participé 91 responsables.
Du Superman sécuritaire Il tombe dans son pactole du "pacte de non agression"
Serigne Mouhamed Arass Mbacké : " Ce que je pense des jeunes marabouts qui font de la politique..."
Dans une interview accordée à Dakaractu, Serigne Mouhamadou Arass Mbacké a donné son avis sur les jeunes marabouts qui sont dans la politique. Selon notre interlocuteur, "ce n'est pas facile d'en parler, mais je vais quand même faire des précisions. J'en avais parlé il y a quelques temps, mais comme vous le savez, les gens ont leur croyance et sont prêts à tout pour dénigrer. Je parlais il y a quelques temps des jeunes marabouts qui font des choses qu'ils ne devraient pas faire.
Père Ouza : «Macky Sall doit prendre de la hauteur et repousser la date du référendum»
Le chanteur Ouza n’est pas d’accord avec l’idée du président Macky Sall de tenir un référendum le 20 mars prochain, annoncé dans la foulée du reniement de la parole présidentielle sur la réduction du mandat en cours, de 7 à 5 ans. « À mon ami Macky Sall, je conseille un report du référendum, qui risque de se faire dans la précipitation », déclare l’artiste Ouza, qui conseille au chef de l’État d’aller à un dialogue, à un consensus national sur la question, lequel impliquerait toutes les couches sociales.
Blocus de la transgambienne les conséquences du contournement
Une semaine après l’effectivité du blocus aux frontières avec la Gambie, les transporteurs et chauffeurs sénégalais maintiennent toujours le cap du contournement, même s’ils sollicitent des mesures d’accompagnement. Toutefois, du côté des usagers de la trangambienne, les conséquences de la fermeture des frontières commencent à se faire sentir dans les poches aussi bien des passagers que des transporteurs qui ont revu les tarifs du transport à la hausse. L’autre conséquence directe de ce blocus, c’est le rush sur les bateaux assurant la desserte Dakar-Ziguinchor. Sud Quotidien fait le point dans les différentes gares routières à Dakar, Kaolack, Ziguinchor et Kolda. Un carnet de voyage Dakar-Sédhiou, via Tambacounda, sera diffusé vendredi.
Des réformateurs au comité directeur du Pds : Modou Diagne Fada lâché par ses hommes ?
Modou Diagne Fada est-il en train d'être lâché par ses souteneurs ? La question est de L'As qui indique que ses sources ont aperçu, hier, le chargé de communication des réformateurs à la réunion du Comité directeur du Parti démocratique sénégalais.
"Mes raisons de voter Non" - Par Abdoul Mbaye
Parce que la Constitution de mon pays ne mérite pas d’être modifiée une énième fois, dans la précipitation, en cours de période de révision des listes électorales, avec une procédure budgétaire d’exception, et sans délai suffisant pour permettre d’en expliquer les raisons au peuple souverain appelé à s’exprimer.
Aussi parce qu’il faut faire prendre conscience à nos dirigeants politiques d’aujourd’hui et de demain le respect qu’ils doivent à notre loi fondamentale.
Sénégal - Déficit de visibilité du projet de révision constitutionnelle, taux d’abstention… ces menaces qui pèsent sur le référendum !
Programmé au forceps par l’Exécutif, vraisemblablement sans concertation avec toutes les parties concernées (opposition, société civile, mouvements citoyens…), le vote du projet de révision constitutionnelle devant se tenir le 20 mars prochain, risque de se confronter à un véritable front de refus…populaire. Pour bien de raisons liées non pas seulement à la « rétractation » du président de la République qui s’est déterminé à ne plus réduire son mandat en cours, avis du Conseil constitutionnel obligeant, voire au déficit de dialogue politique autour de ces réformes entre le pouvoir et les autres corps du champ politique et de la société civile.
Amnesty international dresse un sombre bilan des droits de l'homme au Sénégal
L'organisation de défense des droits de l'homme, Amnesty international, dresse dans son rapport annuel 2015 une situation peu reluisante des droits de l'homme en 2015 au Sénégal.
"Le rapport annuel 2015-2016 dresse un tableau peu reluisant de la situation des droits humains au Sénégal. Des préoccupations soulevées en 2015 figurent de nouveau dans ce rapport, ce qui signifie que l'état du Sénégal n'a pas fait les efforts qu'il est tenu de faire, en vertu de la législation nationale et du droit international, pour remédier à se manquements", a notamment Seydi Gassama, directeur exécutif d'Amnesty international Sénégal.
La mendicité des enfants n'est pas spécifique à la société sénégalaise (Penda Mbow)
Représentante personnelle du président de la République auprès de la Francophonie, Penda Mbow a déclaré que le phénomène des enfants mendiants est « un indicateur au développement, qu’on le veuille ou non. Et tant qu’on n’arrivera pas à l’éradiquer, il sera difficile de dire que le Sénégal est un pays émergent, un pays développé ». Selon elle, la question de l’émergence doit avoir une ligne de mire. Et la mendicité des enfants n’est pas un phénomène propre aux sociétés africaines, notamment à celle sénégalaise, mais plutôt un phénomène de sous-développement. À en croire Mme Mbow, même l’Europe a connu le phénomène des mendiants pendant tout le moyen-âge. C’est pourquoi elle estime que le Sénégal peut bel et bien trouver une solution à cette question.