Dossier Aïda N'diongue : Ces fonctionnaires du ministère des Finances, de la Fonction Publique... dont l'ex sénatrice exige la comparution
On en sait un peu plus sur les multiples renvois du dossier de l'ex sénatrice et non moins ancienne mairesse des Hlm.
L'affaire citée en marge a été pourtant enrôlée à l'audience de la 1ère chambre correctionnelle du tribunal régional Hors Classe de Dakar avant d'être ajournée in extremis au 26 Mars prochain, soit trois jours après le verdict tant redouté du procès Karim Wade.
L’ancienne sénatrice Aïda Ndiogue, Modou Sall qui jouit d’une liberté provisoire, Amadou Ndiaye et Abdou Aziz Diop devront encore patienter. La 1ère chambre correctionnelle, qui s’est dessaisie du dossier au profit de la 3e chambre, a renvoyé le procès au 26 mars.
Pour mettre fin aux grèves qui secouent le système éducatif depuis des semaines maintenant, le gouvernement a rencontré hier les syndicalistes du secteur de l’enseignement. L’objectif était de leur donner des informations sur les décisions prises par le gouvernement sur certains points. Joint par téléphone hier, Mamadou Lamine Dianté, coordonnateur du Grand cadre des syndicats d’enseignants, a laissé entendre que les propositions faites par le gouvernement sont insuffisantes pour suspendre leur plan d’actions.
Les demandes de liberté provisoire introduites par Aïda Ndiongue, Abdoul Aziz Diop, et Amadou Ndiaye, tous co-accusés de détournement de deniers publics, voire de complicité d’escroquerie portant sur des deniers publics, ont toutes été rejetées par le président de la chambre correctionnelle hier, mardi 03 mars. Les tentatives des avocats de la défense sont en effet restées vaines face à un agent judiciaire de l’Etat coriace et un intransigeant procureur de la République. Le procès a été renvoyé, lui, jusqu’au 17 mars prochain. 
Dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de la femme hier, un rapport sur la situation des droits des femmes dans les lieux de détention au Sénégal a été présenté. Les conclusions d’une année d’enquêtes ont été déroulées lors d’une cérémonie présidée par le ministre de la Justice, Garde des sceaux à la Maison d’arrêt des femmes de Liberté VI.
Me Demba Ciré Bathily, membre du pool d’avocats de Karim Wade, s’est totalement démarqué des propos de l’ancien président de la République Abdoulaye Wade. Dans un post intitulé « MA DÉSAPPROBATION » et publié sur sa page Facebook, l’avocat écrit: « Monsieur le Président, je considère comme un devoir de vous dire que vous ne pouvez parlez ainsi de votre successeur à la tête du pays quel que soit la nature du litige qui vous oppose. Vous ne pouvez tout simplement pas parlez ainsi. J’ai été personnellement très choqué par les propos que j’ai entendu qui m’ont fait beaucoup de peine. Habitué à m’exprimer sur les faits majeurs qui intéressent notre pays, je ne saurai me taire sur celui ci sans contrevenir aux valeurs et principes que j’ai toujours défendus et que je continuerai toujours de défendre en toutes circonstances. »
La SONATEL a déclaré jeudi que les difficultés d’accès aux applications telles que Viber et WhatsApp ne sont pas imputables à la qualité de service délivrée par son réseau Internet.
Certains journaux de la place ont fait état de la colère du khalife général des mourides après avoir écouté les grossièretés qu’Abdoulaye Wade a déversées sur le président de la République Macky Sall. Mais selon, nos sources Serigne Sidy Makhtar n’a jamais visionné l’élément en question. Les propos lui ont été rapportés.
Un mois après la validation récente du plan stratégique 2015-2024 de la direction de l’Action sociale, les chefs des services départementaux et régionaux de l’action sociale se sont encore retrouvés à Saly pour se pencher sur la revue 2014 et la planification 2015. Cette rencontre de quatre jours a été une occasion pour la direction de l’Action sociale de revenir sur le lancement de la carte d’égalité des chances, prévue le 6 mars prochain sur l’étendue du territoire.