Account
Please wait, authorizing ...
Not a member? Sign up now
×

Sidebar

06
Sam, Déc
SENETOILE NEWS

SENETOILE NEWS

default

Malick Gakou continue de pêcher dans les eaux progressistes jusque dans le fief de Moustapha Niasse à Keur Madiabel. En atteste le ralliement du chargé des élections de l’Afp, Aliou Niang. «Je respecte beaucoup Moustapha Niasse, mais je suis jeune et j’ai des ambitions. J’ai rejoint le Grand parti car Malick Gakou a été courageux de décliner son ambition pour ce pays. 

default
Cinq (05) décennies de vie constitutionnelle ont permis à notre pays de mettre à jour ses mécanismes institutionnels essentiels à la pratique républicaine. 
En effet, durant plus de cinquante (50) années, les différents ressorts du jeu politique interne, quoique souvent teintés, naturellement, de tensions, mais sans débordements tragiques, ont pu témoigner de 
la solidité à toute épreuve de notre ordonnancement institutionnel. Pendant ces moments, coïncidant avec une re-sacralisation sans précédent des droits et libertés humains, la vivacité des dynamiques citoyennes sénégalaises, sans cesse entretenue par les régimes successifs, a administré la preuve que l’Etat de droit est bien une réalité au Sénégal. 
default

Interpol, qui émis un avis de recherches international contre Massata Diack, à la suite du mandat d'arrêt international obtenu par le Parquet financier le 18 décembre dernier, a fait plus que placer le fils de Lamine Diack sur sa liste de surveillance. Selon le journal Libération, l'ex-conseiller en marketing de l'Iaaf a intégré I-24/7 , ce fameux système mis en place pour traquer les fugitifs . 

default

Le président Macky Sall ne veut pas que les gens épiloguent sur son mandat. Samedi dernier, à Louga, il s’est montré amer dans son discours devant le Khalife de la famille omarienne, Thierno Bachir Tall. Pour preuve, estime « L’As » de ce lundi 11 janvier 2016, Macky Sall qui était visiblement irrité par la passion autour du débat sur la réduction de son mandat a invité les Sénégalais à la sérénité et à se mettre au travail, gages du développement durable.

default

En marge de sa communication à l’occasion de la cérémonie de rentrée de l’école du parti socialiste, Pierre Sané a souligné les tares que traîne la justice Sénégalaise. 
« La justice est malade de ses prisons, de son délai, de son instrumentalisation, de son manque d’indépendance, de la corruption de certains de ses agents. Voilà une priorité programmatique que le parti socialiste pourrait investir à savoir : aspiration populaire, réflexion collective, élaboration de proposition, formation et mobilisation », dénonce Pierre Sané.

 

source: http://www.dakaractu.com/Denonciation-Pierre-Sane-souligne-les-tares-que-traine-la-justice-Senegalaise_a104008.html

default

Connu pour sa position intransigeante, radicale envers la communauté gay, Mame Mactar Guèye de l'Ong Jamra a fait de terribles révélations sur Rfm. Invité par l'animateur Mamadou Ndoye Bane, le frère à feu Latif Guèye dira qu'un grand patron de presse de la place a été un acteur clef, une des pièces maîtresses d'un gay pride qui devait s'organiser à Dakar. Informé dira t-il, à travers des fax, mails et autres canaux, il a saisi le ministre de l'Intérieur d'alors (le général Mamadou Niang). C'est ce dernier, qui a alors envoyé une série de mise en garde aux réceptifs hôteliers aux fins de ne pas recevoir ses gays qui devaient venir des quatre coins du globe. 

default

Gambia   Lancée officiellement en septembre 2013, la Couverture maladie universelle (Cmu) qui n’était qu’une simple ambition est devenue une volonté réelle  du président de la République déployée à travers le territoire national. Dans son message de vœux pour le nouvel an, le chef de l’Etat est revenu sur cette initiative de gratuité qui a, selon lui, permis de prendre en charge deux millions d’enfants de 0 à 5 ans. À ce jour, 600 mutuelles de santé ont été constituées. 

default

La question de la conformité de l’avis du Conseil constitutionnel telle que posée aujourd’hui par certains professeurs et citoyens est devenue une question politicienne et non un débat juridique. Que diraient demain tous ceux qui proclament aujourd’hui de façon péremptoire que le Président de la République n’est pas lié à l’avis du Conseil constitutionnel, au cas où le conseil règle dans le sens qu’ils souhaitent la question de l’applicabilité de la réforme du mandat actuel du président. Les mêmes diraient certainement que l’avis est obligatoire et que le président doit suivre cet avis-là », déclare le Premier ministre qui présidait ce samedi la cérémonie d’ouverture des travaux des rendez-vous républicains, à Saly (Mbour).

default

  Le débat suscité par l’allocution du Président de la République le 31 décembre à propos du référendum qu’il envisage d’organiser pour réduire son mandat de 7 à 5 ans nous interpelle en tant que juriste et Président du Réseau des observateurs citoyens (RESOCIT) et du Collectif des organisations de la société civile pour les élections (COSCE) et nous commande d’apporter un éclairage sur les deux points de droit que soulève la mise en œuvre  du référendum en question. Il s’agit de la voie que le Président a choisi d’emprunter pour le référendum et la valeur juridique de l’avis du conseil constitutionnel dans l’hypothèse où il serait considéré par le Président de la République.  

Des Organisations non gouvernementales (Ong) sénégalaises en conférence de presse hier, vendredi 8 janvier ont dénoncé la liste des témoins présents à la barre de la Chambre africaine extraordinaire d’assises. Regroupées au sein de la Coalition de la société civile sénégalaise pour le jugement équitable d’Hissein Habré (cosejehab), ces Ong déplorent le fait que tous les 90 témoins ont apporté des versions qui accablent l’ancien président tchadien.